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On trouve plusieurs périodes de mondialisation financière dans cette période de l’histoire contemporaine. Bairoch trouve un lien proche entre [[Trionfo internazionale dello sistema aureo: 1871 - 1914|système étalon-or]] et mondialisation bancaire. D’autre part, lorsqu’on parle de finance internationale, il y a plusieurs aspects concernés et surtout le commerce international on peut analyser deux aspects soit la finance du commerce international soit l’investissement du commerce international qui est le financement plutôt à long terme. Nous allons favoriser les transferts de capitaux au cœur du processus de la mondialisation financière.  
Ci sono diversi periodi di globalizzazione finanziaria in questo periodo della storia contemporanea. Bairoch trova uno stretto legame tra il sistema del [[Trionfo internazionale dello sistema aureo: 1871 - 1914|sistema aureo]] e la globalizzazione bancaria. D'altra parte, quando parliamo di finanza internazionale, ci sono diversi aspetti coinvolti e soprattutto il commercio internazionale, possiamo analizzare due aspetti, o il finanziamento del commercio internazionale o l'investimento del commercio internazionale, che è piuttosto un finanziamento a lungo termine. Promuoveremo i trasferimenti di capitale nel cuore del processo di globalizzazione finanziaria.  




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[[Image: Capital des plus grandes "merchant banks" britanniques.png|thumb|400px|center|Source: Stanley Chapman, 1984, The Rise of Merchant Banking, p. 40]]
[[Image: Capital des plus grandes "merchant banks" britanniques.png|thumb|400px|center|Source: Stanley Chapman, 1984, The Rise of Merchant Banking, p. 40]]


Comment peut-on expliquer la mondialisation financière pendant cette période ? Il y a un continu entre l’étalon-or et la mondialisation financière parce que certains spécialistes constatent que la mondialisation financière est rendue possible par l’existence d’un système monétaire international basé sur l’[[Triomphe international de l'étalon-or : 1871 1914|étalon-or]].  
Come possiamo spiegare la globalizzazione finanziaria in questo periodo? Esiste un continuum tra il gold standard e la globalizzazione finanziaria perché alcuni specialisti notano che la globalizzazione finanziaria è resa possibile dall'esistenza di un sistema monetario internazionale basato sul [[Trionfo internazionale dello sistema aureo: 1871 - 1914|sistema aureo]].


Il y a deux autres possibilités qui sont souvent proposées en tant qu’explication pour les bases de cette mondialisation. Il y a aussi l’idée que la base se trouve dans l’empire, c’est le fait d’avoir un empire qui fait que la Grande-Bretagne est capable d’exporter des capitaux. Enfin, des spécialistes cherchent des bases microéconomiques à la mondialisation financière et surtout au niveau du comportement des investisseurs européens comme les bourses set les grands banquiers. On voit plusieurs propositions afin d’expliquer les bases de cette mondialisation financière.
Ci sono altre due possibilità che vengono spesso proposte come spiegazione della base di questa globalizzazione. C'è anche l'idea che la base è nell'impero, che avere un impero è ciò che rende la Gran Bretagna capace di esportare capitali. Infine, gli specialisti cercano le basi microeconomiche della globalizzazione finanziaria e, soprattutto, il comportamento degli investitori europei come le borse e i grandi banchieri. Ci sono diverse proposte per spiegare le basi di questa globalizzazione finanziaria.


Pour résumer les trois arguments de bases, l’étalon-or fonctionne comme label de qualité. L’[[Triomphe international de l'étalon-or : 1871 – 1914|étalon-or]] fonctionne comme un label de qualité qui permet à un pays d’emprunter plus facilement et à un taux d’intérêt plus bas sur les marchés mondiaux de capitaux. Un tel label de qualité est particulièrement important pour les pays périphériques qui autrement auraient du mal à convaincre les investisseurs de leur prêter des fonds. L’idée est qu’en choisissant de se mettre à l’étalon-or, les pays périphériques se soumettent au mécanisme flux – prix donnant une légitimité pour prêter des fonds en toute confiance afin de gérer l’économie de façon disciplinée. La Russie a notamment donnée cette justification pour se mettre sur l’[[Triomphe international de l'étalon-or : 1871 – 1914|étalon-or]] afin d’attirer des fonds internationaux.  
Per riassumere i tre argomenti di base, il gold standard funziona come un marchio di qualità. Il gold standard funziona come un marchio di qualità che permette a un paese di prendere in prestito più facilmente e a un tasso di interesse inferiore sui mercati globali dei capitali. Un tale marchio di qualità è particolarmente importante per i paesi periferici che altrimenti avrebbero difficoltà a convincere gli investitori a concedere prestiti. L'idea è che scegliendo di mettersi sul gold standard, i paesi periferici si sottomettono al meccanismo dei prezzi di flusso che dà legittimità a prestare fondi con fiducia per gestire l'economia in modo disciplinato. In particolare, la Russia ha dato questa giustificazione per collocarsi sul gold standard al fine di attrarre fondi internazionali.


Pourtant, cet argument n’est pas totalement convainquent parce qu’une fois qu’un pays décide de mettre sa monnaie sur la base d’une sorte d’or, il y a un engagement, mais l’engagement n’est pas aussi ferme que cela parce qu’un pays a toujours l’option de suspendre la convertibilité en or en temps de crise. Cela donne peut-être une certaine fonction aux investisseurs, mais cela va jusqu’à un certain point. D’autre part, nous avons parlé des États-Unis est de leur hésitation face à l’[[Triomph internationale de l'étalon-or : 1871 – 1914|étalon-or]]. Tout le monde a compris qu’il y avait la volatilité de l’opinion publique par rapport à l’étalon-or et qu’il ne serait pas sur que les États-Unis resteraient sur l’étalon-or. Malgré cette hésitation et l’incertitude par rapport à l’engagement de États-Unis vis-à-vis de l’[[Triomphe internationale de l'étalon-or : 1871 – 1914|étalon-or]] on voit que les États-Unis étaient le destinataire le plus important pour les investissements. Les investisseurs constatent qu’il y a d’autres arguments qui comptent et pas seulement l’engagement du pays vis-à-vis de l’[[Triomphe international de l'étalon-or : 1871 1914|étalon-or]].  
Tuttavia, questo argomento non è del tutto convincente perché una volta che un paese decide di mettere la sua moneta su un sistema aureo, c'è un impegno, ma l'impegno non è così forte perché un paese ha sempre la possibilità di sospendere la convertibilità in oro in tempi di crisi. Questo può dare agli investitori una certa funzione, ma va fino a un certo punto. D'altra parte, abbiamo parlato degli Stati Uniti e della loro esitazione sul sistema aureo. Tutti capirono che c'era la volatilità dell'opinione pubblica in relazione al sistema aureo e che non sarebbe stato certo che gli Stati Uniti sarebbero rimasti sul gold standard. Nonostante questa esitazione e l'incertezza sull'impegno degli Stati Uniti al sistema aureo, possiamo vedere che gli Stati Uniti furono il più importante destinatario di investimenti. Gli investitori vedono che ci sono altri argomenti che contano, non solo l'impegno del paese al [[Trionfo internazionale dello sistema aureo: 1871 - 1914|sistema aureo]].  


Un autre argument est l’idée que l’empire comme sceau royal qui met l’accent sur l’impérialisme comme base de la finance mondiale avant la Première guerre mondiale. Keynes n’a aucun doute que l’Empire britannique facilite l’exportation du capital en le rendant beaucoup moins cher pour l’économie britannique. Ferguson offre une vision très positive de l’impérialisme sur la finance mondiale, car cela a créé la possibilité de la mondialisation financière ; pour lui il y avait des bénéfices très importants pour la colonie. Il y a certainement un argument controversé. Ferguson va expliquer comment l’impérialisme crée la base de la mondialisation en se concentrant sur les structures politiques et économiques des colonies et des dominions sous l’égide britannique. La qualité des institutions que l’on trouve dans les colonies est bien meilleure que si elles étaient autonomes. L’impérialisme a joué un rôle, mais, même pour le cas britannique, on ne parle que de 40% de l’investissement étranger lorsqu’on parle de l’investissement impérial. La plupart des investissements vont vers des pays autonomes donc l’impérialisme va jusqu’à un certain point pour expliquer les tendances des investissements étrangers, mais cela n’explique pas tout. Une fois qu’on regarde la France et l’Allemagne, cela s’explique moins, car leur empire compte moins en termes de la répartition de leurs investissements étrangers. Enfin, il y a des acteurs qui jouent le rôle de gardien pour les investisseurs créant la possibilité d’une telle mondialisation financière aussi importante.  
Un altro argomento è l'idea dell'impero come sigillo reale che sottolinea l'imperialismo come base della finanza mondiale prima della prima guerra mondiale. Keynes non ha dubbi sul fatto che l'impero britannico faciliti l'esportazione di capitale rendendolo molto più economico per l'economia britannica. Ferguson offre una visione molto positiva dell'imperialismo sulla finanza mondiale, perché ha creato la possibilità della globalizzazione finanziaria; per lui ci sono stati benefici molto importanti per la colonia. C'è certamente un argomento controverso. Ferguson spiegherà come l'imperialismo crea le basi della globalizzazione concentrandosi sulle strutture politiche ed economiche delle colonie e dei domini sotto il dominio britannico. La qualità delle istituzioni presenti nelle colonie è molto migliore che se fossero autonome. L'imperialismo ha giocato un ruolo, ma anche nel caso britannico, solo il 40% degli investimenti esteri è indicato come investimento imperiale. La maggior parte degli investimenti va a paesi autonomi, quindi l'imperialismo spiega in parte le tendenze degli investimenti esteri, ma non spiega tutto. Quando si guarda alla Francia e alla Germania, si spiega meno, perché il loro impero conta meno in termini di distribuzione dei loro investimenti esteri. Infine, ci sono attori che giocano il ruolo di gatekeepers per gli investitori creando la possibilità di una così grande globalizzazione finanziaria.  


L’argument le plus récent de Flandreau et Flores qui mettent le rôle de Baring, du Crédit Lyonnais, de la Deutsch Bank qui sont de grandes banques qui essaient de contrôler l’allocation de la finance mondiale. Elles sont capables d’agir comme gardienne des marchés internationaux en demandant des renseignements aux émetteurs. Dans ce sens, elles fonctionnent pour le meilleur et pour le pire comme des agences de notations de nos jours. Ces banquiers ne sont pas que des acteurs pacifistes intervenant parfois pour défendre les intérêts de leurs clients.  
L'argomento più recente di Flanders e Flores che mettono il ruolo di Baring, Crédit Lyonnais, Deutsch Bank, che sono grandi banche che cercano di controllare l'allocazione della finanza globale. Sono in grado di agire come guardiani dei mercati internazionali richiedendo informazioni agli emittenti. In questo senso, funzionano bene o male come le agenzie di rating in questi giorni. Questi banchieri non sono solo giocatori pacifisti che a volte intervengono per difendere gli interessi dei loro clienti.  


On l’impression qu’en parlant de ces banquiers, on parle d’une finance mondiale rationnelle ayant une rationalité derrière ces investissements et ces gardiens ouvrent la porte aux investissements ou la ferme sur une analyse rationnelle de la possibilité des investissements. On ne peut pas aller trop loin parce qu’il y a des vagues d’investissements, des engouements sans avoir une analyse rationnelle de leurs perspectives.
Si ha l'impressione che quando si parla di questi banchieri, si parla di una finanza globale razionale con una razionalità dietro questi investimenti e questi guardiani aprono la porta agli investimenti o chiudono la porta ad un'analisi razionale della possibilità di investimenti. Non possiamo andare troppo lontano perché ci sono ondate di investimenti, infatuazioni senza un'analisi razionale delle loro prospettive.


{{citation bloc|The name and the glory and the position and everything is gone… Ned would have it all – glory and wealth. He might at least have guarded our good name. but it has all gone, offered up in his insatiate vanity and extravagance.|Tom Baring parle de Edward Baring [Lord Revelstoke] - [Ziegler, The Sixth Great Power, p. 252]}}
{{citation bloc|The name and the glory and the position and everything is gone… Ned would have it all – glory and wealth. He might at least have guarded our good name. but it has all gone, offered up in his insatiate vanity and extravagance.|Tom Baring parle de Edward Baring [Lord Revelstoke] - [Ziegler, The Sixth Great Power, p. 252]}}


Dans la crise de Baring, il y a le rôle de la gloire qui est un élément non rationnel. On voit qu’il y a des vagues d’investissement pas forcément rationnelles et des rendements qui sont des fois très décevantes.
Nella crisi di Baring, c'è il ruolo della gloria, che è un elemento non razionale. Possiamo vedere che ci sono ondate di investimenti che non sono necessariamente razionali e rendimenti che a volte sono molto deludenti.


= Effets de l'investissement international de 1870 à 1914 =
= Effetti degli investimenti internazionali dal 1870 al 1914 =


= Allegati =
= Allegati =

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Ci sono diversi periodi di globalizzazione finanziaria in questo periodo della storia contemporanea. Bairoch trova uno stretto legame tra il sistema del sistema aureo e la globalizzazione bancaria. D'altra parte, quando parliamo di finanza internazionale, ci sono diversi aspetti coinvolti e soprattutto il commercio internazionale, possiamo analizzare due aspetti, o il finanziamento del commercio internazionale o l'investimento del commercio internazionale, che è piuttosto un finanziamento a lungo termine. Promuoveremo i trasferimenti di capitale nel cuore del processo di globalizzazione finanziaria.


Finanza e investimenti internazionali[modifier | modifier le wikicode]

Stock di investimenti all'estero rispetto al PIL, campione di paesi, 1860-2000.

Dal 1870 al 1914, le esportazioni di capitale hanno raggiunto livelli senza precedenti. In una prospettiva a lungo termine, vediamo che gli stock di investimenti all'estero raggiungono il 77% del PIL mondiale e il 20%. Solo negli anni '80 ha superato gli ultimi picchi raggiunti all'inizio del XX secolo. Poi c'è un periodo di recessione finanziaria, bisogna aspettare gli anni '80 per vedere un aumento dell'importanza della finanza globale e aspettare gli anni '90 per vedere la stessa importanza dei flussi di capitale. Possiamo anche guardare i prezzi del capitale esportato. Vediamo una diminuzione del divario tra i diversi tipi di prestiti, mostrando che c'è una crescente integrazione del mercato internazionale dei capitali.

Quando si parla di globalizzazione finanziaria, si parla soprattutto di banche e di debito emesso dai governi e dalle imprese, e soprattutto le ferrovie, vediamo che le emissioni di azioni sono molto più rare in quel momento.

Source: Daudin, Morys, O’Rourke, 2010, p. 10

Vediamo l'importanza degli investimenti per la Gran Bretagna perché se guardiamo ai risparmi, vediamo che il flusso di capitale che investe all'estero è stato del 14% tra il 1870 e il 1914. All'inizio del XX secolo, quasi la metà del capitale britannico veniva esportato attraverso gli investimenti. Come ha notato The Economist nel 1911 « Londra è spesso più preoccupata di quello che succede in Messico che nelle Midlands, più preoccupata dalle ferrovie canadesi che da uno sciopero nelle miniere del Galles ». Gli investitori britannici stavano investendo in tutto il mondo, non solo in Gran Bretagna.

Anche per la Francia, i flussi di capitali provenienti da investimenti all'estero rappresentano una grande parte del risparmio. Per la Germania, la situazione è un po' diversa, ma si comincia a vedere l'importanza sempre più impressionante degli investimenti esteri; tuttavia, è un paese che è dietro la Gran Bretagna e la Francia.

Nazioni Unite, International Capital Movements during the Inter-war Period, New York, 1949.

La Gran Bretagna fu il principale investitore, seguita dalla Francia, che iniziò nel XIX secolo come importatore di capitali. Inoltre, gli inglesi finanziarono parte delle prime ferrovie in Francia, ma la situazione cambiò grazie a un surplus commerciale in Francia che fece pendere la bilancia a favore della Francia. Anche la Germania fece una transizione da paese debitore a paese creditore, ma dal 1813 la Germania si stava avvicinando all'importanza della posizione francese in termini di investimenti esteri. Se guardiamo la posizione di questi tre paesi europei, possiamo capire perché l'Europa è indicata come la banca del mondo in quel momento.

Vediamo anche una transizione da parte degli Stati Uniti. Fino all'inizio del XX secolo, gli Stati Uniti erano di gran lunga il più grande destinatario di investimenti internazionali. Il capitale straniero, e in particolare quello britannico, finanziò in gran parte la rete ferroviaria negli Stati Uniti, così come gli allevamenti, le miniere e le operazioni industriali. La crescente ricchezza di questo paese, grazie alle sue risorse naturali, agricole e al suo successo industriale, sta portando a una trasformazione del ruolo internazionale degli Stati Uniti da un punto di vista finanziario a uno che comincia a prendere piede da un punto di vista di esportazione di capitali. È durante la prima guerra mondiale e soprattutto dopo che vedremo un'egemonia finanziaria statunitense prendere piede. Anche nel 1913, gli investimenti stranieri negli Stati Uniti erano ancora più del doppio degli investimenti americani all'estero.

Ci sono altri debitori, come la Russia, per le stesse ragioni degli Stati Uniti. I fondi aiutarono i russi a costruire una grande rete ferroviaria e ad avviare imprese finanziarie. C'è un ruolo molto importante della finanza internazionale nel finanziamento del governo russo e della Corte dello Zar. L'Australia e la Nuova Zelanda sono i principali mutuatari e la maggior parte dei fondi internazionali sono investiti come titoli per finanziare infrastrutture come ferrovie, porti e servizi pubblici in generale. Ci sono anche investimenti in società minerarie in Australia e Canada. In America Latina, c'è un mix di investimenti stranieri in titoli di stato e societari. In Asia e in Africa, vediamo investimenti in infrastrutture, ma soprattutto per aiutare gli investimenti stranieri a sviluppare fonti di materie prime per le industrie europee. C'è una forte enfasi sugli investimenti in banche statali o in titoli di società che investono in infrastrutture.

Dopo un certo punto, è difficile dire cose generalizzabili perché dietro questa distribuzione generale ci sono varie tendenze che rappresentano diversi modelli di comportamento dei paesi esportatori.

Source: Daudin, Morys, O’Rourke, 2010, p. 12

Gli investimenti del Regno Unito sono sparsi in tutto il mondo. Se c'è una zona che non è favorita dagli inglesi, è l'Europa. Le rivoluzioni del 1848 scoraggiarono gli investimenti britannici nelle due Americhe. Per la Francia, c'è una distribuzione geografica completamente diversa. Gli investimenti in Europa sono molto maggiori che altrove. Vediamo nella prima metà del XIX secolo che i francesi investono in titoli di stato dei paesi vicini. Negli anni 1879 e 1889, gli investitori francesi costruirono ferrovie nell'Europa orientale, ma iniziarono anche a costruire il canale di Suez in Egitto. Dopo l'alleanza franco-russa del 1894, gli investitori francesi misero enormi somme di denaro nel governo dello zar. Per tutto il periodo dal 1870 al 1913, la Russia ha rappresentato un quarto degli investimenti francesi. Possiamo vedere che la Germania si è specializzata anche in Europa, ma non necessariamente negli stessi paesi, soprattutto nell'Impero Ottomano e nell'Austria-Ungheria, ma vediamo un interesse più forte nelle due Americhe che in Francia. Possiamo intuire che gli imperi giocano un ruolo, ma forse è meno importante di quanto pensiamo. D'altra parte, ci sono differenze significative tra gli investitori europei. La quota dell'Impero Britannico rappresenta il 16% se contiamo solo le colonie, ma possiamo anche aggiungere domini autonomi per raggiungere il 40%, ma dobbiamo ricordare che una dentina molto importante sono gli Stati Uniti, che sono un paese indipendente. Al contrario, la Francia investe molto meno della Gran Bretagna nel suo impero. Per la Germania, l'importanza del suo impero come destinatario di fondi è ancora meno importante. Bisogna fare attenzione all'argomento basato sugli imperi per spiegare la globalizzazione finanziaria.

Politica economica della prima globalizzazione della finanza[modifier | modifier le wikicode]

Ci sono diversi meccanismi coinvolti. Negli anni 1880, c'è stata una crisi del debito sovrano in America Latina, ma soprattutto stiamo parlando di prestiti bancari. Prima della prima guerra mondiale, c'erano pochissimi prestiti bancari internazionali. C'erano principalmente investimenti di portafoglio, investimenti diretti, in particolare investimenti di società, o c'era il controllo di questi investimenti da parte di queste società.

Il tipo di meccanismo di trasferimento internazionale di denaro coinvolge il ruolo centrale delle borse come quelle di Londra e Parigi. Quando si parla di emissioni di questi titoli, si parla di emissioni nelle borse valori in Europa. New York ha iniziato a giocare un ruolo prima della prima guerra mondiale, ma questo è ancora trascurabile rispetto ai banchieri in Europa. Queste emissioni sono basate su sottoscrizioni di emissioni offerte da banche d'investimento. Le banche d'investimento sono attori importanti. A Londra, si parla di banche d'affari come Rothschild e Baring. Stiamo assistendo a un aumento del ruolo di queste banche e della loro influenza con la globalizzazione della finanza.

Source: Stanley Chapman, 1984, The Rise of Merchant Banking, p. 40

Come possiamo spiegare la globalizzazione finanziaria in questo periodo? Esiste un continuum tra il gold standard e la globalizzazione finanziaria perché alcuni specialisti notano che la globalizzazione finanziaria è resa possibile dall'esistenza di un sistema monetario internazionale basato sul sistema aureo.

Ci sono altre due possibilità che vengono spesso proposte come spiegazione della base di questa globalizzazione. C'è anche l'idea che la base è nell'impero, che avere un impero è ciò che rende la Gran Bretagna capace di esportare capitali. Infine, gli specialisti cercano le basi microeconomiche della globalizzazione finanziaria e, soprattutto, il comportamento degli investitori europei come le borse e i grandi banchieri. Ci sono diverse proposte per spiegare le basi di questa globalizzazione finanziaria.

Per riassumere i tre argomenti di base, il gold standard funziona come un marchio di qualità. Il gold standard funziona come un marchio di qualità che permette a un paese di prendere in prestito più facilmente e a un tasso di interesse inferiore sui mercati globali dei capitali. Un tale marchio di qualità è particolarmente importante per i paesi periferici che altrimenti avrebbero difficoltà a convincere gli investitori a concedere prestiti. L'idea è che scegliendo di mettersi sul gold standard, i paesi periferici si sottomettono al meccanismo dei prezzi di flusso che dà legittimità a prestare fondi con fiducia per gestire l'economia in modo disciplinato. In particolare, la Russia ha dato questa giustificazione per collocarsi sul gold standard al fine di attrarre fondi internazionali.

Tuttavia, questo argomento non è del tutto convincente perché una volta che un paese decide di mettere la sua moneta su un sistema aureo, c'è un impegno, ma l'impegno non è così forte perché un paese ha sempre la possibilità di sospendere la convertibilità in oro in tempi di crisi. Questo può dare agli investitori una certa funzione, ma va fino a un certo punto. D'altra parte, abbiamo parlato degli Stati Uniti e della loro esitazione sul sistema aureo. Tutti capirono che c'era la volatilità dell'opinione pubblica in relazione al sistema aureo e che non sarebbe stato certo che gli Stati Uniti sarebbero rimasti sul gold standard. Nonostante questa esitazione e l'incertezza sull'impegno degli Stati Uniti al sistema aureo, possiamo vedere che gli Stati Uniti furono il più importante destinatario di investimenti. Gli investitori vedono che ci sono altri argomenti che contano, non solo l'impegno del paese al sistema aureo.

Un altro argomento è l'idea dell'impero come sigillo reale che sottolinea l'imperialismo come base della finanza mondiale prima della prima guerra mondiale. Keynes non ha dubbi sul fatto che l'impero britannico faciliti l'esportazione di capitale rendendolo molto più economico per l'economia britannica. Ferguson offre una visione molto positiva dell'imperialismo sulla finanza mondiale, perché ha creato la possibilità della globalizzazione finanziaria; per lui ci sono stati benefici molto importanti per la colonia. C'è certamente un argomento controverso. Ferguson spiegherà come l'imperialismo crea le basi della globalizzazione concentrandosi sulle strutture politiche ed economiche delle colonie e dei domini sotto il dominio britannico. La qualità delle istituzioni presenti nelle colonie è molto migliore che se fossero autonome. L'imperialismo ha giocato un ruolo, ma anche nel caso britannico, solo il 40% degli investimenti esteri è indicato come investimento imperiale. La maggior parte degli investimenti va a paesi autonomi, quindi l'imperialismo spiega in parte le tendenze degli investimenti esteri, ma non spiega tutto. Quando si guarda alla Francia e alla Germania, si spiega meno, perché il loro impero conta meno in termini di distribuzione dei loro investimenti esteri. Infine, ci sono attori che giocano il ruolo di gatekeepers per gli investitori creando la possibilità di una così grande globalizzazione finanziaria.

L'argomento più recente di Flanders e Flores che mettono il ruolo di Baring, Crédit Lyonnais, Deutsch Bank, che sono grandi banche che cercano di controllare l'allocazione della finanza globale. Sono in grado di agire come guardiani dei mercati internazionali richiedendo informazioni agli emittenti. In questo senso, funzionano bene o male come le agenzie di rating in questi giorni. Questi banchieri non sono solo giocatori pacifisti che a volte intervengono per difendere gli interessi dei loro clienti.

Si ha l'impressione che quando si parla di questi banchieri, si parla di una finanza globale razionale con una razionalità dietro questi investimenti e questi guardiani aprono la porta agli investimenti o chiudono la porta ad un'analisi razionale della possibilità di investimenti. Non possiamo andare troppo lontano perché ci sono ondate di investimenti, infatuazioni senza un'analisi razionale delle loro prospettive.

« The name and the glory and the position and everything is gone… Ned would have it all – glory and wealth. He might at least have guarded our good name. but it has all gone, offered up in his insatiate vanity and extravagance. »

— Tom Baring parle de Edward Baring [Lord Revelstoke] - [Ziegler, The Sixth Great Power, p. 252]

Nella crisi di Baring, c'è il ruolo della gloria, che è un elemento non razionale. Possiamo vedere che ci sono ondate di investimenti che non sono necessariamente razionali e rendimenti che a volte sono molto deludenti.

Effetti degli investimenti internazionali dal 1870 al 1914[modifier | modifier le wikicode]

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Riferimenti[modifier | modifier le wikicode]