« Sudáfrica: la geografía en el poder » : différence entre les versions

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== Dinámica de la autoexclusión espacial ==
== Dinámica de la autoexclusión espacial ==
[[Fichier:Matrix nogozone.png|200px|vignette|droite|[https://www.matrix.co.za/tracking-services/vehicle-tracking Matrix] - Matrix offers packages that have been specifically designed to match individual safety, security and personal vehicle tracking needs. With a choice in service offerings of either core security, enhanced safety or advanced safety+, you are sure to find the perfect package to match all your vehicle tracking requirements. ]]
[[Fichier:Matrix nogozone.png|200px|vignette|droite|[https://www.matrix.co.za/tracking-services/vehicle-tracking Matrix] - Matrix offers packages that have been specifically designed to match individual safety, security and personal vehicle tracking needs. With a choice in service offerings of either core security, enhanced safety or advanced safety+, you are sure to find the perfect package to match all your vehicle tracking requirements. ]]Varios individuos o grupos deciden por iniciativa propia restringir los espacios que consideran aceptables para ellos. Vemos en primer plano la periferia extrema de una zona urbana sudafricana.
Un certain nombre de personnes ou de groupe décide de leur propre initiative de restreindre les espaces qu’ils estiment acceptables pour eux.
On voit l’extrême périphérie d’une agglomération sud-africaine au premier plan.
Au loin, on voit le centre des affaires. Cette publicité est donc destinée aux personnes travaillant au centre des affaires et possédant une voiture.
Cette publicité sous-entend un enlèvement donc qu’il y a un danger.
De plus, on rappelle à ces populations qu’elles n’ont rien à faire dans ces endroits.
La marque « Matrix » dit que « si vous êtes dans cet endroit, nous le saurons ». « Matrix » vend un système de balise embarqué sur le véhicule qui permet une localisation permanente du véhicule. Dans le contexte sud-africain, on parle de la sécurité des personnes. Ce système de sécurité va envoyer une police privée pour venir vous chercher.
Préalablement, le possesseur de ce système doit avoir enregistré des zones dont il s’auto-exclut. On peut avoir recours à un produit qui limite ses possibilités de déplacement de manière volontaire sur la base de la sécurité et de l’insécurité.


= Les origines coloniales d’une occupation de l’espace inégalitaire =
A lo lejos, vemos el centro de negocios. Por lo tanto, este anuncio está destinado a las personas que trabajan en el centro de negocios y poseen un coche.


== Conquête et lutte ==
Este anuncio implica un secuestro y, por lo tanto, que existe un peligro.
Nous allons analyser comment les pouvoirs successifs en Afrique du Sud ont utilisé le territoire pour mettre en place leur stratégie politique.
Les deux cartes suivantes présentent un certain nombre d’informations avérées. Elles ont été produites durant les années du régime d’apartheid est ont une visée politique et idéologique. Cela ne se retrouve pas nécessairement dans les informations, mais dans la manière de les présenter.


[[Fichier:Black settlement process.png|200px|vignette|gauche|Black settlement process]]
Además, se recuerda a estas poblaciones que no tienen por qué estar en estos lugares.


Cette carte est un jeu de flèche qui montre d’où l’on pense que viennent des populations africaines originaires d’autre région d’Afrique et où elles se sont implantées.
La marca "Matrix" dice que "si estás en este lugar, lo sabremos". "Matrix" vende un sistema de baliza montado en el vehículo que permite que el vehículo esté permanentemente localizado. En el contexto sudafricano, estamos hablando de seguridad humana. Este sistema de seguridad enviará a una policía privada para que te recoja.
Est particulièrement touché : la partie septentrionale et l’est de la carte
Ces populations ont  des origines diversifiées, par exemple Nguni, mais sont d’origine bantoue. Elles trouvent leur positionnement initial plutôt au centre du continent et elles se sont orientées vers l’est et le sud. Le territoire africain actuel est le résultat d’un processus venant du nord.
Ce document n’est pas daté, mais on considère que les migrations de ces populations d’origine bantoue se sont déroulées sur plusieurs siècles.
Est cependant proposée une date butoir fixée en 1770. Elle ne tient pas compte d’autres mouvements de redistribution à l’intérieur de l’Afrique du Sud avec l’urbanisation.
Une grande partie du peuplement de l’Afrique du Sud trouve son origine à l’extérieur qui s’est fait sous forme de vagues migratoires successives.
On montre, en surfacique, l’existence de l’Empire de Shaka. C’est un empire précolonial zoulou avec un chef guerrier qui a été efficace dans ses entreprises. Il aurait mis au point des techniques de combat sur le terrain et en termes d’armement avec l’invention d’une arme très efficace au combat au corps à corps. Cet empereur était connu des puissances coloniales.
[[Fichier:White settlement process.png|200px|vignette|droite|White settlement process.]]
La première date qui apparaît est 1652 : c’est la première implantation européenne sur ce qui sera plus tard la ville du Cap.
Au milieu du XVIIème siècle, plusieurs puissances coloniales constituent des compagnies marchandes afin de drainer des richesses vers l’Europe.
Les Pays-Bas disposent d’une compagnie maritime coloniale (compagnie des Indes néerlandaise) qui s’est spécialisée dans le drainage des richesses vers l’Europe.
Cette compagnie s’intéresse aux Indes néerlandaises qui sont colonisées à la manière de la première colonisation. C’est-à-dire qu’ils s’implantent sur les littoraux à travers de comptoirs. Ils entretiennent des relations avec des intermédiaires.
On introduit aussi la colonie de peuplement afin de coloniser des espaces avec une exploitation directe du territoire par des pionniers.
Pour accéder aux Indes néerlandaises, il faut contourner le territoire africain en passant par le Cape de Bonne Espérance. Le site du Cap va être choisi pour constituer une étape sur la route des Indes néerlandaises au milieu du XVIIe siècle.
Très rapidement, cela va devenir une petite colonie de peuplement. En plus d’être une étape, le Cap devient un lieu de ravitaillement qui nécessite une production locale. Un certain nombre de colons vont venir s’implanter pour constituer une petite colonie de peuplement afin de ravitailler la compagnie.
Progressivement, cette petite colonie de peuplement va s’étendre. Au tout début, du XIXe il y a une colonie du Cap étendue, avec une périphérie ou des aventuriers introduisent de relations avec les populations autochtones qu’on appelle les populations Khoisans.
Durant cette première phase de colonisation, il y a une périphérie plus ou moins colonisée parcourue par des aventuriers qui développent des relations aussi matrimoniales. Beaucoup d’hommes arrivent seuls et prennent pour épouses des natives. Dès lors on va introduire des pratiques de séparations et le métissage va être condamné et limité.
Au XVIIIème siècle, les britanniques vont s’emparer de la colonie et prendre le leadership de cette partie du monde.
 
Cela va avoir des conséquences importantes qui expliquent la conquête intérieure :
*les britanniques vont tenter de contrôler sous des formes militaires un territoire plus large et s’oppose à une population plus large notamment les Bantous, mais aussi à une population européenne. Une partie des populations néerlandaises est coupée des Provinces-Unies et s’est autonomisée, ce sont les Afrikaners. Il conserve la langue inspirée du néerlandais qui est un dialecte à savoir l’afrikans. Ces populations ont voulu échapper au joug britannique : c’est le grand trek. Ce mouvement d’exode des Afrikaners en fuite les a poussés à se lancer à la conquête de territoires intérieurs sous la forme de milice. Ils ont avancé jusqu’à tomber sur les populations bantoue et zoulou au nord
*les britanniques vont aussi créer une colonie de peuplement. À la fin du XIXe siècle, on a une présence européenne sur la totalité du territoire sud-africain actuel. Il y a eu un affrontement au début du XXe siècle : la guerre des Bourgs entre britanniques et afrikaners. Les britanniques vont utiliser des méthodes radicales. Leur armée se heurtait aux pionniers organisés en milice. Pour résoudre ce problème, ils ont mis  en place des camps de concentration afin de limiter le soutien aux groupes armés qu’ils affrontaient. Les britanniques sont sortis victorieux, mais ont laissé des traces dans la population.


[[Fichier:Sketch of matal.png|200px|vignette|gauche|Sketch of matal.]]
Previamente, el propietario de este sistema debe tener áreas registradas de las que se autoexcluye. Se puede utilizar un producto que limite su capacidad de viajar voluntariamente sobre la base de la seguridad y la inseguridad.
Les britanniques, durant le XIXe siècle, on conquit le Natal. Pour cela, ils ont établi une colonie de peuplement et créé une sorte de protectorat en laissant une certaine autonomie aux populations.
À la fin du XXème siècle a lieu une bataille en 1879 dans laquelle l’armée royale a essuyé une lourde défaite engendrant des pertes immenses. C’est un traumatisme pour l’armée et l’Angleterre victorienne.
Le mythe zoulou est né de cette bataille. Il a plusieurs déclinaisons à la fois historique, culturelle et politique. Aujourd’hui, il y a toute une série de lieux qui se réfèrent à ce mythe de l’âge d’or des Zoulous.
Aujourd’hui, toute une contre-culture d’une population d’origine africaine se réclame du mythe zoulou qui est porteur à la fois d’un passé glorieux pour les populations africaines, symbolise la résistance notamment face à l’apartheid.


C’est aussi une ressource politique. Au sortir de l’apartheid dans les années 1990, il y a eu une quasi-guerre civile entre l’Inkatha Freedom Party qui est zoulou et celui de Nelson Mandela l’African National Congress. Une partie des services secrets et de l’armée a soutenu les zoulous en prônant que l’effondrement de l’apartheid allait engendrer des luttes entre ethnies. L’enjeu pour le parti de Mandela était de reconquérir des soutiens dans le camp zoulou en jouant sur le mythe zoulou.
= Los orígenes coloniales de una ocupación desigual del espacio =


<gallery>
== Conquista y lucha ==
Analizaremos cómo las sucesivas potencias sudafricanas han utilizado el territorio para poner en práctica su estrategia política.
 
Los dos mapas siguientes presentan una cierta cantidad de información probada. Se produjeron durante los años del régimen del apartheid oriental y tienen un enfoque político e ideológico. Esto no se refleja necesariamente en la información, sino en la forma en que se presenta.[[Fichier:Black settlement process.png|200px|vignette|gauche|Black settlement process]]Este mapa es un conjunto de flechas que muestra de dónde se cree que provienen las poblaciones africanas de otras partes de África y dónde se han asentado.
 
Particularmente afectado: la parte septentrional y oriental del mapa.
 
Estas poblaciones tienen orígenes diversos, como Nguni, pero son de origen bantú. Su posición inicial es más bien en el centro del continente y se han orientado hacia el este y el sur. El actual territorio africano es el resultado de un proceso que viene del norte.
 
Este documento no está fechado, pero se considera que las migraciones de estas poblaciones de origen bantú se produjeron a lo largo de varios siglos.
 
Sin embargo, se propone una fecha límite de 1770. No tiene en cuenta otros movimientos redistributivos dentro de Sudáfrica con la urbanización.
 
Gran parte de la población de Sudáfrica se originó fuera del país en forma de sucesivas olas migratorias.
 
Mostramos, en términos superficiales, la existencia del Imperio de Shaka. Es un imperio zulú precolonial con un líder guerrero que ha sido eficaz en sus esfuerzos. Habría desarrollado técnicas de combate en el campo y en términos de armamento con la invención de un arma muy eficaz en el combate cuerpo a cuerpo. Este emperador era conocido por las potencias coloniales.[[Fichier:White settlement process.png|200px|vignette|droite|White settlement process.]]La primera fecha que aparece es 1652: es el primer asentamiento europeo en lo que más tarde será la ciudad de Ciudad del Cabo.
 
A mediados del siglo XVII, varias potencias coloniales formaron empresas comerciales con el fin de drenar la riqueza hacia Europa.
 
Los Países Bajos tienen una compañía naviera colonial (Dutch India Company) que se especializa en drenar la riqueza hacia Europa.
 
Esta empresa está interesada en las Indias Holandesas, que son colonizadas de la misma manera que la primera colonización. Es decir, se asientan en las costas a través de mostradores. Mantienen relaciones con intermediarios.
 
El asentamiento también se introdujo para colonizar áreas con explotación directa del territorio por parte de los pioneros.
 
Para acceder a las Indias Holandesas, hay que atravesar el territorio africano a través del Cabo de Buena Esperanza. El sitio de Ciudad del Cabo fue elegido como punto de parada en el camino hacia las Indias Holandesas a mediados del siglo XVII.
 
Muy rápidamente, se convertirá en un pequeño asentamiento. Además de ser una escala, Ciudad del Cabo se convierte en un punto de suministro que requiere producción local. Un cierto número de colonos vinieron a establecer un pequeño asentamiento para abastecer a la empresa.
 
Gradualmente, este pequeño asentamiento se expandirá. Al principio, en el siglo XIX, había una extensa Colonia del Cabo, con una periferia donde los aventureros introducían relaciones con las poblaciones indígenas conocidas como las poblaciones Khoisan.
 
Durante esta primera fase de la colonización, hay una periferia más o menos colonizada atravesada por aventureros que desarrollan tales relaciones matrimoniales. Muchos hombres llegan solos y se casan con mujeres nativas. A partir de entonces, se introducirán prácticas de separación y se condenará y limitará el mestizaje.
 
En el siglo XVIII, los británicos tomaron el control de la colonia y tomaron el liderazgo de esta parte del mundo.
 
Esto tendrá consecuencias importantes que explican la conquista interna:
*los británicos intentarán controlar un territorio más grande en formas militares y se opondrán a una población mayor, en particular los bantúes, pero también a una población europea. Una parte de la población holandesa está aislada de las Provincias Unidas y se ha convertido en autónoma, los Afrikaners. Conserva el idioma inspirado en el holandés, que es un dialecto conocido como afrikans. Estas poblaciones querían escapar del yugo británico: es el gran trekking. Este éxodo de los afrikaners que huían los llevó a conquistar territorios interiores en forma de milicias. Avanzaron hasta que se encontraron con las poblaciones bantú y zulú en el norte.
*los británicos también crearán una colonia de asentamientos. A finales del siglo XIX, había una presencia europea en toda la actual Sudáfrica. A principios del siglo XX hubo un enfrentamiento: la guerra de Burg entre los británicos y los afrikaners. Los británicos usarán métodos radicales. Su ejército se enfrentó a los pioneros organizados en milicias. Para resolver este problema, establecieron campos de concentración para limitar el apoyo a los grupos armados a los que se enfrentaban. Los británicos salieron victoriosos, pero dejaron su huella en la población.
 
[[Fichier:Sketch of matal.png|200px|vignette|gauche|Sketch of matal.]]Los británicos, durante el siglo XIX, conquistaron Natal. Para ello, establecieron una colonia de asentamientos y crearon una especie de protectorado, dejando cierta autonomía a las poblaciones.
 
A finales del siglo XX hubo una batalla en 1879 en la que el ejército real sufrió una dura derrota que provocó grandes pérdidas. Es un trauma para el ejército y la Inglaterra victoriana.
 
El mito zulú nació de esta batalla. Tiene varias variaciones históricas, culturales y políticas. Hoy en día, hay toda una serie de lugares que hacen referencia a este mito de la edad de oro de los zulúes.
 
Hoy en día, toda una contracultura de una población de origen africano pretende formar parte del mito zulú, que es a la vez un pasado glorioso para las poblaciones africanas y un símbolo de resistencia, en particular al apartheid.
 
También es un recurso político. Después del apartheid en la década de 1990, hubo una guerra civil entre el Partido de la Libertad Inkatha, que es Zulú, y el Partido de la Libertad Inkatha de Nelson Mandela, el Congreso Nacional Africano. Algunos de los servicios secretos y el ejército apoyaron a los zulúes defendiendo que el colapso del apartheid conduciría a luchas interétnicas. El desafío para el partido de Mandela era recuperar el apoyo en el campamento zulú jugando con el mito zulú.<gallery>
Fichier:Black settlement process.png|Black settlement process.
Fichier:Black settlement process.png|Black settlement process.
Fichier:White settlement process.png|White settlement process.
Fichier:White settlement process.png|White settlement process.
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On peut voir (fig1.1) qu’il n’y a qu’une date. Cette manière de présenter les choses donne l’impression que la date fondamentale est au XVIIe siècle alors que pour les Bantou c’est le milieu du XVIIIème siècle. Cela soutient implicitement qu’il y aurait antériorité du peuplement européen. L’originalité du pouvoir serait liée à l’antériorité du peuplement colonial : on cherche à prouver que le peuplement européen est légitime, car il serait antérieur au peuplement des autochtones.
Podemos ver (fig. 1.1) que sólo hay una fecha. Esta forma de presentar las cosas da la impresión de que la fecha fundamental está en el siglo XVII, mientras que para los bantúes es la mitad del siglo XVIII. Esto argumenta implícitamente que habría una anterioridad en el acuerdo europeo. La originalidad del poder estaría ligada a la anterioridad del asentamiento colonial: el objetivo es probar que el asentamiento europeo es legítimo, porque sería anterior al asentamiento de los nativos.


== Mise en place d’un ordre colonial ==
== Mise en place d’un ordre colonial ==

Version du 6 décembre 2018 à 21:11

Sudáfrica tiene una experiencia histórica y geográfica muy particular. El racismo habrá sido un componente fundamental. En cada fase, ha utilizado el espacio y el territorio como medio para aplicar una política que ha tenido un carácter segregativo.

Sudáfrica ha desarrollado sistemas políticos terribles, primero bajo el dominio colonialista y luego autónomos a través de políticas de apartheid. No fue hasta principios de la década de 1990 que el apartheid cesó junto con otros sistemas. Era el fin de una orden segregacionista.

Hoy en día, Sudáfrica está tratando de reconstruirse sobre la base de un modelo de "arco iris", pero también de reducir las desigualdades que resultan del sistema anterior.

Es una colonia de asentamientos que ha conservado la población anterior que se llevó a cabo con sucesivas oleadas de colonización europea. Además, la constitución del sistema de segregación, en sus tecnologías espaciales, muestra que la geografía puede ser movilizada con fines políticos.

¿Cómo introdujo la geografía del apartheid una organización espacial original y reveladora que muestra cómo la organización del territorio está estrechamente vinculada a la del poder?

Languages

Cinco rompecabezas espaciales sudafricanos

En la época contemporánea, Sudáfrica ofrece toda una serie de enigmas geográficos.

Distribución desigual de la población

Puede parecer enigmático y extraño porque hay fuertes contrastes.

Distribución de la población sudafricana en 1996 según el censo de 1996 y devuelta dentro de los límites municipales de 2000 - La nouvelle géographie régionale de l’Afrique du Sud post-apartheid por el Prof. Brij Maharaj y Dr. Sagie Narsiah

Aparecen grandes y densamente pobladas áreas, cada punto representa 10.000 habitantes. Por otro lado, hay toda una parte de las densas regiones costeras del norte. El eje este-oeste es, por tanto, el primer nivel de oposición. También hay grandes zonas de aglomeraciones con tres aglomeraciones principales y una enorme en el interior.

Este mapa hace toda una serie de preguntas. Es posible distinguir:

  • grandes centros urbanos con una alta densidad de población;
  • características geográficas específicas de cada región.

Composición por origen de la empresa sudafricana

La población sudafricana tiene orígenes muy diversos.

Concentrations raciales en Afs (1979).

Este mapa muestra la distribución de los diferentes grupos definidos según el origen de la población. Es una sociedad multiétnica/racial o una sociedad cosmopolita:

  • blancos
  • negros
  • indio
  • colores: incluye las poblaciones nacidas de uniones mixtas.

Esta tipología se refiere a los diferentes orígenes de las poblaciones que han llegado a Sudáfrica. Podemos entonces cuestionar las razones de estos movimientos de población. Se trata de grupos mixtos que constituyen una categoría aparte. Hoy en día, la Sudáfrica contemporánea juega con esta riqueza, por lo que se la llama la "nación del arco iris"[11][12].

Sin embargo, todavía hay resurgimientos hacia ciertas poblaciones sudafricanas que están atacando a poblaciones de origen africano (Gambia, Congo, etc.).

El hecho sorprendente es que tenemos una distribución geográfica desigual.

Discontinuidad en los paisajes

En Sudáfrica, hay fronteras duras que aparecen dentro del propio territorio nacional.

Formas de urbanización y asentamiento en Sudáfrica después del apartheid (proyección en 2000) - Fuente:The Urban Foundation, 1990.

Este póster muestra los contrastes dentro de las principales ciudades sudafricanas: el distrito comercial central y, más allá, los municipios y los suburbios para los más ricos.

Hay una división y claros contrastes con fuertes contrastes paisajísticos.

También existen contrastes en el campo según el tipo de agricultura (intensiva o extensiva). Además, estas regiones han estado dominadas por poblaciones de origen europeo de baja densidad.

Dentro de cada categoría también hay contrastes. Hoy en día, este límite está pasando dentro de las propias ciudades.

Todas estas son fronteras interiores que nos cuestionan sobre cómo se mantienen.

Se deben recordar dos características principales:

  • existe una planificación precolonial del uso de la tierra;
  • podemos ver un fortalecimiento de esta dicotomía.

La Sudáfrica contemporánea se afirma en un proceso de renacimiento del continente africano

Hoy en día, Sudáfrica es el iniciador del "renacimiento africano"[13][14]. Esta es una originalidad de un país que ha estado durante mucho tiempo en una posición marginal.

Coega.png

Estamos hablando de la creación de un puerto de aguas profundas en Port-Elizabeth. El objetivo es promover los méritos de este puerto industrial, pero también el papel de Sudáfrica en el mundo africano.

Es un área de infraestructura combinada con una industria para captar flujos con el fin de atraer inversionistas extranjeros. Existe, por lo tanto, la oportunidad de estar en contacto con los lugares que cuentan para globalizarlo y ser un elemento integrado y dinámico.

El faro de Alejandría representa el África precolonial. Hoy en día, el desafío sería encontrar un lugar para el continente africano a fin de ser un actor importante en la globalización y volver a conectarse con el glorioso período del continente. Sudáfrica propone reanudar este impulso en nombre del "renacimiento africano".

Dinámica de la autoexclusión espacial

Matrix - Matrix offers packages that have been specifically designed to match individual safety, security and personal vehicle tracking needs. With a choice in service offerings of either core security, enhanced safety or advanced safety+, you are sure to find the perfect package to match all your vehicle tracking requirements.

Varios individuos o grupos deciden por iniciativa propia restringir los espacios que consideran aceptables para ellos. Vemos en primer plano la periferia extrema de una zona urbana sudafricana.

A lo lejos, vemos el centro de negocios. Por lo tanto, este anuncio está destinado a las personas que trabajan en el centro de negocios y poseen un coche.

Este anuncio implica un secuestro y, por lo tanto, que existe un peligro.

Además, se recuerda a estas poblaciones que no tienen por qué estar en estos lugares.

La marca "Matrix" dice que "si estás en este lugar, lo sabremos". "Matrix" vende un sistema de baliza montado en el vehículo que permite que el vehículo esté permanentemente localizado. En el contexto sudafricano, estamos hablando de seguridad humana. Este sistema de seguridad enviará a una policía privada para que te recoja.

Previamente, el propietario de este sistema debe tener áreas registradas de las que se autoexcluye. Se puede utilizar un producto que limite su capacidad de viajar voluntariamente sobre la base de la seguridad y la inseguridad.

Los orígenes coloniales de una ocupación desigual del espacio

Conquista y lucha

Analizaremos cómo las sucesivas potencias sudafricanas han utilizado el territorio para poner en práctica su estrategia política.

Los dos mapas siguientes presentan una cierta cantidad de información probada. Se produjeron durante los años del régimen del apartheid oriental y tienen un enfoque político e ideológico. Esto no se refleja necesariamente en la información, sino en la forma en que se presenta.

Black settlement process

Este mapa es un conjunto de flechas que muestra de dónde se cree que provienen las poblaciones africanas de otras partes de África y dónde se han asentado.

Particularmente afectado: la parte septentrional y oriental del mapa.

Estas poblaciones tienen orígenes diversos, como Nguni, pero son de origen bantú. Su posición inicial es más bien en el centro del continente y se han orientado hacia el este y el sur. El actual territorio africano es el resultado de un proceso que viene del norte.

Este documento no está fechado, pero se considera que las migraciones de estas poblaciones de origen bantú se produjeron a lo largo de varios siglos.

Sin embargo, se propone una fecha límite de 1770. No tiene en cuenta otros movimientos redistributivos dentro de Sudáfrica con la urbanización.

Gran parte de la población de Sudáfrica se originó fuera del país en forma de sucesivas olas migratorias.

Mostramos, en términos superficiales, la existencia del Imperio de Shaka. Es un imperio zulú precolonial con un líder guerrero que ha sido eficaz en sus esfuerzos. Habría desarrollado técnicas de combate en el campo y en términos de armamento con la invención de un arma muy eficaz en el combate cuerpo a cuerpo. Este emperador era conocido por las potencias coloniales.

White settlement process.

La primera fecha que aparece es 1652: es el primer asentamiento europeo en lo que más tarde será la ciudad de Ciudad del Cabo.

A mediados del siglo XVII, varias potencias coloniales formaron empresas comerciales con el fin de drenar la riqueza hacia Europa.

Los Países Bajos tienen una compañía naviera colonial (Dutch India Company) que se especializa en drenar la riqueza hacia Europa.

Esta empresa está interesada en las Indias Holandesas, que son colonizadas de la misma manera que la primera colonización. Es decir, se asientan en las costas a través de mostradores. Mantienen relaciones con intermediarios.

El asentamiento también se introdujo para colonizar áreas con explotación directa del territorio por parte de los pioneros.

Para acceder a las Indias Holandesas, hay que atravesar el territorio africano a través del Cabo de Buena Esperanza. El sitio de Ciudad del Cabo fue elegido como punto de parada en el camino hacia las Indias Holandesas a mediados del siglo XVII.

Muy rápidamente, se convertirá en un pequeño asentamiento. Además de ser una escala, Ciudad del Cabo se convierte en un punto de suministro que requiere producción local. Un cierto número de colonos vinieron a establecer un pequeño asentamiento para abastecer a la empresa.

Gradualmente, este pequeño asentamiento se expandirá. Al principio, en el siglo XIX, había una extensa Colonia del Cabo, con una periferia donde los aventureros introducían relaciones con las poblaciones indígenas conocidas como las poblaciones Khoisan.

Durante esta primera fase de la colonización, hay una periferia más o menos colonizada atravesada por aventureros que desarrollan tales relaciones matrimoniales. Muchos hombres llegan solos y se casan con mujeres nativas. A partir de entonces, se introducirán prácticas de separación y se condenará y limitará el mestizaje.

En el siglo XVIII, los británicos tomaron el control de la colonia y tomaron el liderazgo de esta parte del mundo.

Esto tendrá consecuencias importantes que explican la conquista interna:

  • los británicos intentarán controlar un territorio más grande en formas militares y se opondrán a una población mayor, en particular los bantúes, pero también a una población europea. Una parte de la población holandesa está aislada de las Provincias Unidas y se ha convertido en autónoma, los Afrikaners. Conserva el idioma inspirado en el holandés, que es un dialecto conocido como afrikans. Estas poblaciones querían escapar del yugo británico: es el gran trekking. Este éxodo de los afrikaners que huían los llevó a conquistar territorios interiores en forma de milicias. Avanzaron hasta que se encontraron con las poblaciones bantú y zulú en el norte.
  • los británicos también crearán una colonia de asentamientos. A finales del siglo XIX, había una presencia europea en toda la actual Sudáfrica. A principios del siglo XX hubo un enfrentamiento: la guerra de Burg entre los británicos y los afrikaners. Los británicos usarán métodos radicales. Su ejército se enfrentó a los pioneros organizados en milicias. Para resolver este problema, establecieron campos de concentración para limitar el apoyo a los grupos armados a los que se enfrentaban. Los británicos salieron victoriosos, pero dejaron su huella en la población.
Sketch of matal.

Los británicos, durante el siglo XIX, conquistaron Natal. Para ello, establecieron una colonia de asentamientos y crearon una especie de protectorado, dejando cierta autonomía a las poblaciones.

A finales del siglo XX hubo una batalla en 1879 en la que el ejército real sufrió una dura derrota que provocó grandes pérdidas. Es un trauma para el ejército y la Inglaterra victoriana.

El mito zulú nació de esta batalla. Tiene varias variaciones históricas, culturales y políticas. Hoy en día, hay toda una serie de lugares que hacen referencia a este mito de la edad de oro de los zulúes.

Hoy en día, toda una contracultura de una población de origen africano pretende formar parte del mito zulú, que es a la vez un pasado glorioso para las poblaciones africanas y un símbolo de resistencia, en particular al apartheid.

También es un recurso político. Después del apartheid en la década de 1990, hubo una guerra civil entre el Partido de la Libertad Inkatha, que es Zulú, y el Partido de la Libertad Inkatha de Nelson Mandela, el Congreso Nacional Africano. Algunos de los servicios secretos y el ejército apoyaron a los zulúes defendiendo que el colapso del apartheid conduciría a luchas interétnicas. El desafío para el partido de Mandela era recuperar el apoyo en el campamento zulú jugando con el mito zulú.

Podemos ver (fig. 1.1) que sólo hay una fecha. Esta forma de presentar las cosas da la impresión de que la fecha fundamental está en el siglo XVII, mientras que para los bantúes es la mitad del siglo XVIII. Esto argumenta implícitamente que habría una anterioridad en el acuerdo europeo. La originalidad del poder estaría ligada a la anterioridad del asentamiento colonial: el objetivo es probar que el asentamiento europeo es legítimo, porque sería anterior al asentamiento de los nativos.

Mise en place d’un ordre colonial

Une fois que l'Afrique du Sud a été conquise par les troupes britanniques et les colons d’origine néerlandaise, il y a eu processus d’accaparement de la terre et de concentration de la population africaine sur des espaces réservés que l’on peut qualifier de « résiduel ». Sur ces territoires le pouvoir colonial acceptait une gestion de type coutumière dévolue aux ethnies.

Concentration de la population africaine sur des espaces réservés.png
  • une part majoritaire de l’espace sous contrôle des colonisateurs selon un processus d’accaparement de la terre.
  • une part minoritaire de l’espace réservée (d’où le mot réserve) aux populations africaines avec une gestion coutumière sous contrôle extérieur
Scheduled lands in terms of the Natives Land Act, 1913. Moiloa’s Reserve was part of the scheduled lands, but Braklaagte was not. Source: www.sahistory.org.za

En 1913 se constitue l’Union des populations sud-africaines. La guerre est terminée depuis 1905 et en 1910 on a créé l’Union sud-africaine qui renvoie à l’unification de la colonie du Cap et du Matale associés à deux anciennes provinces dominées anciennement par les afrikaners à savoir l’Orange Free State et la République du Transvaal.

La nouvelle colonie britannique unifiée va avoir à partir de 1911 un statut diffèrent des autres colonies dans l’Union sud-africaine.

Au début du XXème siècle, on a avec l’Union sud-africaine des populations africaines soumises à l’ordre colonial et aux colonisateurs. Moins de 15% de superficie est sous administration automne chaponné par l’autorité coloniale.

Ce système assure la domination absolue sur les populations africaines et les ressources minières. Les européennes se sont assuré le quasi-contrôle des ressources ne laissant des réserves que extrêmement réduites aux populations d’origines africaines. Ces surfaces dédiées vont peu à peu être étendues dans les années 1930 pour assurer un minimum à la survie des populations africaines en termes de production alimentaire.

Au milieu du XXème siècle, les colons minoritaires tiennent cette colonie qui repose sur une extrême ségrégation de l’espace et une répartition inégale des ressources.

  • Les populations d’origine britannique prônent une domination politique et sont présentes en ville et dans une moindre mesure en campagne. Ils ont amené des populations d’origine indienne dans le cadre du grand empire colonial. Cela répondait à un besoin de main-d’œuvre qui n’était pas sous le système servile, mais sous un système contractuel régulé qui engendrait des dépendances vis-à-vis des britanniques. On les retrouve principalement au Matale ; ils se sont constitués en tant que groupe commerçant.
  • Les afrikaners sont dominés politiquement, mais sont partie prenante envers le système colonialiste. Ce sont des populations peu urbanisées qui a un groupe de population qui lui est dépendant. Ce sont les métisses constituées de populations d’origines différentes, soit issues des unions avec des pionniers européens. Les autorités coloniales et d’apartheid vont mettre dans ce groupe notamment des populations arrivées très précocement et des populations serviles ramenées des Indes néerlandaises. Ces populations ont des origines asiatiques. Ces populations ont en commun de parler l’afrikans.

On a une société complexe dont les Bantous que l’on peut subdiviser en diffèrent groupes à partir des langues et des dialectes utilisés. On peut aussi définir des rapports de forces démographiques, mais encore fonciers pour créer une dichotomie des populations.

Les trois apartheids

Au sortir de la Deuxième guerre mondiale, les populations d’origine européenne ont le droit de vote, les groupes intermédiaires ont des droits politiques inférieurs, et les populations d’origine africaine n’ont pas de droits politiques sauf sous la forme de l’aspect judiciaire et du sol dans les réserves.

En ville règne une certaine ségrégation où l’on crée des quartiers pour ces populations. En 1848, le Parti National dominé par les Afrikaners remporte contre toute attente les élections. Va dès lors se mettre en place le système ségrégatif d’apartheid qui reprend l’ordre colonial précèdent en le systématisant et en traduisant les objectifs de ségrégation de manière territoriale.

On peut parler de plusieurs apartheids. Le concept est de codifier les droits imposés aux différents groupes selon leurs origines. Pour mettre en place ce régime, la population est strictement définie, on va avoir tout un appareil législatif qui va spécifier les différentes contraintes :

Apartheid « mesquin »

C'est la ségrégation quotidienne dans l’espace public (places réservées, lieux interdits ...). Il codifie les manières dont on doit se comporter dans les espaces publics. C’est une compartimentation de l’espace public qui en régit son accès.

Il a été réalisé à la demande des « petits blancs ». C’est les moins bien nantis des populations de colons qui représentent aussi la base électorale du « Parti National ». L’apartheid « mesquin » est adapté aux dispositions essentielles des « petits blancs ».

Apartheid mesquin.png

Apartheid urbain

Il régit la « ville d’apartheid » et les ères attribuées à chaque catégorie de population. Il est finalement connu par la construction de vastes quartiers appelés les « townships ». Soweto (South West Townships) à Johannesburg est un ensemble de townships.

Le township est destiné aux populations africaines, mais l’habitat lui-même correspond à l’habitat ouvrier qui s’est formé à l’accompagnement de la révolution industrielle. Ce n’est pas un habitat insalubre.

Il est conçu dans le cadre d’une ségrégation absolue dans toute la ville avec un jeu de passe pour éviter la mobilité des populations africaines à l’intérieur de la ville.

Apartheid urbain 1.png

À partir de la fin des années 1970 et 1980, ce sont des townships entourés de bidonvilles qui se sont greffés à ces zones de populations

La ville de Graaff-Reinet se situe dans une petite vallée qui offre une opportunité de développement par son environnement.

C’est une petite ville qui s’est développée sur un modèle rural pour développer des plantations et accéder à certaines ressources. C’est un environnement privilégié qui permet l’entretien d’une végétation abondante.

On voit l’apparition d’une zone tampon (« buffer zone ») pour séparer visuellement dans l’espace est séparé. On débouche sur une ville atomisée en entité différente et séparée les unes des autres.

Composition de la ville d'aparthei.png

Il y a une zone tampon qui séparer la partie privilégié de la ville de la partie la plus peuplée que sont les townships. L’instauration d’une zone de ségrégation soulignée par une zone tampon est une particularité de l’apartheid sud-africain.

Grand apartheid

Carte d'Afrique du Sud avec bantoustans

Il fut mis en place plus tardivement. On a regroupé ces réserves en entité qui porte un nom (ex- Bophuthatswana, Kwazulu, Transkei, etc.). Ce sont les « homelands » que l’on appelle aussi les bantoustans.

À partir des années 1950, les autorités se sont rendu compte que sur le plan international cette situation devenait insupportable. Les revendications d’indépendances des pays africains qui se généralisent dans les années 1960 se traduisant en tant que mouvement de décolonisation et vont remettre en question le régime d’apartheid qui ne veut pas se marginaliser.

Ils vont procéder à une décolonisation sans décoloniser. Cela va se faire en brimant les mouvements de revendication, mais ils vont attribuer des paquets territoriaux selon l’origine ethnique des populations en fonction de la langue d’une façon arbitraire et archaïque.

Les populations sud-africaines vont se voir attribuer une nationalité aux populations d’origine africaine qui est différente de la nationalité sud-africaine avec à terme une indépendance donnée à ces homelands, les citoyens pouvant exercer des droits politiques dans le territoire de ces nouveaux États :

  • on attribue d’abord des homeland
  • ensuite on donne l’indépendance des homelands tout en conservant la main mise sur la grande majorité du territoire sud-africain et sur les ressources minières et agricoles

Ce plan ne va pas marcher :

  • au niveau international, sauf le Malawi, personne ne va reconnaître l’indépendance de ces États. L’Afrique du Sud va être isolée sur la scène internationale.
  • au niveau régional, on peut penser que si le régime avait transféré davantage de superficies de terres, de ressources et d’agglomération, cela aurait permis de convaincre plus de population.

Anexos

Referencias