« Seguridad nacional y lucha contra el terrorismo: el ejemplo de América Latina » : différence entre les versions

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Tous ces mouvements apparaissent environ au même moment. Les influences sont toutefois complexes avec des marxistes purs, mais il y a aussi des trotskistes, les procastristes qui ont réinterprété la révolution à Cuba et toute une série d’autres modèles. Apparaissent au Guatemala, au Venezuela et en Bolivie notamment des mouvements fondés sur la stratégie de la subversion.
Todos estos movimientos aparecen casi al mismo tiempo. Sin embargo, las influencias son complejas con los marxistas puros, pero también hay trotskistas, procasteristas que han reinterpretado la revolución en Cuba y toda una serie de otros modelos. En Guatemala, Venezuela y Bolivia aparecen movimientos basados en la estrategia de subversión.
   
   
Dans l’idée de la doctrine révolutionnaire, la violence est un passage obligé et plus il y a de violence et mieux cela est, on pense que la violence va attirer l’empathie des populations paysannes.
En la idea de doctrina revolucionaria, la violencia es un pasaje obligatorio y cuanto más violencia haya y mejor sea, pensamos que la violencia atraerá la empatía de las poblaciones campesinas.
   
   
Le grand chantier est celui de la Bolivie, car dans l’analyse marxiste de Castro il faut faire basculer la révolution de Cuba qui a réussi à faire tanguer la puissance américaine en mettant le pied sur le continent par l’exportation du modèle. L’enjeu étant un enjeu marxiste et anti-impérialiste, il faut construire un camp. Les marxistes en tant que « combattant de liberté » doivent aller vers les autres. Pour des raisons historiques et politiques, le premier pays intéressant est la Bolivie, car c’est une dictature, mais sa géographie est escarpée avec des montagnes. Dans l’imaginaire castriste, il y a l’idée de mettre en place des focos. Castro va envoyer le Che pour organiser cette révolution. La Bolivie devait devenir le noyau dur de la résistance pour se répandre sur le continent sud-américain. Pour monter cette stratégie, on retrouve la stratégie du foco en envoyant des hommes au cœur de la forêt bolivienne commençant leur stratégie marxiste.
El gran proyecto es el de Bolivia, porque en el análisis marxista castrista de Castro, la revolución cubana debe ser derrocada, que logró sacudir al poder norteamericano poniendo pie en el continente exportando el modelo. Al tratarse de una cuestión marxista y antiimperialista, debemos construir un campo. Los marxistas como "luchadores de la libertad" deben ir a los demás. Por razones históricas y políticas, el primer país interesante es Bolivia, porque es una dictadura, pero su geografía está empinada con montañas. En la imaginación castrista, está la idea de establecer focos. Castro va a enviar al Che a organizar esta revolución. Bolivia tuvo que convertirse en el núcleo duro de la resistencia para extenderse en el continente sudamericano. Para construir esta estrategia, encontramos la estrategia del foco enviando hombres al corazón del bosque boliviano iniciando su estrategia marxista.
   
   
La Bolivie va être un gros échec puisque le dictateur en place avait depuis longtemps réussi à soudoyer les communautés indiennes ainsi que les paysannes. Dans l’affaire bolivienne apparait un décalage entre les projets politiques et les moyens de la lutte. Ce décalage apparait du fait que la situation fut très mal analysée du côté de Castro. Finalement il n’y a pas de support de la population paysanne qui se retire, au lieu d’une insurrection, les guérilleros ne trouvent pas d’appui parmi la population. La guérilla va être traquée et poursuivie par les militaires et ils doivent se cacher jusqu’à être encerclé, arrêté et fusillé en 1967. On retrouve ce témoignage dans les mémoires du Che.
Bolivia va a ser un gran fracaso porque el dictador en el poder había sido capaz de sobornar a las comunidades indígenas y a las campesinas. En el caso boliviano, parece que hay un desajuste entre los planes políticos y los medios de lucha. Esta discrepancia aparece porque la situación fue muy mal analizada por parte de Castro. Finalmente, no hay apoyo de la población campesina que se retira, en vez de una insurrección, la guerrilla no encuentra apoyo entre la población. Los guerrilleros serán perseguidos por los militares y deben esconderse hasta que sean rodeados, arrestados y fusilados en 1967. Este testimonio puede encontrarse en las memorias del Che.
   
   
Il y a l’échec d’une première forme de guérilla et le modèle castriste de lutte n’a pas marché. Il y a eu des forces révolutionnaires avec des trotskistes, léninistes, des maoïstes, mais cela complexifie le mouvement sans avoir une unité.
Hay el fracaso de una primera forma de guerrilla y el modelo castrista de lucha no funcionó. Ha habido fuerzas revolucionarias con trotskistas, leninistas, maoístas, pero esto complica el movimiento sin unidad.
   
   
En 1960 au Guatemala les premières révoltes sont un échec. Toutefois elles mènent à la formation du M13 qui est un mouvement révolutionnaire trotskiste fondé un 13 décembre, mais aussi à la formation des Forces Armées Révolutionnaires [FAR] qui est un mouvement pro-castriste. Ces deux mouvements entrent en conflit rendant toute révolution improbable. C’est aussi en 1960 qu’au Venezuela que le Mouvement de la gauche révolutionnaire [MIR] proche du castrisme voit le jour, puis en 1963 ce sont les Forces Armées de libération nationale [FALN– pour la « libération du peuple vénézuélien ». La répression est sanglante menant à un échec des tentatives révolutionnaire en 1969. En 1970 au Mexique est fondée l’Action Civique Nationale Révolutionnaire [ANCR] qui prône une idéologie prochinoise en menant des attaques de banques, des destructions de bâtiments, des kidnappings. Toutefois, les opérations de contre-insurrection les éliminent. Enfin, en 1978, la Colombie connaît six foyers révolutionnaires avec notamment la création en 1966 des Forces Armées révolutionnaires de Colombie [FARC] proches du Parti communiste qui défraient encore la chronique. D’autres fronts possèdent une existence très courte, mais les conflits entre groupes vont mener à l’échec des tentatives révolutionnaires.
En 1960 en Guatemala las primeras revueltas fueron un fracaso. Sin embargo, condujeron a la formación del M13, que es un movimiento revolucionario trotskista fundado el 13 de diciembre, pero también a la formación de las Fuerzas Armadas Revolucionarias (FAR), que es un movimiento pro castrista. Estos dos movimientos entran en conflicto, haciendo improbable cualquier revolución. También en 1960 nació en Venezuela el Movimiento de Izquierda Revolucionaria (MIR) cercano al castrismo, luego en 1963 las Fuerzas Armadas de Liberación Nacional (FALN) para la "liberación del pueblo venezolano". La represión es sangrienta y lleva al fracaso de los intentos revolucionarios en 1969. En 1970 en México se fundó la Acción Nacional Cívica Revolucionaria [ANCR] en México, que abogaba por una ideología china de ataques bancarios, destrucción de edificios y secuestros. Sin embargo, las operaciones de contrainsurgencia las eliminan. Finalmente, en 1978, Colombia contaba con seis hogares revolucionarios, entre ellos la creación en 1966 de las Fuerzas Armadas Revolucionarias de Colombia (FARC) junto al Partido Comunista, que seguían apareciendo en las noticias. Otros frentes tienen una existencia muy corta, pero los conflictos entre grupos llevarán al fracaso de los intentos revolucionarios.
   
   
La guérilla a montré des faiblesses. Il est difficile de gagner une guerre face à une armée révolutionnaire. Il y a une prise de conscience que les paysans ne sont pas la force marxiste-léniniste espérée interrogeant sur le fait de savoir si la paysannerie est vraiment une force révolutionnaire. D’autre part, il y a eu une sous-estimation des forces de contre-espionnage américain, car les forces latino-américaines sont aidées par les États-Unis qui vont aussi aider à la formation des paramilitaires avec l’aide de l’Europe entre autres. Peut être que la non accroche sociale est aussi due au fait que ce sont des intellectuels qui portent les armes et il y a une difficulté de maitriser les populations indigènes. Il y a un problème de cohérence globale qui fait que ce modèle marxiste rural commence à disparaitre.
La guerra de guerrillas ha mostrado debilidades. Es difícil ganar una guerra contra un ejército revolucionario. Hay conciencia de que los campesinos no son la esperada fuerza marxista-leninista que cuestiona si los campesinos son realmente una fuerza revolucionaria. Por otro lado, ha habido una subestimación de las fuerzas de contrainteligencia norteamericanas, porque las latinoamericanas cuentan con la ayuda de Estados Unidos, que también ayudará a entrenar paramilitares con la ayuda de Europa y otros. Tal vez la falta de apego social se debe también a que son los intelectuales quienes llevan las armas y hay dificultad para controlar a las poblaciones indígenas. Existe un problema de coherencia global que hace desaparecer este modelo marxista rural.


== De la théorie à la pratique : les guérillas urbaines ==
== De la théorie à la pratique : les guérillas urbaines ==

Version du 9 février 2018 à 21:06

Abordaremos la cuestión del terrorismo y la lucha contra el terrorismo en América Latina en los decenios de 1960 y 1970. Se trata de un continente que se verá afectado por una gran violencia política tras la Segunda Guerra Mundial. Este terrorismo en sí mismo evolucionó en un período de unos veinte años, lo que nos permitió reflexionar sobre una primera lucha contra el terrorismo, la violencia política en América Latina, que implicará a los Estados Unidos. Es en América Latina donde aparecen los inicios de lo que será la lucha contra el terrorismo a escala mundial a partir de 2001.

En una primera parte volveremos a las cuestiones teóricas de la guerra revolucionaria y las guerras populares prolongadas son las guerras castrum-marxistas y su fracaso que conducen a un segundo modelo de guerrilla, en la segunda parte veremos cómo América Latina sigue siendo una "caza vigilada" y un área de intervención del poder norteamericano que aparece como el tema de la organización de la lucha contra el terrorismo.

¿Por qué cuestionar a América Latina desde los años 60 hasta nuestros días? Hay tres razones:

  1. Una historia moderna de violencia política: es la base misma de una violencia política moderna, entendida como moderna, que va a implicar esfuerzos militares, medios modernos y una voluntad revolucionaria de transformar los países. Hay una violencia política renovada por motivos ideológicos muy específicos.
  2. La transición a la acción violenta como reivindicación política: es el hecho de hacer que las cosas cambien pasando por la acción violenta que para estos grupos es legítima. Si no podemos cambiar nada por medios democráticos, lo que resulta aún más difícil en el contexto de la dictadura, entonces debemos tomar las armas. Se dice que la acción violenta es un elemento fundamental de la lucha.
  3. América Latina - ¿matriz de "terrorismo" y "antiterrorismo"? América Latina es un campo interesante para describir lo que se conoce como "terrorismo moderno". En esencia, quizás América Latina ha sido un lugar donde se ha organizado el terrorismo moderno y el modelo antiterrorista. Después del 11 de septiembre, cuando Estados Unidos intentó organizar la lucha mundial contra el terrorismo, nos encontramos en un modelo que recuerda a América Latina. Aparece una conceptualización de la lucha contra el terrorismo en los años cincuenta y sesenta. Esta pregunta latinoamericana es interesante de entender como una matriz potencial.
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América Latina: de la guerra revolucionaria a la guerra popular prolongada

El contexto latinoamericano en 1950

Las descolonización ocurrieron a principios del siglo XIX entre 1810 y 1835. A partir de los años cincuenta, América Latina entró en un período de inestabilidad ligado a regímenes complejos, en particular los vinculados a regímenes paramilitares, que eran regímenes políticos basados en fuerzas militares apoyadas por fuerzas civiles-militares que eran refractarios a una transición a la democracia porque eran regímenes autoritarios que dependían del ejército para mantener el poder frente al pueblo. Adoptan posiciones agresivas hacia su pueblo, la democracia no percibe. La vida política después de 1945 parece caracterizarse por una gran inestabilidad, por una difícil gestación democrática y por la omnipresencia del ejército en los asuntos civiles.

Estados Unidos siempre ha considerado a América Latina, el continente sudamericano y Centroamérica como su "coto de caza bajo custodia", como su propio territorio que garantiza el funcionamiento mismo de la democracia estadounidense. América Latina se considera una zona exclusiva de intereses norteamericanos, es necesario monitorear lo que está ocurriendo allí y, si es posible, intervenir. Esta desafortunada tradición ha durado hasta hace poco. La proximidad e interferencia de los Estados Unidos es preponderante. La doctrina Monroe, todavía vigente, proclamó en 1823 que toda América Latina era una zona exclusiva de intereses americanos.

En el contexto de la posguerra comienza el contexto de la Guerra Fría y América Latina no puede estar exenta de saber qué modelo político promover. El modelo alternativo al modelo capitalista - imperialista es el modelo marxista. Básicamente, no hay otra opción, liberarse de la opresión de los dictadores, la única alternativa es buscar el marxismo, que es una doctrina revolucionaria que da argumentos teóricos para luchar. Se fabrican las luchas revolucionarias y se incorpora a América Latina la doctrina marxista de la lucha revolucionaria. A partir de los años 50, las"luchas revolucionarias" se libraron en todo el continente.

Hay dos períodos para dos estrategias sucesivas:

  • 1960-1975 - La guerrilla castroguevarista: es necesario hacer la revolución sobre el modelo castrista, porque el gran modelo que aparece a partir de los años 60 es la revolución castrista exitosa. Cuba se convertirá en un modelo a seguir. Este modelo guiará a toda América Latina, es un modelo rural basado en la negociación de acuerdos con los agricultores. Este período terminó alrededor de 1975 en fracaso.
  • 1975-1990 - "La segunda ola de guerrillas": es la hipótesis de una guerra popular prolongada. El castrismo no falló en Cuba, pero fracasó como fuerza subversiva para todo el continente americano. Pasamos de un modelo rural a una guerrilla urbana. En el terrorismo actual, la dimensión urbana domina.

Las guerrillas castro-guevarista, 1960-1975

Guérillas castro-guévaristes1.png

La guerrilla castro-guevarista es la guerra de guerrillas más importante que tendrá lugar alrededor de 1959. Batista creado por los americanos opera en el ejército y en una pequeña parte de la población, se instala poco a poco en la montaña de los hogares revolucionarios animados por Fidel Castro y el Che Guevara postulando que es necesario hacer una revolución y debe estar en las profundidades inspirado en gran medida por la inspiración marxista. Poco a poco se va construyendo un marco subversivo para derrocar un régimen organizando fuerzas militares en las montañas. Es una guerra de guerrilla rural y durante este tiempo no pasa nada del lado de Batista.

Guérillas castro-guévaristes2.png

El modelo que aparecerá es un modelo marxista insurreccional. La base del discurso es crear un área incontrolable por el ejército, equipándose en la montaña y cuando la guerrilla esté suficientemente organizada, se pondrá en marcha la conquista del poder. Esta es la estrategia del foco: es necesario crear hogares insurreccionales que hagan arrancar la revolución. Para Castro, tenemos que crear Vietnams.

La referencia es la lucha comunista en Vietnam contra el régimen proamericano. Hay una organización marxista revolucionaria. La idea es crear Vietnams en una lógica antiimperialista, porque Estados Unidos es el "gran Satanás" y los explotadores del Tercer Mundo. Existe la necesidad de una lucha armada que luche contra la violencia del Estado por otra violencia cuyo objetivo es desarrollar en todo el continente americano a través de la Organización Latinoamericana de Solidaridad (OLAS) fundada en julio de 1962, que decidirá la coordinación de la revolución guévarista a escala continental. Se necesita una revolución continental de movimientos revolucionarios para llevar a cabo una revolución social, política y económica en América Latina.

Los conceptos de la guerra revolucionaria según el Che Guevara: 1928 - 1967

Hay textos muy importantes que definen el socialismo por la acción y la violencia que cristaliza en la guerra de guerrillas que es la lucha de una minoría contra una mayoría.

Guérillas castro-guévaristes che + castro.png

Guevara es estudiante de medicina, revolucionario marxista, mano derecha de Fidel Castro, fiscal de la Corte Revolucionaria en La Habana, ministro de Castro, encargado de exportar primero la revolución cubana. Con Guevara, encontramos la definición sobre bases arcaicas y violentas de un discurso revolucionario. La guerra de guerrillas desde el siglo XVII ha sido teorizada incluso en Suiza, hay que jugar sorpresa para poder ganar sin enfrentarse directamente al adversario. Debes usar el truco para ganar tratando de agotar al oponente.

Este concepto fue asumido por Castro en la década de 1960. Hay que librar una nueva guerra y para que esto suceda debemos alimentar los hogares revolucionarios en todas partes, armar los movimientos y cuando llegue el gran día, estas fuerzas revolucionarias entran en conflicto directo con el ejército. Pero para que esto suceda, el pueblo debe seguir lo que será, entre otras cosas, la razón principal del fracaso del Che en Bolivia. En estos casos, no hay detalles, la represión se vuelve muy violenta.

Este movimiento fue un éxito que permitió la instalación de un régimen social-marxista con Fidel Castro. Guevara es responsable de exportar la revolución cubana. El modelo efectivo de la revolución cubana debe aplicarse a otros países.

En su obra La guerra de guerrillas, publicada en 1960, Guevara expone algunos de los principios de la guerra revolucionaria:

  • « golpear el talón de Aquiles del imperialismo »
  • « Desarrollar hogares insurreccionales[foco] para transformar profundamente la sociedad »
  • « Trabajando con los agricultores. La guerrilla como vanguardia armada del pueblo » : la guerrilla debe ser la vanguardia del pueblo. La gente que no puede permitirse el lujo de rebelarse contra la guerrilla es la punta de lanza del movimiento.
  • « El Ejército Popular como núcleo del partido, no al revés. »

De la teoría a la práctica: guerrilleros rurales

Seconde Guerre des Boers soldats ruraux.png

Todos estos movimientos aparecen casi al mismo tiempo. Sin embargo, las influencias son complejas con los marxistas puros, pero también hay trotskistas, procasteristas que han reinterpretado la revolución en Cuba y toda una serie de otros modelos. En Guatemala, Venezuela y Bolivia aparecen movimientos basados en la estrategia de subversión.

En la idea de doctrina revolucionaria, la violencia es un pasaje obligatorio y cuanto más violencia haya y mejor sea, pensamos que la violencia atraerá la empatía de las poblaciones campesinas.

El gran proyecto es el de Bolivia, porque en el análisis marxista castrista de Castro, la revolución cubana debe ser derrocada, que logró sacudir al poder norteamericano poniendo pie en el continente exportando el modelo. Al tratarse de una cuestión marxista y antiimperialista, debemos construir un campo. Los marxistas como "luchadores de la libertad" deben ir a los demás. Por razones históricas y políticas, el primer país interesante es Bolivia, porque es una dictadura, pero su geografía está empinada con montañas. En la imaginación castrista, está la idea de establecer focos. Castro va a enviar al Che a organizar esta revolución. Bolivia tuvo que convertirse en el núcleo duro de la resistencia para extenderse en el continente sudamericano. Para construir esta estrategia, encontramos la estrategia del foco enviando hombres al corazón del bosque boliviano iniciando su estrategia marxista.

Bolivia va a ser un gran fracaso porque el dictador en el poder había sido capaz de sobornar a las comunidades indígenas y a las campesinas. En el caso boliviano, parece que hay un desajuste entre los planes políticos y los medios de lucha. Esta discrepancia aparece porque la situación fue muy mal analizada por parte de Castro. Finalmente, no hay apoyo de la población campesina que se retira, en vez de una insurrección, la guerrilla no encuentra apoyo entre la población. Los guerrilleros serán perseguidos por los militares y deben esconderse hasta que sean rodeados, arrestados y fusilados en 1967. Este testimonio puede encontrarse en las memorias del Che.

Hay el fracaso de una primera forma de guerrilla y el modelo castrista de lucha no funcionó. Ha habido fuerzas revolucionarias con trotskistas, leninistas, maoístas, pero esto complica el movimiento sin unidad.

En 1960 en Guatemala las primeras revueltas fueron un fracaso. Sin embargo, condujeron a la formación del M13, que es un movimiento revolucionario trotskista fundado el 13 de diciembre, pero también a la formación de las Fuerzas Armadas Revolucionarias (FAR), que es un movimiento pro castrista. Estos dos movimientos entran en conflicto, haciendo improbable cualquier revolución. También en 1960 nació en Venezuela el Movimiento de Izquierda Revolucionaria (MIR) cercano al castrismo, luego en 1963 las Fuerzas Armadas de Liberación Nacional (FALN) para la "liberación del pueblo venezolano". La represión es sangrienta y lleva al fracaso de los intentos revolucionarios en 1969. En 1970 en México se fundó la Acción Nacional Cívica Revolucionaria [ANCR] en México, que abogaba por una ideología china de ataques bancarios, destrucción de edificios y secuestros. Sin embargo, las operaciones de contrainsurgencia las eliminan. Finalmente, en 1978, Colombia contaba con seis hogares revolucionarios, entre ellos la creación en 1966 de las Fuerzas Armadas Revolucionarias de Colombia (FARC) junto al Partido Comunista, que seguían apareciendo en las noticias. Otros frentes tienen una existencia muy corta, pero los conflictos entre grupos llevarán al fracaso de los intentos revolucionarios.

La guerra de guerrillas ha mostrado debilidades. Es difícil ganar una guerra contra un ejército revolucionario. Hay conciencia de que los campesinos no son la esperada fuerza marxista-leninista que cuestiona si los campesinos son realmente una fuerza revolucionaria. Por otro lado, ha habido una subestimación de las fuerzas de contrainteligencia norteamericanas, porque las latinoamericanas cuentan con la ayuda de Estados Unidos, que también ayudará a entrenar paramilitares con la ayuda de Europa y otros. Tal vez la falta de apego social se debe también a que son los intelectuales quienes llevan las armas y hay dificultad para controlar a las poblaciones indígenas. Existe un problema de coherencia global que hace desaparecer este modelo marxista rural.

De la théorie à la pratique : les guérillas urbaines

Dans les années 1970 apparait la seconde vague de guérilla qui est urbaine changeant de nature et suggérant que la violence doit être gardée, mais aussi élargie en direction des villes parce que nous passons à des sociétés urbaines relevant des mutations socio-économiques faisant que le pouvoir politique et plus urbain que rural. Les dictateurs ont besoin des villes, car ce sont des lieux de concentration névralgique du pouvoir. Cette deuxième guérilla va assurer la transition de la guérilla rurale à la guérilla urbaine et c’est pourquoi il faut promouvoir la lutte en ville. C’est aussi là où il y a la représentation symbolique du pouvoir et des militaires.

Manifestation tupamaros.png

C’est le concept de jungle urbaine, car, au fond, la ville peut être le territoire le plus adéquat pour se cacher et combattre le pouvoir. Apparaissent à ce moment ces guérillas urbaines qui vont penser la tactique de la guérilla en ville.

Au Brésil, en 1964, est fondée l’Alliance de la libération nationale [ALN] par Carlos Marighella qui a théorisé la guerre urbaine. La guerre de transformation, révolutionnaire doit parce qu’elle passe en ville acquérir certaines caractéristiques spécifiques et notamment de mettre en place des caches d’armes, des lieux ou se cacher afin d’appuyer la situation violente en ville. En Argentine dans les années 1970 coexiste un ensemble de mouvements complexes notamment trotskistes, maoïstes, castro-guévaristes, anarchistes, péronistes [montoneros] qui vont s’engager dans l’action violente, mais vont souvent se perdre parce qu’ils sont en conflit les uns envers les autres affaiblissant leur capacité de résistance. En 1975 a eu lieu le démantèlement complet des montaneros. En Uruguay, les Tupamaros sont marqués par la révolution cubaine. Le gouvernement va mettre en place les « escadrons de la mort » à partir de 1971 engageant une lutte anti-insurrectionnelle pour les combattre avec efficacité. Tous ces mouvements apparaissent en réaction à l’échec du Che en Bolivie.

Faiblesses de la première vague de la guérilla

La guérilla est inexpérimentée avec de faibles effectifs et des faiblesses stratégiques tandis que les conflits et la parcellisation en chapelles de la guérilla rurale et de la guérilla urbaine engendrent une atomisation contre-productive. D’autre part, la guérilla a sous-évalué le rôle de l’armée dans la lutte antisubversive et a sous-évalué l’aide américaine apportée dans la coordination de la lutte antisubversive. À cela s’ajoute une mauvaise appréciation du rôle de la paysannerie dans un dilemme entre le soutien à la guérilla ou de subir la répression des dictatures en place expliquant en partie pourquoi il y a une difficulté à mobiliser la paysannerie.

La seconde vague de guérillas : 1975 – 1990

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En 1979 la relance de la guérilla s’explique par la victoire des sandinistes au Nicaragua en déclenchant la Revolución Popular Sandinista [Révolution populaire sandiniste]. C’est un moment où les États-Unis vont dénoncer l’ingérence de l’URSS dans les affaires nicaraguayennes. Les États-Unis s’alarment des révolutions marxistes-léninistes dans le cadre de la Guerre froide. Tous ces mouvements qui déstabilisent l’Amérique latine sont sous l’influence de l’Union Soviétique. La condamnation de l’ingérence de l’URSS dans les affaires nicaraguayenne permet d’intensifier les efforts américains de lutte antiterroriste en Amérique latine. Le discours est celui d’une entreprise de déstabilisation de l’Amérique latine dans une zone exclusive.

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À cette époque le terrorisme est défini comme « des individus ou des groupes menacent de recourir ou recourent à la violence à des fins politiques, en s’opposant directement aux autorités gouvernementales, de telle sorte que les actions entreprises, chocs, coups, intimidations visent à atteindre un groupe plus large que les seules victimes ». Dans cette définition du terrorisme du Département d’État américain, il y a l’idée de subversion, de changer des régimes politiques. À partir du moment où l’on touche les intérêts vitaux des États-Unis, il va y avoir une réaction. À partir des années 1980 – 1990 vont être menées des guerres contre-insurrectionnelles en menant des opérations locales pour structurer la lutte antiterroriste.

En mars 1982 au Guatemala a lieu une guerre contre-insurrectionnelle qui permet au pouvoir militaire de reprendre le pouvoir. La stratégie militaire a consisté à isoler la guérilla physiquement sur la frontière mexicaine et socialement en la coupant des paysans. Entre 1979 et 1990 au Salvador, l’État militaire est opposé au FMLN [Front Farabundo Marti de Libération nationale] en menant des attaques insurrectionnelles contre contre-insurrections. De1980 à 1982, la Colombie connaît un épisode de guérilla en montagnes et m’occupation de Bogota par le M 13. Mais les attaques des FARC sont bloquées entament un passage à une violence protéiforme.

El miercoles 6 de noviembre de 1985, a las 11:40 de la manana, un comando del grupo Gurrillero M-19 irrumpui violentamente en el Palacio de Justicia de Colombia. Este es el inicio de uno de los mas crueles y violentos esposodios de la historia de Colombia, que culminaria 28 horas depues con mas de 100 muertos entre civiles, militares y guerrilleros, 12 desaparecidos y la casi completa destruccion de la sede principal de la justicia en Colombia.

Le Pérou entre 1970 et 1990 affronte la guérilla du Sentier Lumineux qui est un mouvement communiste marxiste-léniniste. Des guerres à partir de 1981 sont menées et à partir de 1987, le Sentier Lumineux s’enrichit du trafic de la coca. C’est ce qu’on appelle le « narco-terrorisme ». Certains groupes ont besoin d’une guerre longue pour construire une économie de guerre. Ces formes d’actions violentes pour continuer à garder le pouvoir sont obligées d’organiser économiquement des territoires afin de dégager des revenus notamment à travers le trafic de cocaïne et d’héroïne, mais aussi avec le raffinage de ces produits.

Le narco-terrorisme et intéressant à analyser parce qu’on voit une dérive révolutionnaire vers une dérive mafieuse. Le narco-terrorisme est un mélange de genres entre actions violentes dites « idéologique » et une action violente de production d’une valeur marchande.

L’Amérique latine : un domaine d’intervention réservé de l’empire américain

Il faut comprendre l’intérêt à regarder cette lutte pour s’interroger sur les moyens de la lutte antiterroriste.

Aux origines : la place de l’Amérique latine dans le modèle impérial : 1870 – 1920

Il faut insister sur la place de l‘Amérique dans le modèle impérial américain à partir de la doctrine Monroe du nom du président américain de l’époque définissant la politique américaine sur la base que les États-Unis étant une démocratie, ils se doivent se protéger de toutes ingérences sur le leur territoire de la vieille Europe et de ses régimes monarchiques. Cela va être un paradoxe. D’un côté on ne s’intéresse pas à l’Europe, dans l’histoire américaine il y a un rapport complexe à l’Europe, de l’autre côté, cette doctrine Monroe aboutie à une autre phénomène qui est de dire que d’une certaine façon il est hors de question que l’Europe s’ingère dans les affaires de l‘Amérique latine. Dès lors, l’Amérique latine relève de l’autorité étasunienne.

Autrement dit, la doctrine Monroe suggère de protéger la démocratie américaine de tous les régimes autocratiques européens. Elle présuppose l’extension du modèle de la démocratie américaine sur son continent. Et donc le contrôle des affaires du continent américain. C’est une logique d’interventions dans son aire d’influence.

Le President Theodore Roosevelt en 1904

La doctrine Monroe, à long terme, va engager la politique du containment, d’endiguement du communisme dans les années 1950. Les affaires de l’Amérique latine sont du ressort étasunien et personne n’a le droit de s’y immiscer. Sous le principe de « messianisme américain », il faut s’intéresser de près à ce qui se passe en Amérique latine.

Il est intéressant d’étudier la constitution de la théorie de l’impérialisme américain permettant de mettre en exergue que la sécurité du continent américain est de leur propre responsabilité. Dès le XIXème siècle, les étasuniens sont interventionnistes sur l’Amérique latine avec l’annexion d’Hawaï en 1898, en 1908 – 1909 la prise du contrôle du Panama arraché à la Colombie et l’idée d’un interventionnisme très actif.

« L’injustice chronique ou l’impuissance qui résultent d’un relâchement général des règles d’une société civilisée peuvent exiger, en fin de compte, en Amérique ou ailleurs – l’intervention d’une nation civilisée – et dans l’hémisphère occidental, l’adhésion des États-Unis à la doctrine Monroe peut forcer les États-Unis, bien qu’à contrecœur, dans des cas flagrants d’injustice ou d’impuissance, à exercer un pouvoir de police internationale. »

— Discours de Théodore Roosevelt, 1904

Va alors être mise en œuvre une forte politique interventionniste. Républicains et Démocrates protègent la nation et les intérêts par l’interventionnisme. C’est une gestion réaliste qui peut être des interventions politiques et économiques par la gestion des intérêts étasuniens sur le continent américain. En 1914, les États-Unis interviennent contre la dictature mexicaine pour protéger les firmes américaines. 1915 est l’année où les États-Unis vont entamer l’occupation militaire d’Haïti, puis en 1916 c’est l’occupation par les marines du Nicaragua tandis qu’en 1917 ils interviennent au Costa Rica. En 1919 des troupes débarquent au Honduras, enfin en 1920 ils interviennent au Guatemala. Il y a un mélange des genres qui explique le principe d’interventionnisme actif.

La contre-révolution américaine : de 1945 à 1990

Cela permet de comprendre les interventions des américaines dans l’aide aux dictateurs dans les années 1950 – 1960 comme une continuité. En 1947, la Guerre froide se profile. Déjà, en février 1945 lors de la conférence panaméricaine de Chapultepec, les États-Unis rappellent aux régimes d’Amérique Latine, que la lutte doit être menée contre le communisme. Cela va permettre à cette interdépendance militaire de se construire.

Entre 1948 et 1956 va être mise en place une aide américaine à la dictature paraguayenne du général Stroessner, en1951 est mis en place une assistance militaire avec le Panama tandis que la dictature de Batista à Cuba va recevoir une aide financière et économique qui va échouer. Après l’arrivée au pouvoir de Fidel 
Castro les américains les étasuniens vont entamer le blocus de Cuba. En 1965 a lieu l’intervention américaine à Saint-Domingue. C’est un continent dans lequel il n’est pas question de laisser faire quoi que ce soit qui puisse nuire aux intérêts américains.

L’opération Condor ou « l’Interpol des dictateurs » : objectifs

Que va-t-il se passer lorsque ces mouvements vont commencer à penser le fait qu’il va falloir renverser ces dictatures pour changer de régime politique et se libérer de l’impérialisme américain ? La libération des peuples ne peut se faire qu’en détruisant les intérêts impérialistes des grandes puissances dans la théorie marxiste.

Les États-Unis ont une tradition miliaire en Amérique latine. Au fond, la lutte contre le communisme va fournir aux États-Unis un argument supplémentaire d’intervention. En tout cas, il est clair qu’ils vont présenter le communiste à partir des années 1960 comme étant le grand risque du basculement du continent américain et pour le territoire étasunien lui-même en même temps qu’ils sont en plein guerre du Vietnam.

Au fond, face à la révolution marxiste révolutionnaire, il faut coordonner la politique antiterroriste. L’opération Condor est très intéressante. Des documents ont été récemment découverts révélant tout ce qui s’était passé dans le continent américain via la CIA.

Les États-Unis vont garantir leur sécurité nationale et pour lutter contre le communisme, ils vont, à partir des années 1970, organiser la lutte antiterroriste à l’échelle du continent américain. Afin de garantir la sécurité nationale des États-Unis, après la révolution cubaine, ils vont se donner les moyens de lutter contre le communisme à l’échelle continentale. Va être systématisée la lutte antiterroriste en favorisant la connexion des militaires entre eux.

En septembre 1973 a lieu la Xème conférence des Armées Américaines [CEA] avec pour objectif de « donner plus de force à l’échange d’informations avant de contrecarrer le terrorisme et contrôler les éléments subversifs dans chaque pays ». L’enjeu est le contrôle de l’information, c’est pourquoi il faut faire une internationale continentale du renseignement. Va être constitué un premier réseau intégré d’information à partir des attachés militaires qui sont ceux qui dans les ambassades ont une fonction d’évaluation des rapports de force. On va organiser sous la responsabilité de la CIA une bourse d’échange d’informations. C’est la construction d’une guerre sale où ou Nixon et de Kissinger vont élaborer un dispositif contre-révolutionnaire. Ce qui est très intéressant est que dans l’opération Condor a été découvert qu’il y avait des centres de formation à la lutte antisubversive dans lesquels l’État français été impliqué, car ils avaient acquis des compétences en la matière avec les conflits en Algérie et en Indochine.

La guerre antisubversive peut être qualifiée de guerre sale parce qu’on entre dans un « no man’s land » juridique où tout est permis notamment l’utilisation de la torture. Le 25 novembre 1975 est la date où est constitué formellement l’opération Condor à Santiago. Va apparaitre des éléments qu’on le retrouve après le 11 septembre avec l’organisation d’une centralisation des informations sur le modèle d’Interpole, la possibilité d’interroger des suspectes d’activismes dans un pays tiers et penser l’action antiterroriste de manière transnationale.

« Une troisième et la plus secrète phase de l’opération implique la formation d’équipes spéciales issues de pays membres, qui sont destinées à se déplacer n’importe où dans le monde, dans des pays non membres (de Condor) pour exécuter des sanctions allant jusqu’à l’assassinat, contre des terroristes ou des soutiens à des organisations terroristes des pays membres de Condor. »

— Attaché du FBI à Buenos Aires, le 28 septembre 1976

Ce système est au bénéfice des dictatures qui leur permet d’être maintenues en place et de fonctionner. Dans le cadre de l’opération vont être utilisés l’assassinat politique et la disparition des citoyens. La multiplication des tentatives d’assassinat contre des personnalistes politiques progressistes entraine une vague de terreur qui décapite progressivement les mouvements marxistes et révolutionnaires.

Le programme Condor disparait au cours des années 1980, car les États-Unis ont pris conscience que ces opérations pouvaient couter à leur image de marque. La fin de Condor est le succès de l’opération. Les mouvements marxistes révolutionnaires vont être décapités par l’efficacité de ce dispositif. La disparition de Condor est effective au début des années 1980 parce qu’il y a moins de risques, un retour des régimes plutôt parlementaires et la peur de la divulgation de ces procédés.

Démocratisation et lutte antidrogue : un tournant dans la politique des États-Unis en Amérique latine autour des années 1980

Il y a une Prise de distance des États-Unis avec le modèle Condor au nom du respect des valeurs démocratiques. Entre 1977 et 1981, le Président Jimmy Carter va jouer un rôle faveur d’une démocratisation de l’Amérique latine au nom des droits de l’homme et de la liberté politique. Au-delà de la lutte contre les sandinistes au Nicaragua, Ronald Reagan condamne les régimes politiques des dictatures pour les risques de déploiement du communisme et promeut des alternatives démocratiques qui puissent freiner la montée de régimes marxistes. Les États-Unis n’hésiteront pas à envahir le Panama en décembre 1989 pour chasser Noriega un dictateur menaçant accusé de complaisance avec le trafic de drogue.

En 1989 il y a un transfert d’opération de violence parce qu’il y a moins de soutien à l’idéologie marxiste avec un recentrement de la politique américaine sur l’Amérique latine plus pragmatique avec moins d’idéologie avec plus de respect de la légalité démocratique.

Principales evoluciones en las relaciones de los Estados Unidos con América Latina

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En términos militares, en la década de 1980, el enemigo ya no era el comunismo; la guerra cambió de dirección y la lucha contra el narcotráfico. Es un contrapoder que puede casarse con los poderes políticos, como fue el caso de Pablo Escobar. Lo que aparece en la escena política es la "geopolítica de la droga". En la escena internacional, el nuevo poder que se está construyendo es un poder del cártel a través de las drogas que puede tener pretensiones militares, políticas o geoestratégicas. El terrorismo se mueve en la lucha contra las drogas con los grandes cárteles en Colombia. Los Estados Unidos participarán en la lucha contra las drogas y los cárteles.

Existe la percepción de que la guerra cambia de dirección y que el nuevo enemigo ya no son necesariamente los regímenes militares y los regímenes comunistas, sino, en primer lugar, los regímenes que dependen de las drogas y el comercio internacional de drogas. En 1990 se libró una guerra sin precedentes contra el cártel Medellín en Colombia. La ayuda militar estadounidense se está utilizando para ayudar a los países a combatir la producción de drogas y su economía derivada.

Conclusión

América Latina es un buen ejemplo para entender los principales paradigmas del terrorismo y la lucha contra el terrorismo. También es una matriz para la implantación del marxismo-leninismo, trotskismo y maoísmo que han producido violencia política. Por primera vez se produce un material para analizar el pensamiento estratégico de la lucha armada con modernos manuales de guerrilleros rurales y guerrilleros en un sistema de lógica asimétrica.

También está la conceptualización de la violencia política como un acto "terrorista". El comunismo se lucha en un modelo antiterrorista con toda la arbitrariedad que ello conlleva. La lucha contra el terrorismo opera sobre la base del secreto y no de la proclamación, son políticas públicas. Por último, por primera vez con el modelo Cóndor, tenemos un modelo transnacional de lucha contra el terrorismo. El período posterior al 11 de septiembre, que propondrá cuestiones de coordinación de la lucha contra el terrorismo y la definición del terrorismo, podrá aprovechar los conocimientos estadounidenses en la lucha contra el terrorismo.

Anexos

Bibliografía

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Referencias