« La naissance d’une conscience internationale et humanitaire : cosmopolites, abolitionnistes, pacifistes » : différence entre les versions

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Donc, la bourgeoisie ainsi composé d’une partie active dans le domaine économique et industriel et du commerce, l’autre dans le travail intellectuel, s’engageaient typiquement et se retrouvaient fréquemment dans des mouvements réformistes. Cela est le socle d’une certaine manière pour la naissance, ces mouvements réformistes sont le socle pour la naissance des associations privées qui commencent à s’intéresser pour l’autrui éloigné. Sans le mouvement réformiste dans les sociétés qui s’intéresse aux sociétés domestiques, il y aurait eu probablement pas des mouvements réformistes qui s’intéressent pour autrui éloigné.
Donc, la bourgeoisie ainsi composé d’une partie active dans le domaine économique et industriel et du commerce, l’autre dans le travail intellectuel, s’engageaient typiquement et se retrouvaient fréquemment dans des mouvements réformistes. Cela est le socle d’une certaine manière pour la naissance, ces mouvements réformistes sont le socle pour la naissance des associations privées qui commencent à s’intéresser pour l’autrui éloigné. Sans le mouvement réformiste dans les sociétés qui s’intéresse aux sociétés domestiques, il y aurait eu probablement pas des mouvements réformistes qui s’intéressent pour autrui éloigné.


== Naissance aux Etats-Unis et en Angleterre ==
== Naissance aux États-Unis et en Angleterre ==
 
La bourgeoisie au début du XIXème siècle était largement inspirée par deux courants intellectuels. L’un était les lumières du XVIIIème siècle qui était donc l’esprit cosmopolite et éclairé des philosophes du XVIIIème qui prônaient l’égalité de l’homme, els droits de l’homme, le constitutionnalisme et la souveraineté des peuples. C’est une simplification parce qu’il y avait évidemment des distinctions fines entre les philosophes mais ce sont les principes qui quand même rallies la plupart entre eux. Ils étaient également inspirés par l’évangile, c’est-à-dire par un certain zèle chrétien réformateur. Donc, il y a eu un renouveau du christianisme au cours du XIXème siècle, il y a eu des mouvements variés comme le piétisme par exemple dans les zones germanophones et au cours du XIXème siècle en Angleterre et aux États-Unis, les quakers étaient particulièrement actifs dans les mouvements réformistes. Donc, ces deux courants s’influençaient mutuellement.


== Internationalisation et premiers congrès pacifistes ==
== Internationalisation et premiers congrès pacifistes ==

Version du 14 mars 2016 à 00:21

Introduction

Définitions

À chaque période et à chaque époque, des ONG se sont formées. Leurs principes et leurs varient cependant. Ils s’adressent typiquement à des questions d’actualité, à des problèmes brulants qui les intrigues. Les formes d’organisation varient également, les types d’activités, les pratiques que les ONG développent évoluent également. On va essayer de comprendre un peu les coopérations et les rivalités qui existent entre les ONG qui sont parfois un problème sur le terrain dans les pays en voie de développement ou lors d’une crise, lors d’un conflit armé par exemple. Nous allons discuter de façon systématique le financement et les différents types de financement des ONG, leur légitimé, c’es-à-dire en quoi se constitue la légitimité des ONG et comment construisent-elles leur influence ou l’exercice de leur influence et que veulent-elles influencer, comment arrivent-elles au mieux, au but d’exercer une influence réelle sur les relations internationales. En fin de compte, il faut se poser la question des effets des ONG sur la vie internationale.

Donc, on peut évidemment discerner différents éléments comme par exemple la prise de conscience par l’opinion publique, la défrontièrisation de la solidarité qui est un phénomène qui est l’une des caractéristiques majeures des ONG et des acticités des ONG. Mais, ce qui est aussi important sont les effets que les ONG ont sur les États, les effets qu’elles ont sur le cadre normatif qui se développe en droit international. Ce sont des normes de comportement mais aussi des normes juridiques qui sont mises en place et il faut distinguer leurs effets sur le court terme et sur le long terme. Nous allons saisir que les effets des ONG ne se sont pas fait sentir tout de suite dans certains domaines tandis que dans d’autres ils ont réussi à imposer leur projet très rapidement à un nombre d’État, ce qui parait surprenant.

Les pacifistes sont d’une certaine manière l’évolution des cosmopolites du XVIIIème siècle. Le mouvement pacifiste et le mouvement abolitionniste au début du XIXème siècle étaient formé en grande partie par les mêmes personnes qui étaient dans les deux mouvements. Cependant, il y a un mouvement qui a réussi et l’autre certainement non. Cela mène à des questions, pourquoi l’un des groupements réussis et pourquoi l’autre groupement ne réussi pas bien qu’il y a eu les mêmes personnes dans les deux mouvements qui ont engagés les deux même type d’activité plus ou moins, donc cela parait quand même intéressant de les comparer.

Après la guerre de Crimée en 1858, il y a eu une certaine pose dans le pacifisme, un repli puis à partir des années 1860, le mouvement pacifiste a vu la naissance d’une deuxième génération et a pris plus d’ampleur et ce surtout au cours des années 1880 et 1890 et au cours des années 1900 où le mouvement pacifiste connaît son âge d’or. Cependant, il n’a pas pu empêcher l’éclatement de la Première guerre mondiale.

La deuxième partie porte sur le mouvement abolitionniste et son internationalisation et cela va cette fois ci un peu plus loin jusqu’à la fin du XIXème siècle, à savoir jusqu’à l’acceptation par un Congrès international des gouvernements d’un acte de Bruxelles contre la Traite des esclaves et contre l’esclavage. Ce mouvement va d’une certaine manière à un aboutissement heureux.

Définition et contexte général

Il y a de nombreux termes clefs qu’il faut comprendre. Un des termes clefs et la société civile. Une société civile s’est formée où s’est développé un bourgeoisie industrielle et éducative à partir du XVIIIème siècle et XIXème siècle. C’était d’abord le cas en Grande Bretagne et puis avec l’expansion de l’industrialisation et la naissance d’une classe moyenne que l’on appelle bourgeoisie en histoire en générale. Cette classe devient de plus en plus importante et plus grande. Il y a eu aussi des modifications dans les systèmes politiques et donc la société civile et un ensemble des citoyens et non pas des sujets munis de droits politiques et civiques qui leurs permettent de s’organiser librement. La naissance d’une société civile dépend de la possibilité de s’organiser librement, de s’associer, de manifester et d’exprimer librement son opinion dans la presse. Tout cela sont des préconditions pour le fleurissement d’une société civile. Cela dit, il peut aussi y avoir une société civile contre un État qui les supprimes, c’set-à-dire une société civile mais qui va opérer clandestinement, une société civile qui est frappée par des emprisonnement, une société civile qui se mobilise malgré tout, malgré l’opposition de l’État. Mais, évidemment, une telle société aura de grandes difficultés afin de s’associer, de s’organiser et de manifester pour exprimer leur opinion d’une manière libre. Donc, on voit qu’avec un accroissement des libertés, la société civile se développe et s’agrandie. Cela avait lieu essentiellement à partir du XVIIIème siècle en Grande Bretagne puis sur le continent européen et aux États-Unis.

Cette société civile commence à fonder des associations privées à but non lucratif, faisant aussi des associations telles que des entreprises et des syndicats ou encore des organisations religieuses ou des organisations avec un arrière plan religieux mais avec un but ou un objectif non religieux. Donc, ils développent une activité associative très vaste. On peut notamment citer qu’ils organisaient des associations de chant, des associations sportives, des associations philanthropiques, et d’entre aide communal, on voit une certaine sécularisation des associatives de la bourgeoisie. Ceci est donc la précondition du développement d’une société civile qui opère sur le plan transnational. Mais, ce n’est pas la seule précondition. Il fallait en ajouter encore d’autres.

Si des acteurs économiques, donc des entreprises ou des lobbies ou des syndicats sont inclus ou non dans une définition du terme « société civil », cela dépend de l‘objet dont on veut parler. C’est-à-dire qu’on peut être avocat d’une définition large de la société civile y compris les entreprises, les multinationales ou des lobbies ou des syndicats, ou une définition plus restreinte. Nous optons ici pour une définition plus restreinte parce qu’on ne va pas parler des associations qui vise un but lucratif prioritairement ou des entreprises et des multinationales qui relève de l’histoire économique. Mais il y aussi des éléments qui distinguent clairement un syndicat ou un lobbies des patrons, des représentants de l‘industrie chimiques ou d’une ONG proprement dite. C’est pourquoi on a inventé le terme de « ONG ». Avec le terme ONG, on peut là aussi varier les définitions mais lorsqu’on l’utilise, on parle des associations émanant de la société civile à but non lucratif. Les ONG sont non étatiques, non lucratifs et aussi non militaire.

Le troisième terme est « mouvement transnational ». Comment distingue-t-on un mouvement d’une ONG. Une ONG a une forme institutionnalisée, elle a une charte, c’est-à-dire que c’est une institution privée avec un but non lucratif et non étatique tandis qu’un mouvement peut être composé des deux types de porteur, soit il s’agit d’un groupe de personnes qui sont unis par le même but et qui luttent en faveur de ce but sans qu’il y ait un forme d’association entre eux qui est codifiée d’une certaine manière. Lorsqu’il y a eu des manifestions des étudiants en 1968, on peut clairement parler d’un mouvement parce qu’il n’y avait a priori pas une association de tous les étudiants et de toutes les étudiantes au sein d’une même organisation ou association. Bien entendu, il y avait des associations aussi et cela ouvre le deuxième élément de notre définition d’un mouvement. Un mouvement peut aussi réunir pas seulement des groupes de personnes mais aussi des groupes et des associations privées. C’est-à-dire lorsqu’il y a une vingtaine d’ONG environnementales, on peut parler d’un mouvement, lorsqu’il y a une dizaine de groupes qui luttent pour le bannissement des mines anti-personnelles, on parle d’un mouvement mais le mouvement est en réalité composé de nombreuses ONG. Il peut y avoir aussi des individus qui s’y rallient. Donc, un mouvement peut fonctionner sans ONG mais il peut avoir aussi des ONG qui forment un mouvement en collaborant pour un but précis comme les associations pacifistes et pour le désarmement qui le faisant autour de la lutte pour le bannissement des mines anti-personnelles au cours des années 1990.

Ce que nous discutons s’inscrit très largement dans la tradition de l’internationalisme. Qu’est-ce que l’internationalisme ? C’est l’idée que les nations et les peuples partagent de nombreux intérêts et objectifs communs qui dépassent les frontières d’un seul État. L’internationalisme prône par conséquent la coopération entre ces peuples pour atteindre ces buts communs. Cela peut se faire dans le secteur des communications comme avec l’amélioration des moyens de communications, des postes, des chemins de fer, cela peut être dans le domaine de l’hygiène, des droits de l’homme, de l’arbitrage entre nations par exemple. Tout cela peut être la matière autour desquels se rallient les associations internationalistes. Il y a l’internationalisme intergouvernemental lorsque les gouvernements eux-mêmes sont les acteurs de la coopération comme par exemple en fondant des institutions intergouvernementales pour la coopération, et lorsque les ONG et les acteurs privés s’engagent pour la coopération internationale, c’est une autre forme d’intergouvernementalisme. Les deux peuvent concorder et même parfois lutter pour les mêmes objectifs comme la paix par exemple.

Dans l’historiographie, on a récemment parlé beaucoup de l’histoire transnationale et du tournant de l’histoire transnationale. On peut dire que l’histoire transnationale a introduit l’histoire des mouvements, des associations non étatiques, des réseaux, des flux des idées, des personnes, des pratiques et des modèles dans l’histoire des relations internationales plus classiques. L’histoire des relations internationales plus classique était l’histoire diplomatique essentiellement et l’histoire transnationale a donc introduit ces nouveaux acteurs que sont les mouvements, les ONG, les circulations des idées, des modèles, des pratiques, etc., dans une histoire des relations internationales élargie. Nous allons beaucoup nous baser sur ce tournant transnational pour enrichir l’histoire des relations internationales.

Ce qui s’appelait pendant longtemps histoire de l’internationalisme fait partie aujourd’hui de ce qu’on appelle maintenant l’histoire transnationale. Transnationale parce qu’il y a des acteurs sociétaux qui sont introduits dans ce qui était auparavant une histoire entre gouvernements, des interactions entre gouvernements. Maintenant, on parle de plus en plus de la société et des sociétés en relations internationales. L’une de leurs manifestations sont les ONG.

Questions

Pourquoi et à partir de quand peut on parler d’une organisation transnationale ? il y a eu des associations privées à vocation communale, locale ou même régional ou national auparavant, mais à partir de quad ces acteurs privées commencent à s’intéresser à l’autrui éloigné ? À partir de quand ils se solidarisent avec des êtres humains très éloignés de leurs propre environnement domestique ? Pourquoi est-ce qu’ils commencent à s’y intéresser et à partir de quel moment ? Quels sont leurs modes d’actions initialement ? Comment agissent-ils ces acteurs privés et pourquoi le mouvement contre l’esclavage a finalement réussi ? Les objectifs et les rapports aux États, est-ce que les ONG se voient comme une sorte de contrepoids contre les États monarchiques parce qu’à l’époque on parle encore très largement des États monarchiques en Europe de toute manière. Les seules républiques au début du XIXème siècle étaient les États-Unis et la Suisse, tous les autres États étaient des monarchies ; ou est-ce qu’au contraire les acteurs privés, les associations privées de l’époque se voyaient comme une sorte de correctif de la politique des États, voilaient-ils atténuer certains effets de la politique des États. Comment définit-on cette relation entre les acteurs privés et les États et gouvernements ? Nous allons voir leur influencer, à savoir si elles ont du succès ou de l’insuccès.

Naissance d’un mouvement pacifiste : 1814 - 1856

Le contexte général est qu’au tournant du XIXème siècle, autour de 1800, se développe la transition entre le concept de souveraineté monarchique et la souveraineté des peuples. Cela est lié à la constitution des sociétés munies des droits, donc des sociétés et des citoyens. Quand avait lieu cette transition ? On peut dire lentement mais il y a eu deux étapes cruciales qui sont la révolution américaine en 1776 et la grande révolution française en 1789. Dans les deux révolutions, l’une contre la Grande-Bretagne, contre l’Empire britannique, l’autre du tiers-État contre le gouvernement du roi absolu Louis XVI en France. Les deux produisaient le principe de la souveraineté des peuples et voulaient le remplacer par le principe de la souveraineté monarchique. Par la suite, on voit une période de transition longue où se développe en France beaucoup de système politiques, de changement de constitution où la souveraineté des peuples était plus ou moins respecté, et la souveraineté du roi était plus ou moins rétablie. Donc, il y a eu des constitutions qui prévoyaient un mélange entre une souveraineté es peuples et monarchie. Tandis que aux États-Unis, la rupture est plus claire dès le départ, mais il faut aussi constater que de 1900 jusqu’aux années 1920, la démocratie n’était pas encore vraiment réalisée.

À partir des années 1930 du XIXème siècle, les hommes blancs avaient le droit de vote aux États-Unis mais ni les femmes ni les personnes de couleur. Donc, selon une définition un peu élargie, on peut dire qu’il y a eu de la démocratie aux États-Unis pour les hommes mais non pas pour les femmes à partir des années 1930 à l’exception de l’exclusion des personnes de couleur. Pour voir vraiment le développement d’une démocratie complète de tous les adultes, il fallait attendre jusqu’aux années 1960. Donc c’était un long processus. Le droit de vote pour les femmes a été acquis à partir de la fin de la Première guerre mondiale. Le droit de vote pour les personnes de couleurs a été introduit après la Guerre de Sécession mais n’était pas réalisé effectivement dans une multitude des États des États-Unis. Donc, même aux États-Unis, où la rupture était plus clair dans les États et plus rapide que dans les autres États européens, il faut constater que la transition vers la démocratie avait pris un siècle et demi quasiment. On parlait déjà de la démocratie avant mais ce n’était pas encore une démocratie complète, il y a eu encore une discrimination électorale des personnes de couleur jusqu’aux années 1960.

Donc, la transition de la souveraineté monarchique à al souveraineté des peuples est un élément clef. Avec ceci est la naissance des institutions et les constitutions donnent des droits aux citoyens, c’est-à-dire que les constitutions sont la fondation des libertés des citoyens. Avec l’expansion du constitutionnalisme, c’est-à-dire de l’adoption des constitutions que ce soit par un monarque ou par un Parlement ou par les deux, la naissance des sociétés civiles connaît son essor


Parallèlement à cela, il y a l’essor de la bourgeoisie comme nouvelle classe très active dans la vie associative. On peut distinguer deux types de bourgeoisie, on parle de la bourgeoisie économique qui est surtout active dans l’industrie et dans le commerce, et la bourgeoisie dite éduquée qui signifie qu’il y a eu une partie de la bourgeoisie qui s’engageait dans des professions libres typiquement comme les avocats, les juges, les enseignants, les professeurs d’université, donc qui basaient le statut social sur le fait qu’ils étaient éduqués ; leurs diplômes on prouvé d’une certaine manière. Ce pourquoi on parle de la bourgeoisie éduquée, on peut y ajouter des journaliste et écrivains qui vivaient de leur activité intellectuelle.

Donc, la bourgeoisie ainsi composé d’une partie active dans le domaine économique et industriel et du commerce, l’autre dans le travail intellectuel, s’engageaient typiquement et se retrouvaient fréquemment dans des mouvements réformistes. Cela est le socle d’une certaine manière pour la naissance, ces mouvements réformistes sont le socle pour la naissance des associations privées qui commencent à s’intéresser pour l’autrui éloigné. Sans le mouvement réformiste dans les sociétés qui s’intéresse aux sociétés domestiques, il y aurait eu probablement pas des mouvements réformistes qui s’intéressent pour autrui éloigné.

Naissance aux États-Unis et en Angleterre

La bourgeoisie au début du XIXème siècle était largement inspirée par deux courants intellectuels. L’un était les lumières du XVIIIème siècle qui était donc l’esprit cosmopolite et éclairé des philosophes du XVIIIème qui prônaient l’égalité de l’homme, els droits de l’homme, le constitutionnalisme et la souveraineté des peuples. C’est une simplification parce qu’il y avait évidemment des distinctions fines entre les philosophes mais ce sont les principes qui quand même rallies la plupart entre eux. Ils étaient également inspirés par l’évangile, c’est-à-dire par un certain zèle chrétien réformateur. Donc, il y a eu un renouveau du christianisme au cours du XIXème siècle, il y a eu des mouvements variés comme le piétisme par exemple dans les zones germanophones et au cours du XIXème siècle en Angleterre et aux États-Unis, les quakers étaient particulièrement actifs dans les mouvements réformistes. Donc, ces deux courants s’influençaient mutuellement.

Internationalisation et premiers congrès pacifistes

Evolution des objectifs

Raisons de l’échec

Le mouvement abolitionniste et son internationalisation : 1815 - 1890

Naissance aux Etats-Unis et en Angleterre

Internationalisation depuis le Congrès de Vienne

Le rôle du gouvernement britannique et de la société civile britannique

L’Acte international contre la traite de 1889

Conclusion