« Le CICR pendant la Première Guerre mondiale » : différence entre les versions

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Donc, l’agence de renseignement et de secours aux prisonniers de guerre collectait et transmettait les listes de prisonniers de guerre. Donc, il fallait d’abord les obtenir, une fois les obtenus elle stockait et elle envoyait une copie à la puissance intéressée. Donc pour ce qui concerne les prisonniers de guerre français, elle recevait la liste de l’Allemagne te elle transmettait à la France. Puis le CICR établissait une cartothèque humanitaire de la guerre. Donc, le CICR il inventait, il mettait en place une sorte de cartothèque humanitaire de la guerre, il créait des fichiers par section nationale où ont été stockés des données pour à peu près entre sept et huit millions de prisonniers de guerre. Ajouté à cela, il établissait des fichiers par topographie des décès pour les personnes décédées et des fichiers par régiments pour établir un service d’enquête puisqu’il y avait des personnes disparus, beaucoup de personnes disparues lors de la guerre et par conséquent, le CICR était inondé des requêtes des familles qui n’avaient plus de contacts avec leurs proches et cela déjà à partir de quelques jours après les débuts des hostilités ou de quelques semaines après les débuts de hostilités. Et donc, il établissait à ce titre là un service de renseignement individuel pour les familles des soldats qui transmettait des informations sur les prisonniers de guerre connus et effectuait des recherches en ce qui concerne les personnalités disparues. Et le service de renseignement attaquait jusqu’à 30000 correspondances par jours déjà à la fin de l’automne 1914.  Donc, c’est une agence extrêmement impliqué dans le conflit en tant qu’intermédiaire neutre et impartial.
Donc, l’agence de renseignement et de secours aux prisonniers de guerre collectait et transmettait les listes de prisonniers de guerre. Donc, il fallait d’abord les obtenir, une fois les obtenus elle stockait et elle envoyait une copie à la puissance intéressée. Donc pour ce qui concerne les prisonniers de guerre français, elle recevait la liste de l’Allemagne te elle transmettait à la France. Puis le CICR établissait une cartothèque humanitaire de la guerre. Donc, le CICR il inventait, il mettait en place une sorte de cartothèque humanitaire de la guerre, il créait des fichiers par section nationale où ont été stockés des données pour à peu près entre sept et huit millions de prisonniers de guerre. Ajouté à cela, il établissait des fichiers par topographie des décès pour les personnes décédées et des fichiers par régiments pour établir un service d’enquête puisqu’il y avait des personnes disparus, beaucoup de personnes disparues lors de la guerre et par conséquent, le CICR était inondé des requêtes des familles qui n’avaient plus de contacts avec leurs proches et cela déjà à partir de quelques jours après les débuts des hostilités ou de quelques semaines après les débuts de hostilités. Et donc, il établissait à ce titre là un service de renseignement individuel pour les familles des soldats qui transmettait des informations sur les prisonniers de guerre connus et effectuait des recherches en ce qui concerne les personnalités disparues. Et le service de renseignement attaquait jusqu’à 30000 correspondances par jours déjà à la fin de l’automne 1914.  Donc, c’est une agence extrêmement impliqué dans le conflit en tant qu’intermédiaire neutre et impartial.
Puis, il y a eu des activités accessoires reliées parfois à l’agence de renseignement mais parfois aussi plutôt relié à la direction du CICR. Le CICR avait pris des initiatives en faveur du traitement standardisé des prisonniers de guerre. Il avait transmis des colis et des envois de colis de secours initialement mais se trouvait très rapidement débordé de cette fonction là parce que le CICR n’était pas un service postal en fin de compte et donc il a transféré ce service au service postaux des pays neutres à la fin de l’année 1914. C’était la poste suisse, la poste danoise, la poste néerlandaise aussi qui était chargé de transmettre des colis en faveurs des prisonniers de guerre avec quelques denrées alimentaires, des cigarettes, un peu de sucre, des médicaments, des pansements éventuellement pour porter secours et aussi envoyer des journaux pour le secours mental.
Il y a eu de nouvelles initiative en la matière de secours à partir de 1918 à cause de la famine chez les puissances centrales. Les puissances centrales étaient en fait pendant la plupart du temps de la guerre exposée à un blocus des alliés, à un blocus maritime, et le blocus était un blocus général, pas uniquement un blocus uniquement militaire, c’est-à-dire les bateaux qui voulaient arriver en Allemane par exemple ou à Trieste quand Trieste appartenait encore à l’Italie, ils ne pouvaient pas y arriver à cause du blocus maritime même s’ils portaient uniquement des médicaments ou des denrées alimentaires. Donc, c’était un bloc total y compris alimentaire ce qui faisait qu’en fait à partir de l’hivers 1915, il y a eu des famines dans les puissances centrales. Et avec des conséquences que l’on peut imaginer pour l’État et pour la condition de prisonniers de guerre qui étaient eu aussi affecté du rationnement qui s’imposait dans les puissances centrales.
Alors, Frédéric Ferrière, le vice président du Comité international de la Croix Rouge est chargé de l’agence de renseignement et des secours des prisonniers de guerre. Frédéric Ferrière, pendant la guerre, il a très rapidement saisi qu’il y avait encore un groupe qui n’était pas du tout protégé qui étaient le s civils surtout dans les zones occupées. Si l’on parle du front occidental, c’était l’Allemagne qui était surtout avancé sur les territoires belges et français et par conséquent, c’était dans ces territoires là que les civils soient s’enfuyait de la zone occupé, soit ils étaient en zone occupé et ne pouvaient plus s’enfuir et par conséquent ils étaient en grande partie en situation de détresse parce qu’ils étaient coupé des connexions avec leur pays d’origine, ils se trouvaient en zone d’occupation net ils étaient généralement suspecté de collaborer d’une manière ou d’une autre avec leur gouvernement et par conséquent, il y a eu des situations d’affrontement entre les personnes civiles dans les zones occupés d’une partie et les autorités militaires de la puissance occupante de l‘autre côté. Donc, c’est pourquoi, sans l’aval d’ailleurs des puissances belligérantes, le CICR avait décidé de créer au sein de l’agence pour les prisonniers de guerre un bureau pour la protection des civils dans les zones occupées et des réfugier dans les pays neutres. Là aussi, le CICR essayait d’activer ses services et notamment de transmettre des listes si c’était possible des personnes internaient car suspecté d’avoir des liens trop étroits avec leur gouvernement, suspecté d’organiser la résistance dans les zones occupées. Il y avait aussi un service de renseignement établies pour rétablir les communications entre membres d’une même famille qui était divisée par l’occupation et de plus, il y avait quelques actions de secours surtout après la fin des hostilités en faveur des peuples en détresse dans des zones dévastées par la guerre. On peut citer ici est sur le front oriental après l’armistice, le CICR avait établi un bureau de renseignement sur les épidémies en Europe centrale à Vienne parce que dû à la famine généralisée qui avait perturbé l’Europe centrale et l’Europe de l’Est dans les dernières années des hostilités. Les épidémies, la grippes, le typhus et d’autres maladies se sont répandues beaucoup plus rapidement que dans des conditions normales et on parle en plus des huit millions de victimes de la Première guerre mondiale qui étaient surtout des soldats et parfois des civiles dans les zones de combat. On parle de dix millions de victimes supplémentaires causées par les épidémies à la fin et juste après al fin du conflit. Donc, le bilan humanitaire et beaucoup plus dévastateur si on considère les conséquences aussi de la guerre et de la famine qu’elle avait causée.
Parallèlement, le CICR établissait des centres de désinfection surtout dans le cadre de la lutte contre le typhus parce que du au réchauffement et dû à des mesures sanitaires on pouvait effectivement combattre le typhus ; il fallait par exemple réchauffer des vêtements à une température qui suffisait pour détruire la bactérie. De plus, dans ce cadre des activités en faveur des civils, le CICR établissait des orphelinages pour les enfants en Europe de l’Est et en Europe centrale. S’il y avait huit millions de soldats qui trouvaient la mort, il y avait aussi peut-être autant des orphelins. Même si uniquement un entre deux soldats était père, ils avaient parfois plusieurs enfants. Donc, il est probable qu’il y avait plusieurs millions d’orphelins aussi dû à la Première guerre mondiale. Les orphelins parfois perdaient aussi leur mère dû à la famine, dû à la grippe dite espagnol mais qui s’est diffusé partout dans le monde, du au typhus, du au choléra, du aux conditions sanitaires dévastatrices ou épouvantables à al fin des hostilité et u à la destruction de l’infrastructure des systèmes sanitaires dans les villes qui étaient touchées par le conflit.


= Les délégations du CICR et l’inspection des camps =
= Les délégations du CICR et l’inspection des camps =

Version du 11 avril 2016 à 18:09

L’exposé porte sur la deuxième vague du pacifisme parce qu’on a déjà parlé de la vague des années 1840 et 1850 et des conférences qui avaient lieu. Il y a eu une certaine pause dû à l’essor de la realpolitik et de la fréquence des guerres. Puis, de nouvelles associations pour la paix étaient née au cours des années 1860 et 1870. Donc, la structure est d’abord de regarder les nouvelles associations, puis le rôle des associations du droit international, puis la parlementarisation du mouvement moyennant l’union interparlementaire, la fondation du Bureau international de la paix et l’organisation des femmes pacifistes, il y avait aussi d’autres but de réforme social dans les mouvements de femmes mais il y avait aussi des organisations pacifistes ou prioritairement pacifistes.

Le CICR avant la Première Guerre mondiale

Soulignons d’abord que le CICR lorsqu’éclate la Première guerre mondiale n’a toujours pas de statut juridique internationalement reconnu. C’est très important parce qu’aujourd’hui on entend par le CICR une organisation internationale. Mais soulignons qu’au départ c’était une association privée fondée par cinq hommes genevois. Donc, il y a un chemin parcouru qui est très important. Donc, il s’agit à l’époque de la Première guerre mondiale toujours d’un acteur privé le CICR. Depuis 1909, Gustave Ador était président du CICR. La convention de Genève de 1864 a été remaniée en 1906. De plus, la deuxième conférence de La Haye qui avait lieu en 1907, une conférence intergouvernementale, avait adoptée une convention appliquant les règles de la convention de Genève sur la guerre maritime donc c’était la première extension de la convention de Genève. La convention de Genève ne touchait que la guerre terrestre et pas la guerre maritime. De plus, la deuxième conférence de La Haye adoptait aussi un règlement en faveur de la protection des prisonniers de guerre. Donc, c’est aussi un élargissement parce qu’au départ, la convention de Genève protégeait les militaires blessés et malade seulement et là on parlait aussi d’un nouveau groupe les prisonniers de guerre. La deuxième conférence de La Haye permettait aussi l’organisation des secours en faveur des prisonniers de guerre pas des associations de secours mais de telles associations n’existaient pas. C’est pourquoi en 1912, une conférence de le Croix Rouge internationale, c’est-à-dire du CICR et des associations nationales de la Croix Rouge, conférence qui avait lieu à Washington, elle avait demandé le CICR s’il voulait bien se charger d’organiser les secours des prisonniers de guerre en temps de guerre. Et le CICR avait accepté sous la présidence de Gustave Adore ce qui avait bouleversé l’histoire de l’organisation parce que le CICR retenons le, en juillet 1914 était un petit comité avec neuf membres et un secrétariat. À partir de août 1914, il est confronté à une tâche gigantesque puisque le secours aux prisonniers de guerre était une tâche gigantesque pendant la Première guerre mondiale, il y avait huit millions de prisonniers de guerre. Donc, le CICR a dû se réinventer d’une certaine manière.

L’Agence de renseignement et de secours aux prisonniers de guerre

La première chose que le CICR avait fait est la fondation de l’agence de renseignement et de secours pour les prisonniers de guerre. L’agence des prisonniers de guerre avait son siège dans plusieurs bâtiments à Genève, notamment au musée de l’Athénée et finalement dans le musée Rath à la place Neuve à droite de l’opéra. Déjà à l’automne 1914, il y avait plus que 1000 collaborateurs dans l’agence de prisonnier de guerre du CICR.

Maintenant, d’abord pour commencer à se mettre en place, à mettre en place une organisation en faveur des prisonniers de guerre, le CICR a du négocier avec les États membres du mouvement de la Croix Rouge et avec les belligérants donc pour mettre en place une certaine machinerie. Comment peut-on rendre aux prisonniers de guerre ? D’abord, les prisonniers de guerre, une fois qu’un soldat est prisonnier de guerre, il est découpé de communication avec sa famille parce que les communications postales sont supprimées entre les belligérants. Donc, ça c’est un problème. Le deuxième problème est les conditions de traitement des prisonniers de guerre. La conférence de La Haye de 1907 a adopté un code pour les prisonniers de guerre mais très rudimentaire, très basique, pas très spécifique. Donc, c’était un code qui laissait beaucoup de marge de manœuvre et qui ouvrait beaucoup de question concernant le traitement et les conditions qui devaient régir dans les camps de prisonnier de guerre plutôt que de répondre à ces questions. Donc il fallait aussi mettre en place un certain système de surveillance du traitement des prisonniers de guerre parce qu’il se posait le problème de la propagande de guerre, de la propagande nationaliste et des rumeurs qui circulaient. Déjà à l’automne 1914, on parlait des représailles à appliquer contre les prisonniers de guerres parce que l’autre partie, l’autre belligérants traitait les prisonniers de guerre de manière inhumaine. Donc, il fallait mettre en marche un système de surveillance et de secours et aussi un système de communication pour permettre aux prisonniers de guerre de rester en contact avec leur famille. Donc, c’est ce que le CICR faisait, il négociait avec les gouvernements et il se mettait d’accord avec les gouvernements que dans chaque pays, soit créé un comité de secours pour les prisonniers de guerre composé d’un membre de la Société nationale de la Croix Rouge, d’un représentant de la puissance protectrice, c’est une puissance amie du belligérant qui s’offre pour représenter les intérêts des civils détenus sur le territoire de l’adversaire et de représenter leurs intérêts. Donc, les puissances protectrices s’occupent aussi des prisonniers de guerre de la nationalité dont les intérêts il représente. Pour concrétiser cela, les intérêts britanniques étaient représentés auprès des puissances centrales donc l’Allemagne et l’Autriche-Hongrie, par les États-Unis, donc les États-Unis étaient la puissance protectrice pendant la Première guerre mondiale pour la Grande-Bretagne donc les puissances protectrices. À l’inverse, en Grande-Bretagne, les puissances avaient choisi les États-Unis en tant que puissance protectrice. Donc, les États-Unis représentaient aussi les intérêts des allemands en Grande-Bretagne. Donc, un représentant de la société nationale, un de la puissance protectrice, une du ministère de la guerre et un représentant du CICR composait le comité de secours des prisonniers de guerre dans chaque nation belligérante.

Maintenant, l’agence de renseignement et de secours aux prisonniers de guerre était le relais entre les sociétés nationales et elle partage ces fonctions avec la Croix Rouge danoise parce que le CICR et son agence ne pouvait pas intervenir sur le front oriental pour des raisons géographiques. Donc il avait demandé la Croix Rouge de faire de même pour le front oriental tandis qu’entre l’Autriche et l’Italie, il s’organisait un échange direct par le biais de la poste suisse.

Donc, l’agence de renseignement et de secours aux prisonniers de guerre collectait et transmettait les listes de prisonniers de guerre. Donc, il fallait d’abord les obtenir, une fois les obtenus elle stockait et elle envoyait une copie à la puissance intéressée. Donc pour ce qui concerne les prisonniers de guerre français, elle recevait la liste de l’Allemagne te elle transmettait à la France. Puis le CICR établissait une cartothèque humanitaire de la guerre. Donc, le CICR il inventait, il mettait en place une sorte de cartothèque humanitaire de la guerre, il créait des fichiers par section nationale où ont été stockés des données pour à peu près entre sept et huit millions de prisonniers de guerre. Ajouté à cela, il établissait des fichiers par topographie des décès pour les personnes décédées et des fichiers par régiments pour établir un service d’enquête puisqu’il y avait des personnes disparus, beaucoup de personnes disparues lors de la guerre et par conséquent, le CICR était inondé des requêtes des familles qui n’avaient plus de contacts avec leurs proches et cela déjà à partir de quelques jours après les débuts des hostilités ou de quelques semaines après les débuts de hostilités. Et donc, il établissait à ce titre là un service de renseignement individuel pour les familles des soldats qui transmettait des informations sur les prisonniers de guerre connus et effectuait des recherches en ce qui concerne les personnalités disparues. Et le service de renseignement attaquait jusqu’à 30000 correspondances par jours déjà à la fin de l’automne 1914. Donc, c’est une agence extrêmement impliqué dans le conflit en tant qu’intermédiaire neutre et impartial.

Puis, il y a eu des activités accessoires reliées parfois à l’agence de renseignement mais parfois aussi plutôt relié à la direction du CICR. Le CICR avait pris des initiatives en faveur du traitement standardisé des prisonniers de guerre. Il avait transmis des colis et des envois de colis de secours initialement mais se trouvait très rapidement débordé de cette fonction là parce que le CICR n’était pas un service postal en fin de compte et donc il a transféré ce service au service postaux des pays neutres à la fin de l’année 1914. C’était la poste suisse, la poste danoise, la poste néerlandaise aussi qui était chargé de transmettre des colis en faveurs des prisonniers de guerre avec quelques denrées alimentaires, des cigarettes, un peu de sucre, des médicaments, des pansements éventuellement pour porter secours et aussi envoyer des journaux pour le secours mental.

Il y a eu de nouvelles initiative en la matière de secours à partir de 1918 à cause de la famine chez les puissances centrales. Les puissances centrales étaient en fait pendant la plupart du temps de la guerre exposée à un blocus des alliés, à un blocus maritime, et le blocus était un blocus général, pas uniquement un blocus uniquement militaire, c’est-à-dire les bateaux qui voulaient arriver en Allemane par exemple ou à Trieste quand Trieste appartenait encore à l’Italie, ils ne pouvaient pas y arriver à cause du blocus maritime même s’ils portaient uniquement des médicaments ou des denrées alimentaires. Donc, c’était un bloc total y compris alimentaire ce qui faisait qu’en fait à partir de l’hivers 1915, il y a eu des famines dans les puissances centrales. Et avec des conséquences que l’on peut imaginer pour l’État et pour la condition de prisonniers de guerre qui étaient eu aussi affecté du rationnement qui s’imposait dans les puissances centrales.

Alors, Frédéric Ferrière, le vice président du Comité international de la Croix Rouge est chargé de l’agence de renseignement et des secours des prisonniers de guerre. Frédéric Ferrière, pendant la guerre, il a très rapidement saisi qu’il y avait encore un groupe qui n’était pas du tout protégé qui étaient le s civils surtout dans les zones occupées. Si l’on parle du front occidental, c’était l’Allemagne qui était surtout avancé sur les territoires belges et français et par conséquent, c’était dans ces territoires là que les civils soient s’enfuyait de la zone occupé, soit ils étaient en zone occupé et ne pouvaient plus s’enfuir et par conséquent ils étaient en grande partie en situation de détresse parce qu’ils étaient coupé des connexions avec leur pays d’origine, ils se trouvaient en zone d’occupation net ils étaient généralement suspecté de collaborer d’une manière ou d’une autre avec leur gouvernement et par conséquent, il y a eu des situations d’affrontement entre les personnes civiles dans les zones occupés d’une partie et les autorités militaires de la puissance occupante de l‘autre côté. Donc, c’est pourquoi, sans l’aval d’ailleurs des puissances belligérantes, le CICR avait décidé de créer au sein de l’agence pour les prisonniers de guerre un bureau pour la protection des civils dans les zones occupées et des réfugier dans les pays neutres. Là aussi, le CICR essayait d’activer ses services et notamment de transmettre des listes si c’était possible des personnes internaient car suspecté d’avoir des liens trop étroits avec leur gouvernement, suspecté d’organiser la résistance dans les zones occupées. Il y avait aussi un service de renseignement établies pour rétablir les communications entre membres d’une même famille qui était divisée par l’occupation et de plus, il y avait quelques actions de secours surtout après la fin des hostilités en faveur des peuples en détresse dans des zones dévastées par la guerre. On peut citer ici est sur le front oriental après l’armistice, le CICR avait établi un bureau de renseignement sur les épidémies en Europe centrale à Vienne parce que dû à la famine généralisée qui avait perturbé l’Europe centrale et l’Europe de l’Est dans les dernières années des hostilités. Les épidémies, la grippes, le typhus et d’autres maladies se sont répandues beaucoup plus rapidement que dans des conditions normales et on parle en plus des huit millions de victimes de la Première guerre mondiale qui étaient surtout des soldats et parfois des civiles dans les zones de combat. On parle de dix millions de victimes supplémentaires causées par les épidémies à la fin et juste après al fin du conflit. Donc, le bilan humanitaire et beaucoup plus dévastateur si on considère les conséquences aussi de la guerre et de la famine qu’elle avait causée.

Parallèlement, le CICR établissait des centres de désinfection surtout dans le cadre de la lutte contre le typhus parce que du au réchauffement et dû à des mesures sanitaires on pouvait effectivement combattre le typhus ; il fallait par exemple réchauffer des vêtements à une température qui suffisait pour détruire la bactérie. De plus, dans ce cadre des activités en faveur des civils, le CICR établissait des orphelinages pour les enfants en Europe de l’Est et en Europe centrale. S’il y avait huit millions de soldats qui trouvaient la mort, il y avait aussi peut-être autant des orphelins. Même si uniquement un entre deux soldats était père, ils avaient parfois plusieurs enfants. Donc, il est probable qu’il y avait plusieurs millions d’orphelins aussi dû à la Première guerre mondiale. Les orphelins parfois perdaient aussi leur mère dû à la famine, dû à la grippe dite espagnol mais qui s’est diffusé partout dans le monde, du au typhus, du au choléra, du aux conditions sanitaires dévastatrices ou épouvantables à al fin des hostilité et u à la destruction de l’infrastructure des systèmes sanitaires dans les villes qui étaient touchées par le conflit.

Les délégations du CICR et l’inspection des camps

Les notes et appels du CICR

Le rapatriement des prisonniers du front oriental

Conclusion : une « guerre propre » ? Leçons tirées par le CICR de la Première Guerre mondiale

Références

Notes