« My wiki:À propos » : différence entre les versions
Aucun résumé des modifications |
Aucun résumé des modifications |
||
Ligne 2 : | Ligne 2 : | ||
Baripedia est un projet a portée philanthropique en collaboration avec le [http://delavegasocialclub.wordpress.com/ De la Vega Social Club]. | Baripedia est un projet a portée philanthropique en collaboration avec le [http://delavegasocialclub.wordpress.com/ De la Vega Social Club]. | ||
Un vieil adage disait « les de la Vega ne perdent jamais, même quand ils perdent ils gagnent ». L’éclectique qui le prononça ne se doutait pas que des lors le précepte même d’une doctrine s’apposait aux célestes commandements. Une de ces obédience plutonienne et mystérieuse que seul abreuvé d’un de ces délicieux népenthès l’olibrius peut se délecter. | |||
Plus qu’une simple confrérie, devenu une philosophie, un life-style, non sans loin de se contenter de l’obscurantisme environnent, les lumières de l’indifférence sont devenues leur combat afin d’atteindre ce degré supérieur de l’être … qui sait … | |||
Partout ou leur sagesse les mènes l’enthousiasme jailli. Entre deux abymes, toujours persistant du fond d’eux-mêmes, la volonté de vouloir et de la réussite, dans l’engouement et l’émerveillement, jamais abattu et toujours soutenu, ni la faiblesse de la solitude ni l’effet de surconfiance sociétaire ne peut désemparer l’imparable jouissance qu’ils émanent. Symbolisme idéal diront certain, malins plaisantins pour d’autres. Tous ces détracteurs ne peuvent comprendre la vision bien plus éphémère que nous avons de la vie à corrompre les rites ancestraux de la plénitude ennuie. | |||
Rien de subjectif, tout dans la capacité probante à faire surgir la multiplicité de l’unicité. Voyant sont-ils, bien plus que l’abjecte indifférence. Le bien se puise souvent la ou il n’est pas. Difficulté anecdotique pour les de la Vega. Transcendés par un savoir déiste, il n’est guère imaginable qu’un seul instant leur capacité à raisonner ne soit affabulée par l’universalisme de la pensée opiniâtre | |||
Jamais ils ne méprisent, toujours ils essaient de comprendre le sens du mot adhésion. La voie unique n’existe pas. La patience est structurée selon une fort simple prérogative qui est de limiter le temps au temps même si parfois en retard. L’impossible adhésion est vérité, c’est pourquoi ne devant pas perdre notre temps, la bonté qui nous anime sera se restreinte à l’hardiesse de la besogne. | |||
Les de la Vega sont là et au-delà, reprenant ainsi cette phrase de Poe, nous rêvons; rêvons a « des rêves qu’aucun mortel n’avait osé rêver encore ». Les saints jours de jadis nourrissent l’enchantement du lendemain et rien de plus. Partout et nul part à la fois, capables de côtoyer le plus grand nombre et d’y apporter leur faibles lumières, ils savent très bien s’approprier la bienveillance d’autrui et de se nourrir de sa malfaisance … ce qui les rends plus fort encore. | |||
Participer ils ne connaissent pas, vaincre et leur seul mot d’ordre. Tout plein d’efficiences opportunes, il n’est guère étonnant qu’ils marquent d’une empreinte de fer les intellects surmenés aussi bien que les épicuriens transcendés, personne n’oublie leur illustre ardeur emplie de noblesse. | |||
Même dans le déni absolument l’espoir persiste, se nourrissant de l’environnement pour toujours aller de l’avant. Ce sage éclectique avait donc raison, la victoire n’est que consécration tant qu’elle reste humble, mais la défaite est l’accord parfait de tel sorte que la redondance de la faillite n’est que mépris de soi-même, il faut l’exploiter en tant que force et désire de ne reculer contre aucune défiance. |
Version du 16 novembre 2012 à 12:16
Fondé à Paris le 3 novembre 2012;
Baripedia est un projet a portée philanthropique en collaboration avec le De la Vega Social Club.
Un vieil adage disait « les de la Vega ne perdent jamais, même quand ils perdent ils gagnent ». L’éclectique qui le prononça ne se doutait pas que des lors le précepte même d’une doctrine s’apposait aux célestes commandements. Une de ces obédience plutonienne et mystérieuse que seul abreuvé d’un de ces délicieux népenthès l’olibrius peut se délecter.
Plus qu’une simple confrérie, devenu une philosophie, un life-style, non sans loin de se contenter de l’obscurantisme environnent, les lumières de l’indifférence sont devenues leur combat afin d’atteindre ce degré supérieur de l’être … qui sait …
Partout ou leur sagesse les mènes l’enthousiasme jailli. Entre deux abymes, toujours persistant du fond d’eux-mêmes, la volonté de vouloir et de la réussite, dans l’engouement et l’émerveillement, jamais abattu et toujours soutenu, ni la faiblesse de la solitude ni l’effet de surconfiance sociétaire ne peut désemparer l’imparable jouissance qu’ils émanent. Symbolisme idéal diront certain, malins plaisantins pour d’autres. Tous ces détracteurs ne peuvent comprendre la vision bien plus éphémère que nous avons de la vie à corrompre les rites ancestraux de la plénitude ennuie.
Rien de subjectif, tout dans la capacité probante à faire surgir la multiplicité de l’unicité. Voyant sont-ils, bien plus que l’abjecte indifférence. Le bien se puise souvent la ou il n’est pas. Difficulté anecdotique pour les de la Vega. Transcendés par un savoir déiste, il n’est guère imaginable qu’un seul instant leur capacité à raisonner ne soit affabulée par l’universalisme de la pensée opiniâtre
Jamais ils ne méprisent, toujours ils essaient de comprendre le sens du mot adhésion. La voie unique n’existe pas. La patience est structurée selon une fort simple prérogative qui est de limiter le temps au temps même si parfois en retard. L’impossible adhésion est vérité, c’est pourquoi ne devant pas perdre notre temps, la bonté qui nous anime sera se restreinte à l’hardiesse de la besogne.
Les de la Vega sont là et au-delà, reprenant ainsi cette phrase de Poe, nous rêvons; rêvons a « des rêves qu’aucun mortel n’avait osé rêver encore ». Les saints jours de jadis nourrissent l’enchantement du lendemain et rien de plus. Partout et nul part à la fois, capables de côtoyer le plus grand nombre et d’y apporter leur faibles lumières, ils savent très bien s’approprier la bienveillance d’autrui et de se nourrir de sa malfaisance … ce qui les rends plus fort encore.
Participer ils ne connaissent pas, vaincre et leur seul mot d’ordre. Tout plein d’efficiences opportunes, il n’est guère étonnant qu’ils marquent d’une empreinte de fer les intellects surmenés aussi bien que les épicuriens transcendés, personne n’oublie leur illustre ardeur emplie de noblesse.
Même dans le déni absolument l’espoir persiste, se nourrissant de l’environnement pour toujours aller de l’avant. Ce sage éclectique avait donc raison, la victoire n’est que consécration tant qu’elle reste humble, mais la défaite est l’accord parfait de tel sorte que la redondance de la faillite n’est que mépris de soi-même, il faut l’exploiter en tant que force et désire de ne reculer contre aucune défiance.