Los Estados Unidos de América, Norte y Sur, hacia 1850: inmigración y esclavitud

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Expansión territorial

Desplazamiento forzado de amerindios

Une pyramide de crânes de bisons destinés à servir de fertilisants, au milieu des années 1870.

De 1820 a 1850 el territorio de los Estados Unidos continuó expandiéndose hacia el oeste y el sur. Ya en la década de 1830, el primer gran impulso fue el desplazamiento forzado de las naciones amerindias a Oklahoma y a los nuevos territorios adquiridos después de que Napoleón vendiera Luisiana. Estos desplazamientos son forzados y acompañados por la matanza de búfalos.

L’équilibre entre États esclavagistes et États libres

L’expansion à l’Ouest est au Sud remet en cause l’équilibre précaire entre États esclavagistes et non-esclavagistes rappelle le compromis du Missouri déclaré État libre contre la création de l’État du Maine pris sur l’État du Massachusetts qui est non-esclavagiste afin de maintenir l’équilibre au sénat.

Le texte de la déclaration d’indépendance du Texas

L’expansion contre le Mexique remet en cause la question de l’équilibre. Dès 1835, 35 000 Anglo-saxons des États-Unis sont établis au Texas qui est alors mexicain avec leurs esclaves dans la poussée de l’expansion du coton et malgré le fait qu’en 1829 l’esclavage a été aboli au Mexique. Ces nouveaux migrants oppriment les Mexicains natifs et leurs esclaves. En 1836 les Anglo-saxons font la guerre aux troupes mexicaines les battants et proclament l’indépendance de la République Esclavagiste du Texas tout en demandant l’annexion aux États-Unis. Le congrès étasunien reconnaît l’indépendance du Texas, mais refuse de l’annexer, car cela ferait changer l’équilibre en faveur de l’esclavage au sénat.

James Knox Polk (1795–1849) est le onzième président des États-Unis. Il est élu pour un mandat de 1845 à 1849.

En même temps dans l’Oregon on a une grande poussée contre les Amérindiens qui y habitent encore et une colonisation qui est déclarée territoire libre de l’esclavage.

Devant cela, les États du Sud esclavagiste réagissent fortement arrivant à s’unir autour de la candidature d’un président sudiste, esclavagiste et expansionniste qui se nomme James Polk élu président en 1844.

Sous Polk se sont la Floride et le Texas qui rentrent en tant qu’États dans l’Union, en 1846 les États-Unis déclarent la guerre au Mexique contre l’avis des États du Nord.

Prise de Mexico par les troupes U.S. par Carl Nebel dans The War Between the United States and Mexico, Illustrated (1851)

La guerre du Mexique va ajouter la Californie, l’Arizona et le Nouveau-Mexique contre le paiement de 15 millions de dollars au Mexique. S’en suit la ruée vers l’or en Californie qui attire des milliers de Chinois qui vont s’installer sur la côte ouest des États-Unis.

Au cours de la conquête de l’Ouest, des centaines d’Indiens sont massacrés au même moment que l’Oregon est annexé. Le territoire devient pratiquement le territoire des États-Unis actuel. On se pose de nombreuses questions.

On continue d’avoir un système biparti toutefois le système change. En 1828, on passe d’un système où on avait les républicains démocrates qui voulaient limiter le pouvoir fédéral opposé aux fédéralistes qui voulaient un gouvernement fédéral fort à un système où on a les démocrates qui sont le parti des planteurs esclavagistes du Sud, en réaction au racisme des immigrés irlandais deviennent citoyens au Nord, le parti fédéraliste devient le parti whig et prend le nom de parti républicain représentant l’industrie et le commerce du Nord-Est.

Ce qu’il faut voir est que ces deux partis sont en faveur de la conquête de l’Ouest qui est considérée comme faisant naturellement partie des États-Unis.

Thèse de la Manifest Destiny des États-Unis (1845)

Cette œuvre, peinte vers 1872 par John Gast intitulée American Progress est une représentation allégorique de la « Destinée manifeste ». Dans cette scène, une femme angélique (parfois identifiée comme Columbia, la personnification des États-Unis au XIXe siècle), porte la lumière de la « civilisation » à l’Ouest avec les colons américains, câblant le télégraphe dans son sillon. Les Amérindiens et les animaux sauvages fuient vers les ténèbres de l’ouest sauvage.

C’est dans ce contexte qu’en 1845 que O’Sullivan publie un article dont la thèse va devenir centrale dans la politique extérieure des États-Unis.

La destiné manifeste des États-Unis, la destinée à étendre leur puissance et leur population anglo-saxonne a été décidé par la « divine providence » qui lui a donné ce territoire pour y croitre et progresser[1][2]. Cette thèse a une dimension raciste, car elle soutient que l’histoire des États-Unis démontre la supériorité indiscutable voulue par dieu des anglo-saxons sur toute autre race destinée à être soit soumise ou anéantie dans l’extension de la population blanche. Parmi les sous-races, il y a les Indiens, les Africains asservis, les Mexicains ainsi que tous les métisses.

Après l’annexion de tout le Sud et de tout le Sud-Ouest mexicain par les États-Unis la décision est plus ou moins prise de cesser de coloniser massivement de nouvelles terres américaines. Cela ne veut pas dire que la thèse du destiné manifeste s’arrête.

La thèse va continuer sous la forme d’une politique de domination des États-Unis dans les Caraïbes et dans tout le reste des Amériques et ensuite sur toute la planète sans la nécessité d’annexer. C’est une autre domination, économique, financière et militaire.

Cette thèse s’estompe à ce moment de l’histoire, car ils avaient essayé notamment lors de la guerre contre les Anglais en 1812 qui fut perdue de s’agrandir au Nord, dès lors ils vont accepter d’arrêter leur expansion frontalière.

1850 : Compromis fragile entre États esclavagistes et États libres

29 janvier 1850 : Henry Clay introduit le compromis au Sénat

Le territoire est complexe entre États esclavagistes au Sud et États qui ont aboli l’esclavage à l’Est, en même temps il y a de nouveaux territoires relevant des achats à Napoléon pas encore conquis et des territoires pris à la Californie.

Se pose le problème de savoir que faire de l’équilibre entre États esclavagistes et États sans esclavages. L’enjeu est que s’il y a une majorité d’États esclavagistes ils auraient une majorité au sénat pouvant permettre légaliser l’esclavage à tout le territoire, au contraire une majorité d’États non-esclavagistes pourrait permettre d’abolir l’esclavage à l’ensemble du territoire.

En 1850, un nouveau compris est adopté par le congrès admettant la Californie en tant qu’État non-esclavagiste mais qui laisse la question ouverte pour de nouveaux territoires. Ce compromis ne dure pas longtemps, car la question de l’esclavage domine la politique jusqu’à l’élection d’Abraham Lincoln en 1861 qui est abolitionniste conduisant à la guerre de Sécession.

Le Nord : révolution du marché et immigration

La révolution du marché

Les États-Unis en 1820
Les nouveaux chemins de fer américains, photographie anonyme de 1860.

Pendant les années de 1820 à 1860, les différences entre les États du Nord et du Sud ne cessent de s’accroitre. Le Nord s’urbanise et s’industrialise rapidement, vers le milieu du XIXème siècle a lieu la « Révolution du Marché ».

C’est une révolution qui comprend le rapide développement des transports, à la différence des États d’Amérique latine ce ne sont pas que des transports pour l’exportation, mais aussi pour l’intégration des États dans une logique d’intégration territoriale afin d’intégrer le Nord au Sud et l’Est à l’Ouest.

La commercialisation est le passage de la semi-autonomie des familles et des communautés, c’est le passage du troc à l’échange du bien en paiement en monnaie. Jusque-là, les communautés de colons vivaient en marge du commerce et de l’argent.

L’industrialisation est le passage de la production manuelle à la production par machine et également l’adoption de l’idée de pièces de rechange produites en série.

L’industrialisation est aussi marquée par la construction de grandes industries ou on va produire massivement avec comme effet un changement social puisque le pourcentage de travailleurs salariés dans l’ensemble de la population active passe de 10 % en 1800 à 40 % en 1860.

Évolution de la croissance économique aux États-Unis (1700–1850).

Presque tout le nord-est en fait devenu une région où les travailleurs sont salariés se distançant de l’idéal du mythe fondateur des États-Unis qui était les paysans colons libres et autonomes sur sa terre. Parmi les salariés, presque la moitié sont des femmes, ce sont de jeunes filles qui travaillent pendant quelques années dans les industries de textile avant de se marier. Ces femmes travaillent dans ces usines, avec cela elles contribuent au revenu de la famille qui ont des apports en monnaie pour acheter les choses.

Les femmes et les hommes travaillaient durant d’immenses journées tandis que la nuit beaucoup étudient. Les femmes travaillent aussi avec des contrats à domiciles passés avec des fabriques, payées avec un salaire de misère en particulier pour coudre des vêtements avec les machines Singer. Cela va changer l’économie des familles, car les femmes vont faire les travaux domestiques, mais en plus coudre pour produire un revenu additionnel.

Le métier de maitresse d’école se développe grâce au développement de l’école publique plus compatible avec l’idéal de mère de famille plus compatible avec l’idéologie bourgeoise.

Dans le monde ouvrier, l’exploitation est extrêmement forte, les moyens de lutte sont limités ; ils sont peu efficaces, car comme en Amérique latine il y a une abondance de travailleur, mais c’est pour des raisons différentes.

Immigration

Little Italy in New York, ca.1900.
Immigrants arriving at Ellis Island, 1902.

Il y a une explosion démographique, car la population déjà présente se reproduit à des taux élevés et entre 1820 et 1860 il y a l’arrivée de 5 millions d’immigrants qui contribuent à cette explosion. Au total, on passe de 5,3 millions d’habitants en 1800 et 31,5 d’habitants en 1860 soit 6 fois plus.

Les immigrants qui fuient l’Europe d’abord des guerres napoléoniennes puis l’Europe de l’industrialisation, de l’extrême misère et l’Europe de la destruction de l’agriculture et de la petite paysannerie ; en 1848 ce n’est pas seulement le printemps des peuples, mais aussi l’année du manifeste du parti communiste par Marx et Engels pour dénoncer les conditions de travail. Il y a aussi des famines et de la persécution religieuse.

Pour les Irlandais, c’est en plus la période de la maladie de la pomme de terre qui tue 1 million d’Irlandais entre 1845 et 1849. Ainsi les Irlandais vont contribuer à 45 % à l’immigration entre 1830 et 1860.

Les routes empruntées par le chemin de fer clandestin.

Certains de ces immigrants et principalement les Allemands et les Scandinaves s’établissent dans le Midwest encore rural. D’autres très pauvres et sans expérience agricole restent dans les villes portuaires et notamment à New York et Boston. À l’époque, la moitié des habitants de New York sont des immigrés tandis qu’à Boston les immigrés représentent un tiers de la population.

L’autre migration est celle de la migration des noirs du sud qui sont presque seulement des noirs libres qui quittent le sud qui devient de plus en plus esclavagiste et quelques centaines d’esclaves fugitifs qui se réfugient dans le nord grâce au « underground railroad » qui est un réseau secret de passages à travers des forêts et des abris protégés mis en place notamment par les quakers.

La brecha entre ricos y pobres

La brecha entre ricos y pobres se está ampliando. Los pobres se amontonan en los barrios pobres de las ciudades al mismo tiempo que se está formando una aristocracia de financieros y multimillonarios, son familias que provienen de la élite de comerciantes que ya existían durante el período colonial, incluyendo a Roosevelt[3][4] y Whitney[5][6]. Fue en esta época cuando se construyó el Central Park de Nueva York para los ricos.

Central Park durante su construcción.
Fotografía de Victor Prevost, 1862.

En 1860, el 5% de las familias más ricas de los Estados Unidos poseían más de la mitad de la riqueza de la nación. Hoy en día, el 2% de la humanidad posee el 50% de la riqueza del mundo y, por el contrario, el 50% de la humanidad sólo posee el 1% de la riqueza del mundo.

En ciudades como Nueva York hay pobreza y riqueza extremas que causan violencia y disturbios contra los más pobres y vulnerables, incluidos los irlandeses y los negros. Después de estos acontecimientos, los irlandeses votaron masivamente demócratas en reacción a los republicanos; el origen de la dinastía Kennedy echó raíces en ese momento[7][8].

Los afroamericanos libres fueron las otras víctimas principales de este período, ya que fueron acusados de saturar el mercado laboral, reducir los salarios y ser blanco de disturbios urbanos; la segregación y el racismo también dominaron en el Norte. Esto es una paradoja, porque a medida que aumenta el número de Estados en la Unión, una mayor proporción de Estados ha democratizado el sufragio masculino, pero al mismo tiempo una mayor proporción de Estados excluye a los negros del voto debido a su raza.

En 1850, sólo Massachusetts, Vermont y Maine concedieron igualdad a los negros. En Massachusetts, los negros pueden testificar, en California no pueden testificar contra los blancos, en todos los estados del norte están segregados o excluidos de ciertos lugares públicos, así como de casi todos los empleos calificados e industriales y asociaciones de trabajadores.

Los negros se ven obligados a vivir en guetos y a crear sus propias instituciones y a aceptar trabajos mucho menos remunerados como los irlandeses. A pesar de todo esto, el número de negros en el Norte está aumentando considerablemente, particularmente en Filadelfia, Nueva York y Cincinnati, a pesar de que representan sólo el 2% de la población total.

El Sur: la esclavitud de los negros y el privilegio de los blancos

En el sur de los Estados Unidos, los años 1800-1860 fueron años de gran crecimiento y prosperidad para algunos. Nuevas tierras son conquistadas y pobladas por gente libre y esclavos.

Cotton King

Fotografía panorámica de una plantación de algodón de 1907, titulada "King Cotton".

Esta es la era del Cotton King porque la industria textil en Inglaterra y el norte de los Estados Unidos está en auge y demanda cada vez más algodón.

Con la invención de la desmotadora de algodón, la producción siguió aumentando y se hizo más técnica a medida que las tierras productoras de algodón se ampliaban y el número de esclavos aumentaba.

Una sembradora de algodón (1869).

En 1800, el algodón representaba sólo el 7% de las exportaciones estadounidenses, en 1820 el 32% y en 1850 el 58%. Esto demuestra el enorme peso que tienen los Estados del Sur en la política y la economía nacionales. Al mismo tiempo, el número de esclavos aumentó de 460.000 en 1770 en las trece colonias, 1,5 millones en 1820 y más de 4 millones en 1860. La importación de esclavos siguió siendo ilegal después de la prohibición de 1808.

La explicación principal es el crecimiento natural, porque las condiciones de vida son mejores que las de los esclavos que viven en cabañas familiares, todos estos esclavos alcanzarán esta enorme cifra de 4 millones en vísperas de la Guerra Civil, de los cuales 2 millones trabajan en plantaciones de algodón.

Una vez más, vemos los modos de producción arcaicos y modernos que coexisten. Los esclavos viven en condiciones rudimentarias, pero es una producción muy organizada, y también es un período en el que los traficantes de esclavos funcionan muy bien.

Al mismo tiempo, la sociedad evolucionará entre blancos libres y negros esclavos. Los afroamericanos libres están a lo sumo en un 17% en Delaware, en los otros estados están por debajo del 1%. Es una sociedad dicotómica donde los esclavos realizan un enorme trabajo en las plantaciones, el azúcar, el arroz, el añil, el trabajo doméstico, la minería, el transporte, la construcción, la industria y la madera.

La brecha entre blancos ricos y pobres

Entre 1820 y 1850, la sociedad del Sur no cambió mucho en comparación con la del Norte, aunque la brecha entre ricos y pobres se amplió. El sur sigue siendo rural y está dominado por la esclavitud. Casi todos los afroamericanos son esclavos, y son los esclavos los que representan la mano de obra permanente calificada y no calificada, beneficiando a todos los blancos.

Entre los blancos, sólo el 1,5% posee más de 5 esclavos, el 64% no los posee, pero aún así se beneficia de ellos. Entre los que no tienen esclavos, hay blancos muy pobres que se benefician indirectamente de la esclavitud porque los peores trabajos los realizan siempre los esclavos. Los pequeños blancos, que a menudo proporcionan alimentos básicos a los grandes granjeros de esclavos, son pagados a cambio por el préstamo de esclavos para hacer los trabajos peores o más duros; hay esclavos en préstamo.

Más profundamente, seguimos creyendo en el ideal de libertad y autonomía del campesino independiente encarnado por el Partido Demócrata. En el Sur, la libertad de los blancos depende de la permanencia de la esclavitud.

Para entender la guerra de secesión, es necesario entender que incluso los blancos más pobres viven en una sociedad donde ven la continua humillación en la que viven los esclavos, que refleja su propia libertad y situación privilegiada[9][10][11].

Básicamente, cuando se vive con gente pobre, se tiene la ilusión de ser libre y superior con el privilegio de la piel blanca, que hace igual a los agricultores más ricos reforzados por una legislación fundamentalmente racista. En el Sur, los esclavos no sólo están excluidos, sino que la mayoría de los negros y los afroamericanos libres están excluidos de los derechos de los más pobres. Esto refuerza la conciencia de ser parte de una aristocracia, es la extrema rigidez de la separación entre negros y blancos lo que permite a los blancos más pobres creer en el privilegio de la piel blanca, incluso si esta brecha entre ricos y pobres entre los blancos se amplía. Es gracias a esta creencia que los grandes plantadores del Sur podrán movilizar a los blancos detrás del Partido Demócrata para defender la esclavitud en la Guerra Civil.

Anexos

Referencias

  1. « C’est notre destinée manifeste de nous déployer sur le continent confié par la Providence pour le libre développement de notre grandissante multitude. » (« It is our manifest destiny to overspread the continent alloted by Providence for the free development of our yearly multiplying millions »
  2. Howard Zinn, Une Histoire populaire des États-Unis, 1980, Trad.fr. Agone 2002, p.177
  3. Collier, Peter; David Horowitz (1994). The Roosevelts: An American Saga. Simon & Schuster. ISBN 0-671-65225-7.
  4. Schriftgiesser, Karl (1942). The Amazing Roosevelt Family, 1613–1942. Wildred Funk, Inc.
  5. William Richard Cutter. Genealogical and Personal Memoirs Relating to the Families of Boston and Eastern Massachusetts, Volume 3 (Boston: Lewis Historical Publishing Company, 1908) pp. 1400–1401. https://books.google.com/books?id=qaK9Vz1UdDcC
  6. "Racing Proud of Whitney Heritage: Three Generations of Family Prominent on American Scene; Among Founders of Jockey Club, Campaigned Abroad; Owned Two Derby Winners". Daily Racing Form at University of Kentucky Archives. 1956-05-05.
  7. Maier, Thomas (2003). The Kennedys: America's Emerald Kings. Basic Books. ISBN 978-0-465-04317-0.
  8. The Kennedy Family. The JFK Library
  9. Frank Lawrence Owsley, "The Confederacy and King Cotton: A Study in Economic Coercion," North Carolina Historical Review 6#4 (1929), pp. 371–397 in JSTOR
  10. Frank Lawrence Owsley. King Cotton Diplomacy: Foreign relations of the Confederate States of America (1931).
  11. Ashworth, John (2008). Slavery, capitalism, and politics in the antebellum Republic. 2. p. 656.