« La pensée sociale de Max Weber et Vilfredo Pareto » : différence entre les versions

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Version du 6 juillet 2015 à 23:28

Max Weber et Vilfred Pareto sont inscrit dans le champ sociologique et philosophique dans lesquelles surgissent les questions sur le politique.

Pour arriver à analyser la question du politique, il a fallu d’abord s’interroger sur la question de l’analyse de la société. L’Homme est un être social, cela signifie que l’enjeu fondamental et la compréhension des relations entre les individus au sein de la société. Nos sociétés modernes nous confrontent à un autre paradoxe qui est celui d’une société faite d’individualités.

En s’intéressant à l’être social, on s’intéresse à la façon dont il gère ses relations avec les autres. On ne peut plus séparer le social des conditions politiques dans lesquelles il est géré. Cela permet de comprendre comment la sociologie nous amène vers la science-politique. Dans la sociologie-politique on s’intéresse aux comportements politiques de l’individu.

Dès lors que Durkheim a posé le fait social et la gouvernementalité comme un postulat scientifique, il faut s’interroger sur la régulation sociale. La dimension politique de la société est omniprésente. Pour faire société et produire un sens collectif, nous devons nous intéresser à la manière dont le pouvoir se construit ainsi qu’à la notion de démocratie.

Qui dit société, dit organisation politique. Quand on regardait avant les sociétés traditionnelles, on ne pouvait voir que des individus sans fait politique. Aujourd’hui, on sait que toute société à une dimension politique quel que soit la nature de la société. Ainsi, on peut admettre que le politique organise les sociétés.

Le système d’organisation politique relevé d’une interaction entre le social et le politique. Cependant, il existe des sociétés où l’essence du politique disparaît, cela se produit au profit d’un autre pouvoir en passant d’un système de régulation à un système de relations basé sur la force et la violence. Dès lors, nous sommes amenés à nous interroger sur les fondements politiques d’une société qui ont pour vocation à établir des rapports dans une logique coercitive.

En partant de cette analyse, les sociologues admettent que la société est une organisation fondée sur le politique. Il est donc logique que du point de vue de la sociologie on s’intéresse au politique. On comprend alors pourquoi Max Weber et Vilfredo Pareto vont nous intéresser, c’est parce qu’ils s’interrogent sur les formes de gouvernement des groupes sociaux ainsi que sur les comportements politiques.

Max Weber : 1864 - 1920

Max Weber.

La vie de Max Weber

Weber est issu d’une famille d’entrepreneurs capitalistes ayant développé une vision cosmopolite à travers les dimensions du droit et de l’économie.

Il va articuler la question du politique et de la société en s’interrogeant sur la société Prusse qui est structurellement très rigide. Il enseignera entre autre le droit et l’économie politique à Fribourg (1894) tandis que son œuvre se reconstruira autour de la question de l’entreprenariat qu’il place comme une valeur fondamentale dans l’économie en politique.

Il publie de nombreuses études de droit et d’économie mais aussi d’histoire. En 1910, il participe à la société allemande de sociologie. Il deviendra un opposant fort au régime prussien et représentant d’un courant démocratique. En 1918, il obtient la chair de sociologique à l’Université de Munich. Il mourra en 1920 à 56 ans.

Rationalité et domination

Weber va s’interroger dans Économie et Société publié en 1921 la question du pouvoir et de la domination. Pour cela, il va élaborer une double interrogation :

  • rationalité : est-ce que les comportements politiques sont rationnels et qu’est-ce qui les dictes ?
  • pouvoir bureaucratique : comment se construit un État moderne et comment a-t-il besoin de mettre en place une bureaucratie quel ? Quel est le lien entre politique et bureaucratie ?

C’est une analyse politique sur la question des pouvoirs qui lui permet de distinguer trois formes de domination légitime :

  • domination statuaire : on obéit à l’ordre légalement arrêté et aux supérieurs qu’il désigne. L’individu consent d’adhérer à un appareil dans un ordonnancement de règles de droit socialement accepté. Il postule qu’on arrive à construire une base commune rationnelle impersonnelle.L’impersonnalité de l’ordre est une forme politique bien développée car il y a d’autres formes beaucoup plus importantes. Ces formes de domination relèvent d’un système rationnel accepté socialement qui fait fonctionner le dispositif ;
  • domination traditionnelle : on obéit à la personne qui est détenteur du pouvoir au nom de la tradition. La tradition forme et institut le système politique dans lequel les individus sont ;
  • domination charismatique : on obéit au chef en vertu de la confiance personnelle en sa révélation, son héroïsme ou sa valeur exemplaire ; ce système sociétal se construit à un moment donné autour d’une personne.

Selon Weber, la domination légale repose sur la validité des conceptions suivantes :

  1. tout droit peut être établi rationnellement par le pacte ou l’octroi : Même dans un système rationnel il y a une part de subjectivité dans les processus de décisions publiques. Il s'interroge sur les modes de domination en particulier la domination légale qui renvoie à la domination de la rationalité ;
  2. tout droit est dans son essence incosmos de règles abstraites, normalement décidées intentionnellement ;
  3. le détenteur légal du pouvoir, lors qu’il statue, obéit pour sa part à l’ordre impersonnel par lequel il oriente ses dispositions. Ce qui fait société c'est la contractualisation des relations. Celui qui donne un ordre le fait sur un rapport fondé sur la fonction et la domination ;
  4. celui qui obéit, n’obéit que comme membre du groupe, et seulement « au droit ». Obéir à un ordre ce fait dans ce système de gestion collective.

Il faut une direction administrative bureaucratique afin que ces sociétés puissent édicter des règles techniques et des normes. En tant qu’individu, on doit intégrer ces normes pour faire partie et vivre au sein de la société.

La direction administrative bureaucratique se compose de fonctionnaires individuels qui doivent remplir une fonction sociale qui doit être assumée dans un dispositif administratif bureaucratique. Pour endosser la mission, il faut se dépersonnaliser. Ainsi, les fonctionnaires sont personnellement libres mais ils n’obéissent qu’aux devoirs objectifs de leur fonction dans une hiérarchie, avec des compétences et en vertu d’un contrat.

Pour que la domination bureaucratique se réalise, il faut instaurer un principe de nomination des fonctionnaires qui domine. La nomination par contrat, par conséquent la sélection ouverte, est essentielle à la bureaucratie moderne. Dans la bureaucratie, l’étendue de la qualification professionnelle est en constante progression. La rétribution fixe est normale : porte une réflexion sur la rémunération des fonctionnaires afin qu’ils occupent la fonction de la manière la plus optimale possible. Pour le fonctionnaire bureaucratique , la fonction est la profession principale

L’administration bureaucratico-monocratique est une forme de domination bureaucratique qui incite à des comportements caractéristiques. La tendance est celle du nivellement dans l’intérêt du recrutement universel de ceux qui sont les plus qualifiés dans leur spécialité. D'autre part, il y a une tendance à la ploutocratisation dans l’intérêt de la formation spécialisée la plus longue possible mais c’est un risque évident de concentration des pouvoirs. C'est un système dans lequel domine l’impersonnalité la plus formaliste.

Ethique protestante et capitalisme

Die protestantische Ethik und der 'Geist' des Kapitalismus original cover

Weber attribue un rôle central aux faits religieux dans la constitution des civilisations et dans la généalogie de la rationalité occidentale. Il tente de montrer le processus de fonctionnarisation des sociétés. Ainsi il admet que la fonctionnarisation de la société est à l’origine des sociétés contemporaines occidentales. Elle imprime l’ensemble de de notre existence, la complexification de la vie social amenant l’État à gérer de plus en plus loin la société. C’est une extension de la rationalité qui s’entend pour gérer les enjeux croissant de la société. L’intensité des dispositifs de gestion est étendue et sans limite.

Dans L’éthique protestante et l’esprit du capitalisme ([1904-1905), Weber s’interroge sur le rapport entre rationalité et religion. Il tente d’établir si et dans quelle mesure des influences religieuses ont pris part à l’élaboration qualitative et à l’expansion quantitative de l’esprit du capitalisme ainsi qu’à la construction des systèmes politiques. Il cherche à comprendre comment les effets d’ensemble influencent la société. Ainsi, il émet l’hypothèse que la religion serait une pensée de la rationalité, elle serait deux choses à la fois à savoir un obstacle et un stimulant.

Au fond, le capitalisme est une logique d’investissement territoriale afin de dégager de la valeur. Ce serait une disposition des hommes à conduire leur existence selon des voies spécifiques qui provient d’un processus rationnel. Pour Weber le capitalisme a eu besoin de la religion car selon sa thèse sans la religion le capitalisme n’aurait pu existe. Il va se concentre sur la relation entre la religion et le capitalisme en se focalisant sur le protestantisme en tant que doctrine religieuse ainsi que sur son lien avec le capitalisme.

Pour Weber la « doctrine calviniste de la prédestination » est fondée sur la théorie de l’élu, c’est l’idée qu’il y a ceux qui sont reconnus par dieu et les damnés qui sont réprouvés. Il dégage un problème de la théorie calviniste qui est une dimension de l’insupportable puisque du vivant de l’individu il lui est impossible de savoir si il est reconnu ou réprouvé. Dans cette fatalité de l’élection il y a cette part de l’insupportable qui pousse l’Homme à trouver les propres voies de sa réalisation de sa reconnaissance.

Pour résoudre cette problématique de l’insupportable l’Homme doit se donner l’illusion subjective de sa propre sujétion. Il faut qu’il fabrique une anticipation qui passe par un comportement.

Dans le protestantisme calviniste l’Homme doit travailler beaucoup parce que c’est une valeur positive qui reflète la capacité à travailler pour dieu. Le travail n’assure pas la salvation, cependant l’activité professionnelle va donner le sentiment de pouvoir acheter son salut. Plus l’individu œuvre à son salut plus il a de chance de ne pas être réprouvé.

Cela abouti à un fait de société qui fabrique un type de comportement qui donne au travail une valeur permettant de se sauver dans le cadre d’une logique ascétique. La production de valeur au sens capitaliste est réinvestie dans le système. Ainsi la fabrication d’une société de rationalité se structurerait à partir d’une interprétation religieuse qui est le protestantisme ayant pour résultat de produire un enrichissement important non pas personnel mais vis-à-vis de dieu.

Cette théorie se construit en opposition au concept de jouissance. En engageant le travail de production de la valeur, l’individu crée et accumule le capital en plus d’avoir une approche puritaine de l’existence permettant de rencontrer dieu. Ce qui est intéressent est que cette démonstration est crédible dans le cadre de son processus de détermination.

Le métier politique

Max Weber en 1917.

Dans Politik als Beruf publié en 1919, Weber distingue deux façons de faire de la politique à savoir « pour » la politique qui le « but de sa vie », le « pour » a une dimension de don de soi-même et « de » la politique comme source de revenu, c’est vivre grâce à la politique. Cette nuance est fondamentale car ces deux façons de faire de la politique ne se rejoignent pas nécessairement. Si on vit de la politique une dimension éthique s’effondre. Cette opposition confronte un but existentiel et un but utilitariste.

Weber interroge dans les sociétés modernes la fonction de l’homme politique. Idéalement l’homme politique doit être économiquement indépendant des revenus que l’activité politique pourrait lui procurer.

Au fond, tout système démocratique est fondamentalement compliqué parce qu’évidemment le système politique fonctionne sur des règles et des normes en opposant ceux qui peuvent faire de la politique de ce qui ne peuvent pas faire de la politique. C’est un paradoxe qui ne permet qu’aux riches de faire de la politique, ainsi les Hommes politiques se recrutent de façon « ploutocratique » (du grec « ploutos » : richesse). La politique doit être faite par des personnes ayant un capital important pour se consacrer à la politique

Il s’interroge aussi sur comment construire un recrutement non fondé sur l’argent. Pour cela il postule que la politique doit être un espace de rémunération. D’un côté, il y a le risque de la ploutocratie, de l’autre le danger est de voir l’Homme politique faire du politique un métier.

Savoir si le politique relève d’un métier est une question centrale pour Weber. Il pointe ainsi du doigt la difficulté de la politique c’est-à-dire que c’est un ensemble de rivalités qui affaiblie la démocratie. Si la politique est un métier cela induit un ensemble de savoir et de compétence. Le problème est l’institutionnalisation de la politique alors que le fondement de la démocratie est le peuple. L’un des dangers principaux est de faire du parti politique une structure inhérente à la société.

Weber questionne ces contradictions en pointant le risque de la démagogie. Depuis qu’il existe des démocraties, le « démagogue » a été le type du chef politique en occident. La démagogie moderne fait usage du discours qu’il manie avec habilité en particulier les discours électoraux.

Ces stratégies politiques mettent en exergue l’instauration de pratiques visant à conserver le pouvoir, c’est ce qu’on appelle spoil-system. Dans le spoil-system, tous les postes fédéraux sont attribués aux partisans du candidat victorieux. Des partis s’opposent les uns aux autres et fabriquent pour chaque campagne électorale un programme en fonction des chances électorales.

Cependant, pour faire de la politique, il faut faire preuve de qualités essentielles comme la passion, le sentiment de responsabilité et le coup d’œil.

Dans le politique qui peut être à la fois une vocation et un métier, Weber cherche les alternatives et à déterminer le rapport qui pourrait exister entre éthique et politique. Il s’interroge sur l’éthique dans le politique. La politique est violence, elle requiert donc de l’éthique c’est-à-dire un comportement moral. L’éthique est la capacité de se comporter avec une haute valeur morale

Il distingue deux éthiques qui coexistent mais s’opposent :

  • l’éthique de conviction : elle est irrationnelle j’agis par conviction ; l’action doit s’engager par conviction qui elle-même garantie la finalité et la réussite. Elle se situe du côté de la foi, c’est une forme d’irrationalité
  • l’éthique de responsabilité : elle découle d’un comportement rationnel, c’est ma responsabilité qui doit engager et guider mon action. Les conséquences de mes actes sont imputables à ma propre action. Je suis responsable au nom de la rationalité de mes actes. En agissant au nom de la responsabilité, il faut prendre des décisions relevant de la rationalité

Dans le quotidien au sein des sociétés modernes on se retrouve tous à un moment donné dans un processus de décision. Eichmann pour se disculper utilisa l’argument de sa fonction afin d’évacuer toute responsabilité parce qu’il n’avait qu’obéit à des ordres.

Ainsi, Weber perçoit un certain nombre de limites à l’éthique en fonction du but poursuivit :

  • éthique de conviction : forme d’irrationalité (ma conviction, ma foi) ainsi selon l’adage de é, « la fin justifie les moyens » ;
  • éthique responsabilité : forme rationnelle ; je peux mettre en péril le salut de mon âme. Je peux prendre au nom de la rationalité des mesures qui peuvent aller à l’encontre de la morale et de la raison.

Les enjeux éthiques montre que quel que soit le dispositif d’action il faut avant tout penser son action, il faut faire des choix en conscience et part de la conscience. La rationalité pure ne peut être acceptable. L’éthique est un choix individuel il n’est pas réductible à une pensée et à des choix collectifs.

Vilfredo Pareto : 1848 - 1923

Vilfredo Pareto.

La vie de Vilfredo Pareto

Vilfredo Pareto fut directeur de la Compagnie des Chemins de Fer de Rome en 1890, puis il décide de consacrer le reste de sa vie à l’écriture, à la lecture, et aux sciences-sociales. Pareto se lance alors dans une croisade solitaire contre l’État et l’étatisme. En 1893, il succède à Léon Walras en tant que professeur d’économie politique à l’Université de Lausanne.

Société et histoire

Dans son Traité de sociologie générale publié en 1916, Pareto postule que « l’histoire des sociétés humaines est, en grande partie, l’histoire de la succession des aristocraties ». C’est un système fondé sur un ensemble d’acteurs et d’organisations sociales hiérarchiques.

Il distingue trois grandes « classes de faits » qui sont associées :

  • la crise du sentiment religieux ;
  • la décadence de l’antique aristocratie ;
  • l’émergence d’une nouvelle aristocratie.

Pour Pareto la société n’est pas homogène, elle énonce une égalité apparente. C’est un système ou une hiérarchie sociale persiste en présence d’hétérogénéités sociales qui fond perdurer la société. La société fonctionne sur des équilibres instables fondés sur des rapports anarchiques. Ainsi on est face à des systèmes sociaux complexes.

Pareto s’intéresse aux changements fondamentaux qui affectent la société moderne et la démocratie. Il observe plusieurs symptômes qui génèrent des contradictions entre les acteurs :

  • l’affaiblissement de la souveraineté centrale et le renoncement des facteurs anarchiques ;
  • la progression rapide du "cycle de la ploutocratie démagogique"[1].

Les élites et le pouvoir

Le concept d’élite existe toujours mais le problème fondamental est que les plus riches veulent garder le pouvoir tandis que les plus pauvres rentrent en conflit avec les plus riches. Un mode de gouvernance démagogique est instauré afin de mener des politiques populistes pour apaiser les masses.

Selon Pareto, l’organisation politique est toujours et nécessairement hiérarchique repartie entre classe gouvernante et classe gouvernée. La fonction du politique est de gérer ce rapport entre classe gouvernante et classe gouvernée.

La définition de l’élite d’après Pareto est quiconque qui réussit dans une branche quelconque. Les individus qui forment l’élite se constituent en tant que classe privilégié étrangère à tout principe d’égalité car cela irait à l’encontre de la gestion de son pouvoir et de ses intérêts.

Il distingue aussi une dichotomie plus subtile au sein de l’élite elle-même qui est séparée entre élite non gouvernementale et élite gouvernementale

Le concept d’élite politique est postulé par la classe dirigeante selon trois critères :

  • aptitude à prendre le pouvoir : la manière dont se construit la démarche pour accéder au pouvoir
  • aptitude à la légitimité : construction de la légitimé à travers une idéologie, la mise en place de mythes, en faisant appel à la morale et à la religion afin d’élaborer un concept de mobilisation
  • aptitude à conserver le pouvoir

Ainsi, l’élite ne s’organise pas sur un principe d’égalité mais de domination qu’elle cherche à pérenniser à travers des processus de passations et d’alliances. La classe dirigeante est marquée par le principe de l’habilité, c’est-à-dire par le concept de réseau. On observe alors un tempérament politique qui cherche à acquérir les moyens du pouvoir. Quoi qu’il en soit la conquête du pouvoir reste une épreuve de force.

En interrogeant le fait social, Pareto explore les comportements et politique qui permet de réinterroger la société.

Notes

Références

  1. Vilfredo Pareto (1891-1929), MYTHES ET IDÉOLOGIES url(texte complet): http://classiques.uqac.ca/classiques/pareto_wilfredo/mythes_ideologies/mythes_ideologies.pdf

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