« Las teorías de los movimientos sociales » : différence entre les versions

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El primero de estos tres enfoques fue desarrollado por cierta sociología americana de tipo funcionalista. En los años 40 y 50. Estas son las teorías del comportamiento colectivo. Por comportamiento colectivo, estos investigadores pusieron un montón de fenómenos. Esta teoría fue explícitamente inspirada por las teorías de la multitud, que son las teorías europeas de Durkheimian.
El primero de estos tres enfoques fue desarrollado por cierta sociología americana de tipo funcionalista. En los años 40 y 50. Estas son las teorías del comportamiento colectivo. Por comportamiento colectivo, estos investigadores pusieron un montón de fenómenos. Esta teoría fue explícitamente inspirada por las teorías de la multitud, que son las teorías europeas de Durkheimian.


=Schéma explicatif de la théorie du comportement collectif=
=Diagrama explicativo de la teoría del comportamiento colectivo=
Pour schématiser de manière très simple, le comportement collectif serait le résultat d’un État psychologique perturbé, de situations de frustration qui seraient le résultat du fait qu’il y a un changement social rapide. Les individus seraient un peu perdus et ils doivent réagir d’une certaine manière par des phénomènes d’action collective souvent radicales, voire violents. Cette théorie voulait expliquer des phénomènes collectifs violents.
En pocas palabras, el comportamiento colectivo sería el resultado de un estado psicológico perturbado, situaciones de frustración que serían el resultado de un rápido cambio social. Los individuos estarían un poco perdidos y tendrían que reaccionar de cierta manera a través de fenómenos de acción colectiva que a menudo son radicales o incluso violentos. Esta teoría quería explicar los fenómenos colectivos violentos.


[[Fichier:comportement politique schéma explicatif de la théorie du comportement collectif 1.png|center|vignette|500px]]
[[Fichier:comportement politique schéma explicatif de la théorie du comportement collectif 1.png|center|vignette|500px]]


On appel aussi souvent ces théories les théories de la frustration voire de la frustration relative parce que l’idée est que c’est par le fait que les individus dans un certain système social se sentent frustrés et c’est pour cette raison qu’ils vont dans des sortes de forme de comportement collectif.  
Estas teorías también se denominan a menudo teorías de la frustración o incluso de la frustración relativa, porque la idea es que es por el hecho de que los individuos de un determinado sistema social se sienten frustrados y por eso entran en una especie de forma de comportamiento colectivo.  


Un des fondateurs de ce type de réflexion s’appelle Niel Spencer qui a formulé la théorie des croyances généralisées. Il a proposé l’idée d’un certain nombre de facteurs qui doivent être présent pour qu’on puisse s’attendre à ce qu’il y ait une apparition de phénomènes de comportement collectif. C’est ce qu’il appelle la théorie de la valeur ajoutée. C’est le modèle additif où chaque facteur explicatif ajoute à la probabilité qu’on puisse voir émerger un mouvement social. Le concept de mouvement social est venu après.  
Uno de los fundadores de este tipo de pensamiento es Niel Spencer, quien formuló la teoría de la creencia generalizada. Propuso la idea de una serie de factores que deben estar presentes para que se espere un comportamiento colectivo. Esto es lo que él llama la teoría del valor añadido. Es el modelo aditivo en el que cada factor explicativo se suma a la probabilidad de que surja un movimiento social. El concepto de movimiento social vino después.


On distingue six conditions qui doivent être remplies pour qu’on puisse voir l’émergence des phénomènes de comportements collectifs. Il y a la conductibilité structurelle, c’est-à-dire que la structure sociale doit être telle que ce comportement puisse émerger, il y a des préconditions qui doivent être présentes et peut être parmi ces préconditions, il y a les tensions structurelles qui sont des théories qui mettent l’accent sur le fait qu’il y a des tensions sociales à un certain moment qui se créent et c’est suite à ces tensions sociales que l’on voit émerger un phénomène de comportement collectif de type radical ou violent. La croyance généralisée est le fait d’avoir des idées partagées sur la source du problème étant lié à la tension sociale. Il y a la possibilité de facteurs, c’est-à-dire qu’il faut un élément qui déclenche des émotions. Il y a la mobilisation pour l’action qui est le fait qu’il faut qu’il y ait des individus qui encouragent d’autres individus à joindre l’action ; en d’autres termes, il faut un leadership dans un mouvement qui puisse mobiliser. On voit le lien de ce type d’explication avec la théorie de la foule qui est qu’il y a des foules qui sont manipulables par des agitateurs. Le dernier facteur est l’échec du contrôle social qui est le fait que l’action des agents du contrôle social doit être faible de manière à ce que l’action ne soit pas empêchée.
Hay seis condiciones que deben cumplirse para que surjan fenómenos de comportamiento colectivo. Existe una conductividad estructural, es decir, la estructura social debe ser tal que pueda surgir este comportamiento, hay condiciones previas que deben estar presentes y quizás entre estas condiciones previas están las tensiones estructurales, que son teorías que ponen de relieve el hecho de que hay tensiones sociales en un determinado momento que se crean, y es como resultado de estas tensiones sociales que vemos la aparición de un fenómeno de comportamiento colectivo de tipo radical o violento. La creencia generalizada es el hecho de haber compartido ideas sobre la fuente del problema que se relaciona con la tensión social. Existe la posibilidad de factores, es decir, debe haber un elemento que desencadene las emociones. Hay una movilización para la acción, que es el hecho de que tiene que haber individuos que alienten a otros a unirse a la acción; en otras palabras, tiene que haber liderazgo en un movimiento que pueda movilizarse. Vemos el vínculo de este tipo de explicación con la teoría de las multitudes, que es que hay multitudes que pueden ser manipuladas por los agitadores. El último factor es el fracaso del control social, que es el hecho de que la acción de los agentes del control social debe ser débil para que no se impida la acción.


L’idée est un cumul de tous ces facteurs. Dès qu’il y a la présence de ces six facteurs, la probabilité de voir émerger un mouvement social devient très grande. Lorsqu’il y a un ou plusieurs facteurs qui manquent, cela devient moins probable.  
La idea es una acumulación de todos estos factores. Tan pronto como estos seis factores están presentes, la probabilidad de que surja un movimiento social es muy alta. Cuando faltan uno o más factores, es menos probable.


William Kornhauser est un sociologue très important des années 1960 et a notamment créé la théorie de la société de masse. Cela s’inscrit dans cette manière de réfléchir par rapport à ce qui peut expliquer pourquoi il y a des mouvements. C’est une approche qui est typiquement durkheimienne parce que le concept d’anomie est au cœur justement à cause de l’isolement croissant des individus au sein de cette société de masse qui est la société moderne. Cet isolement des individus créé une anomie sociale qui rendrait plus probable le fait que quelqu’un qui est dans une situation d’anomie puisse s’engager dans un mouvement et de nouveau dans un mouvement radical voire violent. C’est dans cette société de masse caractérisée par la perte du lien social qui sont les liens qui crées l’intégration sociale, on voit la parenté en miroir avec les théories du capital social qui postulent le contraire dans un certain sens, mais qui mettent aussi l’accent sur l’intégration sociale, sur la perte ou sur l’augmentation des liens qui relient les individus dans une société. Pour Kornhauser, la perte de ce lien produit de la participation. Dans les théories du capital social, c’est l’existence même de ces liens qui explique pourquoi les personnes participent en politique. On peut voir aussi un lien de parenté même si la littérature n’a pas fait ce lien explicitement. Les deux mettent l’accent sur le fait que c’est le lien social qui explique dans sa présence ou absence la participation et en particulier les phénomènes de comportements collectifs tel que défini par ce type de théorie. Selon Kornhauser, dans cette société de masse, les individus deviennent plus manipulables de la part d’autres individus. La société de masse se caractérise d’une part par la perte du lien social et par la manipulabilité croissante des individus un peu perdue dans cette société caractérisée par l’isolement.  
William Kornhauser es un sociólogo muy importante de los años 60 y entre otras cosas creó la teoría de la sociedad de masas. Es parte de esta forma de pensar sobre lo que puede explicar por qué hay movimientos. Es un enfoque típicamente Durkheimiano porque el concepto de anomia está en el corazón precisamente por el creciente aislamiento de los individuos dentro de esta sociedad de masas que es la sociedad moderna. Este aislamiento de los individuos crea una anomia social que haría más probable que alguien que está en una situación de anomia se comprometiera con un movimiento y volviera a comprometerse con un movimiento radical o incluso violento. Es en esta sociedad de masas caracterizada por la pérdida de los lazos sociales que crean la integración social, vemos el parentesco reflejado por las teorías del capital social que postulan lo contrario en cierto sentido, pero también hacen hincapié en la integración social, la pérdida o el aumento de los lazos que conectan a los individuos en una sociedad. Para Kornhauser, la pérdida de este vínculo produce participación. En las teorías del capital social, es la existencia misma de estos lazos lo que explica por qué la gente participa en la política. También podemos ver un vínculo de parentesco aunque la literatura no ha hecho explícitamente este vínculo. Ambos subrayan el hecho de que es el vínculo social el que explica la participación y, en particular, los fenómenos de comportamiento colectivo definidos por este tipo de teoría, en su presencia o ausencia. Según Kornhauser, en esta sociedad de masas, los individuos se vuelven más manipulables por otros individuos. La sociedad de masas se caracteriza, por un lado, por la pérdida del vínculo social y por la creciente manipulabilidad de los individuos un poco perdida en esta sociedad caracterizada por el aislamiento.


Ces deux théories mentionnées sont deux théories que l’on peut qualifier de structurelles, c’est-à-dire qui s’intéressent au niveau agrégé ou au niveau collectif, c’est-à-dire qui se situent à un niveau d’analyse macro ou méso.
Estas dos teorías mencionadas son dos teorías que pueden describirse como estructurales, es decir, que se refieren al nivel agregado o al nivel colectivo, es decir, que se encuentran en un nivel de análisis macro o meso.


=Théories du comportement collectif basées sur l’hypothèse de frustration – agression=
=Teorías de comportamiento colectivo basadas en la hipótesis de la frustración-agresión=
Il y a de nombreuses théories ou modèles d’explication qui s’inscrivent dans la même approche de la théorie des frustrations ou des théories du comportement politique qui se situent au niveau individuel et qui s’inspirent largement de certains travaux en psychologie. Ce sont des théories qui se sont appuyées sur l’idée de frustration – agression qui est l’idée qu’on est frustré pour une raison ou pour une autre.  
Hay muchas teorías o modelos de explicación que forman parte del mismo enfoque de la teoría de la frustración o de las teorías del comportamiento político que se encuentran a nivel individual y que se basan en gran medida en algunos trabajos de psicología. Estas son teorías que se han basado en la idea de la frustración - la agresión, que es la idea de que estás frustrado por una u otra razón.  


Ces théories s’appuient sur deux aspects. Un aspect est lié à la croissance des attentes et du décalage entre des aspirations des gens qui sont naturelles et qui tendent à croitre et une réalité qui parfois dans des situations de crise qui en fait ne correspond pas à ces attentes. Il y a un décalage entre ces attentes qui continuent à augmenter et une réalité qui à certains moments va à l’encontre de ces attentes. La théorie de la montée – chute des attentes va exactement dans ce sens. Pour la théorie, il y a les attentes des individus qui continuent à augmenter, mais à un certain moment, il y a une chute de la réalité objective qui ne permet pas de satisfaire ces attentes et cela crée de la frustration et ensuite de l’agression. Cela est la même chose pour les théories des attentes croissantes qui est relative et l’autre absolu. Un autre élément important sont les théories qui font référence à ce qu’on appelle la théorie des groupes de référence. C’est-à-dire que les individus se comparent avec d’autres personnes qui sont proches, mais dans une situation un peu différente et souvent qui sont dans une situation légèrement meilleure, cette comparaison fait qu’on peut tomber dans une situation de frustration et donc cette théorie s’appuie sur l’idée de comparaison avec des groupes de références. La plus connue est la théorie de la privation ou déprivation relative qui a été formulée par Ted Robert Gurr. Dans les années 1970, il a publié ''Why men rebel'' qui explique la conception ontologique par rapport à l’objet d’étude. Il n’y pas l’idée qu’il faut qu’il y ait un conflit social pour qu’on puisse définir un mouvement, si bien que si des gens se mobilisent et agissent de manière un peu radicale, cela est du comportement collectif. La théorie de la déprivation relative est de dire que les personnes tendent à se comparer et sont en quelque sorte perdant dans cette comparaison. On devient frustré et on essaie de ramener un équilibre au niveau psychologique par des formes d’action collective. Cette notion d’équilibre est fondamentale dans ce type d’explication parce qu’il y a un biais normatif très fort qui dit qu’il y a une bonne situation qui est celle d’un équilibre qui est soit celle d’un équilibre social donc au niveau du système social, soit un équilibre psychologique qui est au niveau de l’individu. Tous ces phénomènes de comportement collectif ont pour but de récupérer cet équilibre perdu à cause du changement social rapide ou encore à cause du fait que les attentes croissent et la réalité non, soit parce qu’on se compare à quelqu’un est que l’on pense qu’on peut être dans cette situation sociale et on ne l’est pas et on devient frustré. Cela est un peu la même chose pour la mobilité descendante et pour la théorie de l’incongruité des statuts.
Estas teorías se basan en dos aspectos. Uno de los aspectos está relacionado con el aumento de las expectativas y la brecha entre las aspiraciones de las personas, que son naturales y tienden a aumentar, y una realidad que a veces en situaciones de crisis no corresponde en realidad a esas expectativas. Hay una brecha entre estas expectativas que siguen creciendo y una realidad que a veces va en contra de estas expectativas. La teoría de la subida y bajada de las expectativas va exactamente en esta dirección. En teoría, hay expectativas de los individuos que siguen aumentando, pero en cierto momento hay una caída en la realidad objetiva que no permite que estas expectativas se cumplan y esto crea frustración y luego agresión. Lo mismo ocurre con las teorías de las expectativas crecientes, que es relativa y la otra absoluta. Otro elemento importante son las teorías que se refieren a la llamada teoría del grupo de referencia. Es decir, que los individuos se comparan con otras personas cercanas, pero en una situación ligeramente diferente y a menudo en una situación ligeramente mejor, esta comparación permite caer en una situación de frustración y, por lo tanto, esta teoría se basa en la idea de la comparación con grupos de referencia. La más conocida es la teoría de la privación relativa o privación que fue formulada por Ted Robert Gurr. En la década de 1970, publicó Why men rebelde que explica el diseño ontológico en relación con el objeto de estudio. No existe la idea de que tenga que haber un conflicto social para definir un movimiento, así que si la gente se moviliza y actúa un poco radicalmente, eso es un comportamiento colectivo. La teoría de la privación relativa es decir que las personas tienden a compararse y de alguna manera están perdiendo en esa comparación. Te frustras y tratas de devolver el equilibrio al nivel psicológico a través de formas de acción colectiva. Esta noción de equilibrio es fundamental en este tipo de explicación porque hay un sesgo normativo muy fuerte que dice que hay una buena situación, que es un equilibrio social, es decir, a nivel del sistema social, o un equilibrio psicológico a nivel del individuo. Todos estos fenómenos de comportamiento colectivo tienen como objetivo recuperar ese equilibrio perdido por el rápido cambio social o por el hecho de que las expectativas crecen y la realidad no, o porque nos comparamos con alguien es que pensamos que podemos estar en esa situación social y no lo estamos y nos frustramos. Es un poco lo mismo con la movilidad descendente y la teoría del estatus incongruente. Hay que recordar que existe la idea de frustración y agresión y que toda la reflexión se basa en tres ideas con un equilibrio que es la situación correcta y hacia la cual los individuos deben y quieren tender (1), esto se hace a nivel de expectativas y comparación de las expectativas con la realidad (2), y existe la idea de compararse con otra persona con la teoría de los grupos de referencia (3).
Il faut retenir qu’il y a l’idée de frustration et d’agression et que toute la réflexion s’appuie sur trois idées avec un équilibre qui est la bonne situation et vers laquelle les individus doivent et veulent tendre (1), ceci est fait au niveau des attentes et de la comparaison des attentes avec la réalité (2), et il y a l’idée de se comparer à quelqu’un d’autre avec la théorie des groupes de référence (3).  


À partir de la fin des années 1960, les théories du comportement collectif ont été d’abord complètement critiquées notamment l’idée même que la cause essentielle de l’action collective se trouve dans la désorganisation, dans les crises sociales, dans les tensions sociales, l’anomie et la frustration psychologique individuelle et donc l’idée que tout cela puisse expliquer le comportement collectif comme un phénomène spontané et réactif et souvent irrationnel. Souvent, dans ce type d’explication, ce qu’on appel les mouvements sociaux seraient des phénomènes irrationnels par des personnes frustrées pour une raison ou pour une autre et qui s’engagent dans des formes radicales voire violente dans le but de récupérer un certain équilibre psychologique ou au niveau social. L’idée que la cause essentielle est dans cette anomie a été fortement critiquée.  
Desde finales del decenio de 1960, las teorías del comportamiento colectivo fueron en un principio completamente criticadas, en particular la idea misma de que la causa esencial de la acción colectiva se encuentra en la desorganización, las crisis sociales, las tensiones sociales, la anomia psicológica individual y la frustración, y por lo tanto la idea de que todo esto puede explicar el comportamiento colectivo como un fenómeno espontáneo y reactivo y a menudo irracional. A menudo, en este tipo de explicación, lo que llamamos movimientos sociales serían fenómenos irracionales por parte de personas que se sienten frustradas por una u otra razón y que se comprometen de forma radical o incluso violenta para recuperar un cierto equilibrio psicológico o social. La idea de que la causa esencial está en esta anomia ha sido fuertemente criticada.


Quelle est la conséquence de dire que les mouvements sociaux sont des phénomènes irrationnels ? La conséquence est qu’il y a une séparation nette entre la politique rationnelle institutionnelle, électorale et la bonne politique, et la politique irrationnelle ou les comportements irrationnels déviants. Certain de ces auteurs, en tout cas les premiers, s’inspiraient des travaux sociologiques sur la déviance ou sur la criminalité.  
¿Cuál es la consecuencia de decir que los movimientos sociales son fenómenos irracionales? La consecuencia es que hay una clara separación entre la política racional institucional, electoral y buena política, y la política irracional o el comportamiento desviado irracional. Algunos de estos autores, al menos los primeros, se inspiraron en trabajos sociológicos sobre la desviación o la criminalidad.  


Une troisième critique est que cette catégorie et ce concept de comportement collectif comprend trop de choses différentes, à savoir des mouvements sociaux, foules, tumultes, soulèvements, des formes de paniques, des rumeurs, pour ce type d’explication, tout cela était une même chose. Il est difficile de défendre aujourd’hui que les mêmes explications que l’on peut faire de manifestations puissent être les mêmes facteurs qui permettent d’expliquer pourquoi, à certains moments, il y a des phénomènes de violence en un endroit.  
Una tercera crítica es que esta categoría y este concepto de comportamiento colectivo incluye demasiadas cosas diferentes, a saber, movimientos sociales, multitudes, tumultos, levantamientos, formas de pánico, rumores, para este tipo de explicación, todos eran la misma cosa. Es difícil defender hoy en día que las mismas explicaciones de las manifestaciones pueden ser los mismos factores que explican por qué, en ciertos momentos, hay fenómenos de violencia en un lugar.


À la fin des années 1960 et au début des années 1970, il y a eu une nouvelle génération de chercheurs qui a commencé à s’intéresser à ce qu’on appelle aujourd’hui les mouvements sociaux. Ces chercheurs étaient engagés dans certains mouvements et notamment dans les mouvements américains qui vont du freedom of speech movement à Berkley en 1964 jusqu’à la fin des années 1960. C’est un groupe de jeunes ayant étudié la sociologie aux États-Unis, qui se sont intéressés à certaines formes et engagés dans des mouvements sociaux, c’est ce qu’on appelle la new left américaine. Ces personnes lisaient les travaux de ces gens et disaient que les personnes mobilisées dans le freedom of speech movement sont des frustrés qui sont insatisfaits de leur situation, qui se comportent de manière irrationnelle et deviennent virulente parce qu’ils se comparent avec des gens proches d’eux. Pour le professeur Giugni, c’est grâce à cet engagement et à ce décalage entre leur propre expérience et la caractérisation que les théories existantes faisaient de cet engagement dans des mouvements ou des formes de protestations non-électorales, c’est de ce décalage que sont nées les autres théories et en particulier les théories de la mobilisation des ressources.  
A finales del decenio de 1960 y principios del de 1970, hubo una nueva generación de investigadores que comenzaron a interesarse por lo que ahora se denominan movimientos sociales. Estos investigadores estuvieron involucrados en ciertos movimientos, incluyendo los movimientos americanos que se extendieron desde el movimiento de libertad de expresión en Berkley en 1964 hasta el final de la década de 1960. Se trata de un grupo de jóvenes que estudiaron sociología en los Estados Unidos, que se interesaron por ciertas formas y se comprometieron con los movimientos sociales, lo que llamamos la nueva izquierda americana. Leyeron el trabajo de estas personas y dijeron que las personas movilizadas en el movimiento por la libertad de expresión son personas frustradas que están insatisfechas con su situación, que se comportan de manera irracional y se vuelven virulentas porque se comparan con personas cercanas a ellas. Para el profesor Giugni, fue este compromiso y esta brecha entre su propia experiencia y la caracterización que las teorías existentes hicieron de este compromiso en los movimientos no electorales o formas de protesta, y es de esta brecha que surgieron otras teorías, y en particular las teorías de la movilización de recursos.


La théorie de la mobilisation des ressources a complément bouleversée ce type d’explication et a complètement mis à l’écart le type d’explication qui était en vogue à ce moment. Les premiers travaux qui s’inscrivent dans la théorie de la mobilisation des ressources remontent à 1966.
La teoría de la movilización de recursos ha desbaratado aún más este tipo de explicación y ha dejado de lado por completo el tipo de explicación que estaba en boga en ese momento. El primer trabajo en la teoría de la movilización de recursos se remonta a 1966.


=Schéma explicatif de la théorie de la mobilisation des ressources=
=Diagrama explicativo de la teoría de la movilización de recursos=
Qu’est-ce que dit la théorie de la mobilisation des ressources ? À chaque fois, c’est un ensemble de théories, mais il y a quand même un schéma sous-jacent. Le langage de ce que l’on veut expliquer à changé, ce n’est plus le comportement collectif qui englobe des formes différentes de conduites ou d’actions collectives, mais c’est quelque chose de plus spécifique, ce sont des mouvements sociaux voire des mouvements sociopolitiques. Le terme politique est fondamental parce que le premier grand bouleversement qui a été fait par ce type d’explication est que ce qu’on appelle aujourd’hui les mouvements sociaux ont commencé à être reconnu comme des formes d’engagement politique par d’autres moyens donc entendu par d’autres moyens que le vote. L’idée d’irrationalité de l’action collective à complètement été mise à l’écart ou renversée. Cela devenait de l’engagement rationnel par des acteurs rationnels qui s’engageaient dans certaines formes de protestations ou de mobilisations ou de comportements politiques au sens général autre que simplement aller voter de façon régulière. À l’origine, il y a toujours l’idée qu’il y a un changement social est que in fine c’est le changement social qui explique pourquoi il y a émergence, mais le mécanisme est complètement différent.  
¿Qué dice la teoría de la movilización de recursos? Cada vez es un conjunto de teorías, pero aún así hay un patrón subyacente. El lenguaje de lo que queremos explicar ha cambiado, ya no es el comportamiento colectivo que abarca diferentes formas de comportamiento o acciones colectivas, sino algo más específico, son los movimientos sociales o incluso los movimientos sociopolíticos. El término político es fundamental porque la primera gran conmoción que se ha producido por este tipo de explicación es que lo que ahora llamamos movimientos sociales han empezado a ser reconocidos como formas de compromiso político por otros medios, es decir, por otros medios distintos del voto. La idea de la irracionalidad de la acción colectiva ha sido completamente dejada de lado o invertida. Se convirtió en un compromiso racional por parte de actores racionales que participaron en alguna forma de protesta o movilización o en un comportamiento político en un sentido general que no era simplemente ir a votar de forma regular. Al principio, siempre existe la idea de que hay un cambio social y que, en última instancia, es el cambio social el que explica por qué hay una emergencia, pero el mecanismo es completamente diferente.  


[[Fichier:comportement politique schéma explicatif de la théorie de la mobilisation des ressources 1.png|center|vignette|500px]]
[[Fichier:comportement politique schéma explicatif de la théorie de la mobilisation des ressources 1.png|center|vignette|500px]]


Dans ce schéma, le changement social produit des mouvements sociaux qui permet d’expliquer l’émergence des mouvements sociaux, mais à travers un autre mécanisme qui est le contraire de celui de Kornhauser et de la société de masse. Ce n’est pas la mobilisation, mais l’organisation, ce n’est pas la perte de lien social, mais ce sont les solidarités sociales.  
En este esquema, el cambio social produce movimientos sociales, lo que ayuda a explicar el surgimiento de los movimientos sociales, pero a través de otro mecanismo que es el opuesto al de Kornhauser y la sociedad de masas. No es la movilización, sino la organización; no es la pérdida de los lazos sociales, sino la solidaridad social.  


Les deux éléments essentiels dans la théorie de la mobilisation des ressources est que l’on puisse s’engager pour que l’on puisse expliquer l’émergence de phénomènes de mouvement sociaux, il faut qu’il y ait un certain degré d’organisation. Par organisation, on peut entendre des organisations formelles comme des partis politiques ou des groupes d’intérêts et il y a un troisième type d’organisation politique qui agit dans une troisième arène qui n’est pas l’arène électorale ni l’arène intermédiaire, mais l’arène extérieure au système politique et qui est donc l’arène des mouvements sociaux. Il faut une certaine organisation, des organisations, mais surtout des liens et des réseaux sociaux qui expliquent pourquoi ou rendent plus probable qu’il y a l’émergence d’un mouvement social. À la base, il y a toujours un mécontentement, mais c’est vraiment dans le mécanisme que cela change. D’autre part, il faut que ces organisations soient capables de mobiliser un certain nombre de ressources. C’est à travers la mobilisation des ressources que le mécontentement qui est le produit d’un changement social.  
Los dos elementos esenciales de la teoría de la movilización de recursos es que para explicar la aparición de los fenómenos de los movimientos sociales tiene que haber un cierto grado de organización. Por organización se entiende las organizaciones formales como los partidos políticos o los grupos de interés, y existe un tercer tipo de organización política que actúa en una tercera arena que no es la arena electoral o la arena intermedia, sino la arena fuera del sistema político y, por lo tanto, es la arena de los movimientos sociales. Requiere un cierto tipo de organización, organizaciones, pero sobre todo vínculos y redes sociales que expliquen por qué o hagan más probable que surja un movimiento social. A nivel de base, siempre hay descontento, pero es realmente en el mecanismo que esto cambia. Por otra parte, estas organizaciones deben ser capaces de movilizar una cierta cantidad de recursos. Es a través de la movilización de recursos que se crea el descontento, que es el producto del cambio social.


Pour Wilson, « puisque les sociétés sont rarement stables, en équilibre ou sans tensions, car le changement est constant, les forces qui ont le potentiel de produire les mouvements sociaux sont toujours présentent dans un certain degré ». Autrement dit, il y a toujours assez de griefs dans la société pour qu’il y ait le potentiel et pour qu’il y ait l’émergence d’un mouvement. Pour les théoriciens de la mobilisation des ressources, on ne peut pas expliquer parce qu’il y a toujours des gens mécontents, il y a toujours des gens qui ont des griefs et pourtant il n’y a pas toujours de mouvements sociaux et les gens ne se mobilisent pas tout le temps donc il faut expliquer ce qui fait que ces gens mécontents se mobilisent. Ce facteur est justement le fait que ces acteurs arrivent à rassembler assez de ressources et les allouer à l’engagement et à la mobilisation politique.
Para Wilson, "dado que las sociedades rara vez son estables, en equilibrio o sin tensiones, porque el cambio es constante, las fuerzas que tienen el potencial de producir movimientos sociales están siempre presentes en algún grado". En otras palabras, siempre hay suficientes agravios en la sociedad para que exista el potencial y para que surja un movimiento. Para los teóricos de la movilización de recursos, no se puede explicar porque siempre hay gente descontenta, siempre hay gente con quejas y, sin embargo, no siempre hay movimientos sociales y la gente no se moviliza todo el tiempo, por lo que hay que explicar qué es lo que hace que estas personas descontentas se movilicen. Este factor es precisamente el hecho de que estos actores logran reunir suficientes recursos y los destinan al compromiso y la movilización política.


Les postulats fondamentaux de ce type d’explication sont l’importance de dimension stratégique de l’action collective (1), les mouvements sociaux sont des efforts collectifs rationnels pour atteindre des buts communs, mais aussi l’importance de l’organisation sociale (2) qu’elle soit formelle ou informelle comme condition de l’action collective, c’est–à-dire que c’est l’idée que l’on rejette l’idée que le mécontentement et que la désorganisation soient les facteurs principaux pour expliquer la mobilisation. Enfin, il y a l’importance de la disponibilité et de l’allocation des ressources matérielles et symboliques (3) qui sont importantes pour pouvoir se mobiliser. Autrement dit, ce ne sont pas les personnes les plus défavorisées et les plus isolées qui ont le plus de chances de se mobiliser, ce sont les personnes qui ont plus de ressources qui se mobilisent.  
Las premisas fundamentales de este tipo de explicación son la importancia de la dimensión estratégica de la acción colectiva (1), los movimientos sociales son esfuerzos colectivos racionales para lograr objetivos comunes, pero también la importancia de la organización social (2), ya sea formal o informal, como condición para la acción colectiva, es decir, el rechazo de la idea de que el descontento y la desorganización son los principales factores para explicar la movilización. Por último, está la importancia de la disponibilidad y la asignación de recursos materiales y simbólicos (3) que son importantes para la movilización. En otras palabras, no son las personas más desfavorecidas y aisladas las que tienen más probabilidades de movilizarse, sino las personas con más recursos.


En résumé, dans la perspective de la théorie de la mobilisation des ressources, l’action collective n’est pas une réaction ou une adaptation à une situation de crise, mais un effort commun et rationnel pour atteindre des buts politiques. Cet effort est d’autant plus probable et aura d’autant plus de succès que les mouvements sociaux disposent de ressources et de l’organisation. On passe d’acteurs irrationnels à des acteurs rationnels proactifs organisés qui est la dimension stratégique. Donc, in fine, une théorie de la solidarité remplace une théorie en termes de rupture.  
En resumen, desde la perspectiva de la teoría de la movilización de recursos, la acción colectiva no es una reacción o adaptación a una situación de crisis, sino un esfuerzo común y racional para lograr objetivos de política. Este esfuerzo es tanto más probable y tendrá tanto más éxito cuanto más recursos y organización tengan los movimientos sociales a su disposición. Se está pasando de los agentes irracionales a los agentes racionales proactivos organizados, que es la dimensión estratégica. Así que, al final, una teoría de la solidaridad reemplaza a una teoría en términos de ruptura.


La théorie du breakdown est redevenue à la mode fortement depuis la crise de 2008 stimulée par des phénomènes de protestation qui ont eu lieu. Avec la crise économique, on observe une montée des mouvements donc le mécontentement est bel et bien ce qui explique. Mais peut-être que derrière cette relation, se cache quelque chose d’un peu différent avec d’une part des niveaux de ressources que ces différents mouvements possèdent au préalable. Cela peut être quelque chose d’autre. Peut être que cette crise économique a produit des changements au niveau politico-institutionnel et c’est peut être cela qui explique l’émergence des mouvements et pas directement la crise et le mécontentement que la crise à produit chez certains. Autrement dit, peut être que la relation entre crise économique et mobilisation de ces mouvements comme les indignés par exemple est ce qu’on appel une relation fallacieuse.
La teoría de la ruptura ha vuelto a ponerse de moda con fuerza desde la crisis de 2008 estimulada por los fenómenos de protesta que tuvieron lugar. Con la crisis económica, ha habido un aumento de los movimientos, así que el descontento es de hecho lo que lo explica. Pero tal vez detrás de esta relación, hay algo un poco diferente, con por un lado los niveles de recursos que estos diferentes movimientos tienen de antemano. Puede ser otra cosa. Tal vez esta crisis económica ha producido cambios a nivel político-institucional y tal vez eso es lo que explica el surgimiento de los movimientos y no directamente la crisis y el descontento que la crisis ha producido en algunas personas. En otras palabras, tal vez la relación entre la crisis económica y la movilización de estos movimientos, como los indignados por ejemplo, es lo que se denomina una relación espuria.


=Diagrama explicativo de la teoría del proceso político=
=Diagrama explicativo de la teoría del proceso político=

Version actuelle datée du 14 mai 2020 à 21:25


En la literatura sobre el comportamiento político, durante mucho tiempo, los movimientos sociales han sido considerados como algo que no forma parte de él. El voto se consideraba la única forma legítima de comportamiento político por parte de los ciudadanos y los movimientos sociales eran otra cosa. Como resultado, la literatura sobre los movimientos sociales se desarrolló independientemente de la literatura y las teorías de comportamiento electoral. En los últimos años se han realizado esfuerzos cada vez mayores para establecer conexiones entre la literatura y se ha reconocido que los movimientos sociales son una de las formas en que los ciudadanos pueden movilizarse.

En la teoría de los movimientos sociales, se pueden distinguir dos subconjuntos. Uno de ellos es el nivel micro, es decir, las teorías, explicaciones y enfoques que intentan explicar la participación individual en formas no electorales de participación política. Estas son formas en las que los ciudadanos pueden participar. El segundo subconjunto se refiere a los actores colectivos, que es toda una teoría desarrollada independientemente.

No hay consenso entre los especialistas en cuanto a lo que es un movimiento social. Es mucho más fácil definir un partido como una organización política que entra en un juego electoral (búsqueda de votos) y con vistas a tomar el poder (búsqueda de cargos). Las Partes son organizaciones oficiales y, por lo tanto, más fáciles de definir. Los movimientos sociales son actores mucho más difusos, no son organizaciones. Hay un elemento de vaguedad conceptual que dificulta la definición. La literatura comparativa sobre movimientos sociales está creciendo en alcance e importancia.

Relación entre el cambio estructural y la acción colectiva[modifier | modifier le wikicode]

Comportement politique relation entre changements structurels et action collective 1.png

En The Contentious French publicado en 1989, Charles Tilly traza el camino de la participación y el comportamiento no electoral y, por lo tanto, el surgimiento de los movimientos sociales, o más precisamente la transformación de los repertorios de la acción colectiva.[8] Tilly traza los cambios en los repertorios de acción colectiva desde el siglo XVI en Francia. Lo que hoy llamamos movimientos sociales son el resultado de un largo proceso histórico de transformaciones en los repertorios de la acción colectiva, que se entiende como las formas que están disponibles en un determinado contexto institucional y cultural, las modalidades que están a disposición de los ciudadanos para protestar y hacer valer sus reivindicaciones al margen del voto. Tilly pone el voto en el repertorio, por lo que el repertorio de la acción colectiva son todos los medios que los ciudadanos tienen a su disposición para hacer valer sus reivindicaciones. Según Tilly, los movimientos sociales son una forma particular de acción colectiva que ha surgido como resultado de este proceso y que está localizada histórica y espacialmente.

Así pues, los movimientos sociales nacieron en el siglo XIX y más precisamente en Inglaterra como resultado de este proceso, que depende de dos grandes factores estructurales que explican las transformaciones del repertorio de la acción colectiva: la aparición del capitalismo (1), que son las transformaciones de los modos de producción en Europa, y el proceso de formación del Estado-nación (2). Aparecen las dos grandes revoluciones de Rokkan que dieron lugar a las escisiones; encontramos la noción de escisión en este tipo de narrativa en relación con el surgimiento de los movimientos sociales.

Estas grandes revoluciones estructurales provocaron cambios en Francia, Inglaterra y otros países, en los intereses e identidades. El surgimiento del capitalismo ha creado nuevos intereses y nuevas identidades colectivas como con el proletariado o la burguesía. Estos dos grandes procesos y, en particular, el proceso de formación del Estado-nación ha creado nuevas oportunidades de movilización y objetivos de movilización. Finalmente, estos dos grandes procesos también han transformado la organización de la sociedad creando, por ejemplo, las clases sociales tal como las conocemos hoy en día.

Estas grandes transformaciones produjeron luego transformaciones en los repertorios de la acción colectiva. Para Tilly, la acción colectiva ha pasado de un repertorio "reactivo" a uno "proactivo"; es decir, los movimientos o los ciudadanos no reaccionan simplemente a las decisiones tomadas por las autoridades locales u otras autoridades, sino que se organizan para tomar iniciativas proactivas. El repertorio pasa de la "competencia" al "conflicto". Ya no se trata simplemente de una competencia local entre diferentes grupos, sino de una acción colectiva que forma parte de un verdadero conflicto social en el que hay intereses colectivos opuestos y en el que el éxito de un interés colectivo o la movilización en torno a un éxito colectivo implica la pérdida del interés o los intereses colectivos opuestos, lo que hace referencia a la idea de conflicto social. Estamos pasando de una impugnación de un repertorio espontáneo a una impugnación de un repertorio organizado, es decir, que los ciudadanos están empezando a organizarse, a formar organizaciones sociales, pero también partidos políticos, y estamos pasando de una impugnación local a una impugnación nacional. Tilly habla de una nacionalización de la acción colectiva y de la protesta social sobre los movimientos sociales como una forma de acción colectiva nacionalizada.

Los movimientos sociales son una forma especial de política de protesta que surge de la transformación del viejo al nuevo repertorio cuando la acción concertada del capital y la coacción ha transformado estas modalidades. La idea es que el movimiento social surgió como un conjunto de formas de acción colectiva por parte de los ciudadanos que se hizo modular.

Aspectos que caracterizan a un movimiento social[modifier | modifier le wikicode]

Según Tilly, los movimientos sociales son una forma particular de acción colectiva o un repertorio de acciones colectivas que han surgido a través de un largo proceso histórico que depende de las dos grandes transformaciones estructurales de la sociedad en Europa que han producido cambios en los intereses, las organizaciones y las oportunidades de los ciudadanos para hacer valer sus demandas.

Si miramos esto desde un punto de vista analítico, todavía tenemos que definir lo que es un movimiento social, lo cual es relativamente complicado. Hay varias definiciones de movimientos sociales en la literatura. Della Porta y Diani encontraron cuatro elementos que caracterizan a los movimientos sociales:[9]

  1. Redes de relaciones informales: es el aspecto de "organización" con la idea de que las personas que participan en un movimiento están organizadas, lo que representa un sistema no formalizado de relaciones entre individuos.
  2. Creencias compartidas y solidaridad: estos actores que forman parte de las redes de relaciones informales, para constituir un movimiento social, deben basarse en un cierto conjunto de valores, creencias y un conjunto de identidades colectivas compartidas. Existe la idea de que cuando observamos algo, pensando que es un movimiento, podría ser un movimiento o algo más. En otras palabras, un movimiento no se superpone a las acciones de protesta que vemos en la calle.
  3. Acción colectiva conflictiva: un movimiento debe ser parte de un conflicto social. Esta es la idea de la política de protesta de un movimiento social.
  4. Recurso a la protesta: debe haber una red de solidaridades informales basadas en creencias e identidades compartidas sobre la base de una acción colectiva conflictiva o un conflicto social a través de formas de movilización que pueden llamarse protesta, que son formas de movilización no electorales.

La definición de movimiento social de Della Porta y Diani es que las movilizaciones son principalmente redes informales de interacciones basadas en creencias y solidaridades compartidas que se movilizan sobre temas conflictivos mediante el uso frecuente pero no exclusivo de diferentes formas de protesta.

Tipología de los movimientos sociales[modifier | modifier le wikicode]

Se puede distinguir entre un enfoque histórico minoritario en la literatura y los enfoques analíticos.

El enfoque histórico se basa en teorías esencialmente europeas que han tratado, como Tilly, de mostrar cómo los movimientos son el fruto y el producto de importantes transformaciones estructurales y sociales de la sociedad que han llevado al surgimiento de partidos políticos, pero también al surgimiento de movimientos sociales y formas de acción colectiva no electoral.

Hay una interesante distinción entre tres paradigmas que podrían compararse con la noción de división. Estos son tres grandes paradigmas que han dado lugar a tres tipos de movimientos que se han sucedido en Europa. Estos tres paradigmas son el de autoridad, el de distribución y el de estilo de vida.

Comportement politique typologie des mouvements sociaux 1.png

El paradigma de autoridad correspondiente a la división centro-periferia, tal como lo propone Rokkan, y las movilizaciones que se han basado en este paradigma son esencialmente movimientos y demandas relacionadas con el control de los recursos políticos, que es la idea de la resistencia a la formación del estado-nación por parte de entidades o gobiernos locales que han tratado de oponerse a ella. La centralización del Estado-nación ha supuesto una pérdida de poder por parte de las entidades locales, lo que ha provocado resistencia.

El segundo gran paradigma es el paradigma de la redistribución, que es una cuestión de recursos económicos, con, en particular, la aparición del movimiento obrero que ha surgido como resultado de este paradigma y que se ha movilizado en torno a él.

El paradigma del estilo de vida ha dado lugar a los nuevos movimientos sociales, que son movimientos que se han movilizado no por el control político o por el control o la redistribución de los recursos económicos, sino en torno a cuestiones de estilo de vida y demandas culturales.

Esta es una forma bastante interesante de mostrar históricamente el surgimiento sucesivo de divisiones y fracturas sociales, así como de fisuras que han llevado al surgimiento de formas de acción colectiva, pero que tratan de cuestiones diferentes. Esto también nos permite clasificar los tipos de movimiento. Cabe señalar también que a cada movimiento corresponde un contramovimiento.

Con la globalización, podría haber hoy un cuarto paradigma que se vincularía a esta división Norte-Sur a escala mundial, lo que podría explicar, por ejemplo, la aparición de movimientos antiglobalización.

Teorías del movimiento social[modifier | modifier le wikicode]

Las explicaciones históricas que han sido propuestas principalmente por autores europeos relacionan el surgimiento de diferentes tipos de movimientos sociales con las transformaciones estructurales de la sociedad. Rokkan, en particular, ha dejado su marca en este tipo de reflejo.

En los Estados Unidos, en lugar de preguntarse por qué surgen ciertos movimientos sociales, se han centrado en la cuestión de cómo se movilizan los movimientos. Ha habido varias teorías de movimientos sociales. Están las teorías del comportamiento colectivo, la teoría de la movilización de recursos y la teoría del proceso político. A veces, en inglés, las teorías de movimiento colectivo se llaman teorías de ruptura; también se llaman teorías de duelo. La teoría del proceso político se suele denominar teoría de la oportunidad política.

Al igual que con las teorías de la votación, algunos autores dicen que sólo hay dos explicaciones principales, a saber, una teoría del desglose y una explicación en términos de recursos y oportunidades. Estos enfoques se sucedieron a lo largo del tiempo, primero con las teorías del comportamiento colectivo en los años cuarenta y cincuenta junto con el conductismo, y luego, a partir de los años sesenta, se produjo la aparición de la teoría de la movilización de recursos y el proceso político.

Hay una distinción entre el enfoque del comportamiento colectivo y el enfoque de movilización y el enfoque del proceso político. La reflexión sobre la forma de explicar los movimientos sociales y, más en general, los fenómenos de acción colectiva en la sociología europea se remonta a los fundadores de la sociología. Hay dos formas principales de ver esto, que son dos grandes perspectivas que son un enfoque que viene bajo el pensamiento marxista con enfoques que miran más bien desde el ángulo del conflicto de clases viendo la acción colectiva como la expresión de un conflicto social que se crea alrededor de una escisión.

Así como el conflicto puede expresarse en el ámbito institucional mediante la formación de partidos y la movilización de las partes en el ámbito institucional, también puede expresarse externamente mediante movimientos sociales o acciones colectivas.

Un segundo enfoque importante deriva del pensamiento de otros fundadores de la sociología, como Durkheim, que ayudó a crear el paradigma del holismo metodológico. Los enfoques que se inscriben en esta línea de pensamiento se refieren más bien a la idea de la solidaridad social y a la ruptura de esta solidaridad social que se produce de vez en cuando y crea situaciones de anomia social. La idea de la ruptura del equilibrio social es la situación normativamente correcta. Hay una fuerte connotación normativa en este tipo de teoría, que además ha inspirado todo el pensamiento funcionalista. Esta idea de anomia es que los movimientos sociales y las formas de acción colectiva son el resultado de esta ruptura que se ha creado dentro de una sociedad determinada.

Es precisamente sobre la base de este tipo de reflexión que los primeros intentos de explicar la acción colectiva, que los primeros esfuerzos realizados por ciertos psicosociólogos franceses se centraron en la idea de la ruptura y la acción de las multitudes. Estos primeros intentos se denominan teorías de la multitud, donde por multitud entendemos toda una gama de teorías diferentes, que van desde los fenómenos de protesta política hasta las formas de desviación, incluyendo lo que ahora se llama gamberrismo. Era una mezcla de fenómenos que se agrupaban y se veían como expresiones de multitudes que eran manipulables y manipuladas por ciertos líderes. El nombre más conocido es Gustave Lebon, pero también Gabriel Tarde que formuló las primeras teorías hace 120 años. Estas teorías también se centraban en los fenómenos psicológicos de la frustración, por lo que en este tipo de explicación, las personas que participan en los movimientos sociales serían las personas frustradas en la incitación de la anomia social que tratan de expresar esta anomia a través del comportamiento colectivo.

El primero de estos tres enfoques fue desarrollado por cierta sociología americana de tipo funcionalista. En los años 40 y 50. Estas son las teorías del comportamiento colectivo. Por comportamiento colectivo, estos investigadores pusieron un montón de fenómenos. Esta teoría fue explícitamente inspirada por las teorías de la multitud, que son las teorías europeas de Durkheimian.

Diagrama explicativo de la teoría del comportamiento colectivo[modifier | modifier le wikicode]

En pocas palabras, el comportamiento colectivo sería el resultado de un estado psicológico perturbado, situaciones de frustración que serían el resultado de un rápido cambio social. Los individuos estarían un poco perdidos y tendrían que reaccionar de cierta manera a través de fenómenos de acción colectiva que a menudo son radicales o incluso violentos. Esta teoría quería explicar los fenómenos colectivos violentos.

Comportement politique schéma explicatif de la théorie du comportement collectif 1.png

Estas teorías también se denominan a menudo teorías de la frustración o incluso de la frustración relativa, porque la idea es que es por el hecho de que los individuos de un determinado sistema social se sienten frustrados y por eso entran en una especie de forma de comportamiento colectivo.

Uno de los fundadores de este tipo de pensamiento es Niel Spencer, quien formuló la teoría de la creencia generalizada. Propuso la idea de una serie de factores que deben estar presentes para que se espere un comportamiento colectivo. Esto es lo que él llama la teoría del valor añadido. Es el modelo aditivo en el que cada factor explicativo se suma a la probabilidad de que surja un movimiento social. El concepto de movimiento social vino después.

Hay seis condiciones que deben cumplirse para que surjan fenómenos de comportamiento colectivo. Existe una conductividad estructural, es decir, la estructura social debe ser tal que pueda surgir este comportamiento, hay condiciones previas que deben estar presentes y quizás entre estas condiciones previas están las tensiones estructurales, que son teorías que ponen de relieve el hecho de que hay tensiones sociales en un determinado momento que se crean, y es como resultado de estas tensiones sociales que vemos la aparición de un fenómeno de comportamiento colectivo de tipo radical o violento. La creencia generalizada es el hecho de haber compartido ideas sobre la fuente del problema que se relaciona con la tensión social. Existe la posibilidad de factores, es decir, debe haber un elemento que desencadene las emociones. Hay una movilización para la acción, que es el hecho de que tiene que haber individuos que alienten a otros a unirse a la acción; en otras palabras, tiene que haber liderazgo en un movimiento que pueda movilizarse. Vemos el vínculo de este tipo de explicación con la teoría de las multitudes, que es que hay multitudes que pueden ser manipuladas por los agitadores. El último factor es el fracaso del control social, que es el hecho de que la acción de los agentes del control social debe ser débil para que no se impida la acción.

La idea es una acumulación de todos estos factores. Tan pronto como estos seis factores están presentes, la probabilidad de que surja un movimiento social es muy alta. Cuando faltan uno o más factores, es menos probable.

William Kornhauser es un sociólogo muy importante de los años 60 y entre otras cosas creó la teoría de la sociedad de masas. Es parte de esta forma de pensar sobre lo que puede explicar por qué hay movimientos. Es un enfoque típicamente Durkheimiano porque el concepto de anomia está en el corazón precisamente por el creciente aislamiento de los individuos dentro de esta sociedad de masas que es la sociedad moderna. Este aislamiento de los individuos crea una anomia social que haría más probable que alguien que está en una situación de anomia se comprometiera con un movimiento y volviera a comprometerse con un movimiento radical o incluso violento. Es en esta sociedad de masas caracterizada por la pérdida de los lazos sociales que crean la integración social, vemos el parentesco reflejado por las teorías del capital social que postulan lo contrario en cierto sentido, pero también hacen hincapié en la integración social, la pérdida o el aumento de los lazos que conectan a los individuos en una sociedad. Para Kornhauser, la pérdida de este vínculo produce participación. En las teorías del capital social, es la existencia misma de estos lazos lo que explica por qué la gente participa en la política. También podemos ver un vínculo de parentesco aunque la literatura no ha hecho explícitamente este vínculo. Ambos subrayan el hecho de que es el vínculo social el que explica la participación y, en particular, los fenómenos de comportamiento colectivo definidos por este tipo de teoría, en su presencia o ausencia. Según Kornhauser, en esta sociedad de masas, los individuos se vuelven más manipulables por otros individuos. La sociedad de masas se caracteriza, por un lado, por la pérdida del vínculo social y por la creciente manipulabilidad de los individuos un poco perdida en esta sociedad caracterizada por el aislamiento.

Estas dos teorías mencionadas son dos teorías que pueden describirse como estructurales, es decir, que se refieren al nivel agregado o al nivel colectivo, es decir, que se encuentran en un nivel de análisis macro o meso.

Teorías de comportamiento colectivo basadas en la hipótesis de la frustración-agresión[modifier | modifier le wikicode]

Hay muchas teorías o modelos de explicación que forman parte del mismo enfoque de la teoría de la frustración o de las teorías del comportamiento político que se encuentran a nivel individual y que se basan en gran medida en algunos trabajos de psicología. Estas son teorías que se han basado en la idea de la frustración - la agresión, que es la idea de que estás frustrado por una u otra razón.

Estas teorías se basan en dos aspectos. Uno de los aspectos está relacionado con el aumento de las expectativas y la brecha entre las aspiraciones de las personas, que son naturales y tienden a aumentar, y una realidad que a veces en situaciones de crisis no corresponde en realidad a esas expectativas. Hay una brecha entre estas expectativas que siguen creciendo y una realidad que a veces va en contra de estas expectativas. La teoría de la subida y bajada de las expectativas va exactamente en esta dirección. En teoría, hay expectativas de los individuos que siguen aumentando, pero en cierto momento hay una caída en la realidad objetiva que no permite que estas expectativas se cumplan y esto crea frustración y luego agresión. Lo mismo ocurre con las teorías de las expectativas crecientes, que es relativa y la otra absoluta. Otro elemento importante son las teorías que se refieren a la llamada teoría del grupo de referencia. Es decir, que los individuos se comparan con otras personas cercanas, pero en una situación ligeramente diferente y a menudo en una situación ligeramente mejor, esta comparación permite caer en una situación de frustración y, por lo tanto, esta teoría se basa en la idea de la comparación con grupos de referencia. La más conocida es la teoría de la privación relativa o privación que fue formulada por Ted Robert Gurr. En la década de 1970, publicó Why men rebelde que explica el diseño ontológico en relación con el objeto de estudio. No existe la idea de que tenga que haber un conflicto social para definir un movimiento, así que si la gente se moviliza y actúa un poco radicalmente, eso es un comportamiento colectivo. La teoría de la privación relativa es decir que las personas tienden a compararse y de alguna manera están perdiendo en esa comparación. Te frustras y tratas de devolver el equilibrio al nivel psicológico a través de formas de acción colectiva. Esta noción de equilibrio es fundamental en este tipo de explicación porque hay un sesgo normativo muy fuerte que dice que hay una buena situación, que es un equilibrio social, es decir, a nivel del sistema social, o un equilibrio psicológico a nivel del individuo. Todos estos fenómenos de comportamiento colectivo tienen como objetivo recuperar ese equilibrio perdido por el rápido cambio social o por el hecho de que las expectativas crecen y la realidad no, o porque nos comparamos con alguien es que pensamos que podemos estar en esa situación social y no lo estamos y nos frustramos. Es un poco lo mismo con la movilidad descendente y la teoría del estatus incongruente. Hay que recordar que existe la idea de frustración y agresión y que toda la reflexión se basa en tres ideas con un equilibrio que es la situación correcta y hacia la cual los individuos deben y quieren tender (1), esto se hace a nivel de expectativas y comparación de las expectativas con la realidad (2), y existe la idea de compararse con otra persona con la teoría de los grupos de referencia (3).

Desde finales del decenio de 1960, las teorías del comportamiento colectivo fueron en un principio completamente criticadas, en particular la idea misma de que la causa esencial de la acción colectiva se encuentra en la desorganización, las crisis sociales, las tensiones sociales, la anomia psicológica individual y la frustración, y por lo tanto la idea de que todo esto puede explicar el comportamiento colectivo como un fenómeno espontáneo y reactivo y a menudo irracional. A menudo, en este tipo de explicación, lo que llamamos movimientos sociales serían fenómenos irracionales por parte de personas que se sienten frustradas por una u otra razón y que se comprometen de forma radical o incluso violenta para recuperar un cierto equilibrio psicológico o social. La idea de que la causa esencial está en esta anomia ha sido fuertemente criticada.

¿Cuál es la consecuencia de decir que los movimientos sociales son fenómenos irracionales? La consecuencia es que hay una clara separación entre la política racional institucional, electoral y buena política, y la política irracional o el comportamiento desviado irracional. Algunos de estos autores, al menos los primeros, se inspiraron en trabajos sociológicos sobre la desviación o la criminalidad.

Una tercera crítica es que esta categoría y este concepto de comportamiento colectivo incluye demasiadas cosas diferentes, a saber, movimientos sociales, multitudes, tumultos, levantamientos, formas de pánico, rumores, para este tipo de explicación, todos eran la misma cosa. Es difícil defender hoy en día que las mismas explicaciones de las manifestaciones pueden ser los mismos factores que explican por qué, en ciertos momentos, hay fenómenos de violencia en un lugar.

A finales del decenio de 1960 y principios del de 1970, hubo una nueva generación de investigadores que comenzaron a interesarse por lo que ahora se denominan movimientos sociales. Estos investigadores estuvieron involucrados en ciertos movimientos, incluyendo los movimientos americanos que se extendieron desde el movimiento de libertad de expresión en Berkley en 1964 hasta el final de la década de 1960. Se trata de un grupo de jóvenes que estudiaron sociología en los Estados Unidos, que se interesaron por ciertas formas y se comprometieron con los movimientos sociales, lo que llamamos la nueva izquierda americana. Leyeron el trabajo de estas personas y dijeron que las personas movilizadas en el movimiento por la libertad de expresión son personas frustradas que están insatisfechas con su situación, que se comportan de manera irracional y se vuelven virulentas porque se comparan con personas cercanas a ellas. Para el profesor Giugni, fue este compromiso y esta brecha entre su propia experiencia y la caracterización que las teorías existentes hicieron de este compromiso en los movimientos no electorales o formas de protesta, y es de esta brecha que surgieron otras teorías, y en particular las teorías de la movilización de recursos.

La teoría de la movilización de recursos ha desbaratado aún más este tipo de explicación y ha dejado de lado por completo el tipo de explicación que estaba en boga en ese momento. El primer trabajo en la teoría de la movilización de recursos se remonta a 1966.

Diagrama explicativo de la teoría de la movilización de recursos[modifier | modifier le wikicode]

¿Qué dice la teoría de la movilización de recursos? Cada vez es un conjunto de teorías, pero aún así hay un patrón subyacente. El lenguaje de lo que queremos explicar ha cambiado, ya no es el comportamiento colectivo que abarca diferentes formas de comportamiento o acciones colectivas, sino algo más específico, son los movimientos sociales o incluso los movimientos sociopolíticos. El término político es fundamental porque la primera gran conmoción que se ha producido por este tipo de explicación es que lo que ahora llamamos movimientos sociales han empezado a ser reconocidos como formas de compromiso político por otros medios, es decir, por otros medios distintos del voto. La idea de la irracionalidad de la acción colectiva ha sido completamente dejada de lado o invertida. Se convirtió en un compromiso racional por parte de actores racionales que participaron en alguna forma de protesta o movilización o en un comportamiento político en un sentido general que no era simplemente ir a votar de forma regular. Al principio, siempre existe la idea de que hay un cambio social y que, en última instancia, es el cambio social el que explica por qué hay una emergencia, pero el mecanismo es completamente diferente.

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En este esquema, el cambio social produce movimientos sociales, lo que ayuda a explicar el surgimiento de los movimientos sociales, pero a través de otro mecanismo que es el opuesto al de Kornhauser y la sociedad de masas. No es la movilización, sino la organización; no es la pérdida de los lazos sociales, sino la solidaridad social.

Los dos elementos esenciales de la teoría de la movilización de recursos es que para explicar la aparición de los fenómenos de los movimientos sociales tiene que haber un cierto grado de organización. Por organización se entiende las organizaciones formales como los partidos políticos o los grupos de interés, y existe un tercer tipo de organización política que actúa en una tercera arena que no es la arena electoral o la arena intermedia, sino la arena fuera del sistema político y, por lo tanto, es la arena de los movimientos sociales. Requiere un cierto tipo de organización, organizaciones, pero sobre todo vínculos y redes sociales que expliquen por qué o hagan más probable que surja un movimiento social. A nivel de base, siempre hay descontento, pero es realmente en el mecanismo que esto cambia. Por otra parte, estas organizaciones deben ser capaces de movilizar una cierta cantidad de recursos. Es a través de la movilización de recursos que se crea el descontento, que es el producto del cambio social.

Para Wilson, "dado que las sociedades rara vez son estables, en equilibrio o sin tensiones, porque el cambio es constante, las fuerzas que tienen el potencial de producir movimientos sociales están siempre presentes en algún grado". En otras palabras, siempre hay suficientes agravios en la sociedad para que exista el potencial y para que surja un movimiento. Para los teóricos de la movilización de recursos, no se puede explicar porque siempre hay gente descontenta, siempre hay gente con quejas y, sin embargo, no siempre hay movimientos sociales y la gente no se moviliza todo el tiempo, por lo que hay que explicar qué es lo que hace que estas personas descontentas se movilicen. Este factor es precisamente el hecho de que estos actores logran reunir suficientes recursos y los destinan al compromiso y la movilización política.

Las premisas fundamentales de este tipo de explicación son la importancia de la dimensión estratégica de la acción colectiva (1), los movimientos sociales son esfuerzos colectivos racionales para lograr objetivos comunes, pero también la importancia de la organización social (2), ya sea formal o informal, como condición para la acción colectiva, es decir, el rechazo de la idea de que el descontento y la desorganización son los principales factores para explicar la movilización. Por último, está la importancia de la disponibilidad y la asignación de recursos materiales y simbólicos (3) que son importantes para la movilización. En otras palabras, no son las personas más desfavorecidas y aisladas las que tienen más probabilidades de movilizarse, sino las personas con más recursos.

En resumen, desde la perspectiva de la teoría de la movilización de recursos, la acción colectiva no es una reacción o adaptación a una situación de crisis, sino un esfuerzo común y racional para lograr objetivos de política. Este esfuerzo es tanto más probable y tendrá tanto más éxito cuanto más recursos y organización tengan los movimientos sociales a su disposición. Se está pasando de los agentes irracionales a los agentes racionales proactivos organizados, que es la dimensión estratégica. Así que, al final, una teoría de la solidaridad reemplaza a una teoría en términos de ruptura.

La teoría de la ruptura ha vuelto a ponerse de moda con fuerza desde la crisis de 2008 estimulada por los fenómenos de protesta que tuvieron lugar. Con la crisis económica, ha habido un aumento de los movimientos, así que el descontento es de hecho lo que lo explica. Pero tal vez detrás de esta relación, hay algo un poco diferente, con por un lado los niveles de recursos que estos diferentes movimientos tienen de antemano. Puede ser otra cosa. Tal vez esta crisis económica ha producido cambios a nivel político-institucional y tal vez eso es lo que explica el surgimiento de los movimientos y no directamente la crisis y el descontento que la crisis ha producido en algunas personas. En otras palabras, tal vez la relación entre la crisis económica y la movilización de estos movimientos, como los indignados por ejemplo, es lo que se denomina una relación espuria.

Diagrama explicativo de la teoría del proceso político[modifier | modifier le wikicode]

Ya a principios del decenio de 1970 y especialmente desde principios del decenio de 1980, algunos investigadores, prácticamente todos, y especialmente sociólogos y politólogos, participaron en este tipo de reflexión alternativa. Entre ellos, cierto número comenzó a pensar que el énfasis está en los factores endógenos en el sentido de que lo que estamos viendo es la capacidad que tienen los grupos sociales para reunir recursos, movilizarlos y utilizarlos en la acción colectiva. Sólo estamos mirando a los que se movilizan. También hay recursos externos que son importantes. Una cuestión que ha surgido es si las instituciones no desempeñan también un papel. Los movimientos sociales son la política por otros medios y por lo tanto otra forma de hacer política, y si haces política, te enfrentas de una forma u otra con el contexto institucional, incluyendo los partidos. Hay una serie de investigadores que han comenzado a poner en contexto y también a examinar el papel de lo que podríamos denominar recursos externos, que no son sólo los recursos que los grupos logran movilizar, sino también los recursos externos en términos de alianzas con los partidos políticos.

Esto es lo que llamamos o lo que se ha llamado el enfoque del proceso político. Mcdonald elaboró una crítica de las teorías clásicas que hacía hincapié en el papel del contexto político e institucional y en la que veía la explicación de los movimientos sociales como la explicación de un proceso político más amplio, que son los movimientos que forman parte de un proceso político real al igual que los partidos, los grupos de interés y otras formas de organización. Un proceso caracteriza realmente el tipo de explicación por la que tenemos que ir diciendo que los movimientos sociales son actores políticos que forman parte de un proceso.

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La pauta básica es que el movimiento social puede producir el surgimiento de movimientos sociales y puede hacer más probable el surgimiento de movimientos sociales, pero el mecanismo sigue siendo diferente. No se trata de frustración y anomia, ni de la capacidad de los grupos sociales para reunir recursos o invertirlos en la movilización, sino que se trata principalmente de una reestructuración de las relaciones de poder dentro de los ámbitos institucionales. Es a través de este mecanismo que la teoría o el enfoque de este proceso produce realineamientos o desajustes que influyen fuertemente en lo que sucede fuera de estas arenas. Obviamente, influyen y son el resultado de un comportamiento político electoral, pero no sólo eso, tienen un impacto en lo que sucede en la calle en el sentido de la movilización social.

En otras palabras, el contexto institucional es decisivo. En este contexto, o para caracterizarlo, utilizamos el concepto de la estructura de las oportunidades políticas, que encuentra su pleno alcance en la teoría de los movimientos sociales.

La estructura de las oportunidades políticas es un concepto que se ha utilizado para caracterizar aquellos elementos del contexto institucional que pueden influir, aumentar o disminuir las posibilidades de que surja un movimiento social. El concepto de estructura de oportunidad política, que ha sido desarrollado por varios autores, no logra realmente el consenso en cuanto a lo que queremos decir o qué elementos de la estructura de oportunidad son los más importantes. Los diferentes autores que suscriben este enfoque han calificado como elementos de la estructura de oportunidades políticas que pueden influir en los movimientos sociales en 53 aspectos diferentes.

Aspectos de la estructura de las oportunidades políticas[modifier | modifier le wikicode]

Los investigadores han dicho que entre estos 53 aspectos, muchos son similares y pueden reducirse a cuatro amplias dimensiones que pueden incluso reducirse a tres, que caracterizan un poco lo que entendemos por oportunidades políticas. Es una forma de aclarar la idea de que el contexto institucional desempeña un papel para la movilización y los movimientos sociales.

La primera dimensión es quizá la que se ha estudiado con más frecuencia, que es el grado de apertura y cierre relativo del sistema político institucionalizado. Detrás de cada una de estas amplias dimensiones hay una gama de indicadores. La idea es que algunos sistemas políticos se caracterizan por ser más abiertos o más cerrados a nivel institucional. Típicamente, el sistema político suizo se ha caracterizado por ser un sistema político abierto en el sentido de estructurar las oportunidades abiertas, en comparación con los franceses, en los que Francia, con un Estado fuerte, se caracteriza por ser un sistema político cerrado. La apertura del sistema suizo viene dada por el federalismo como la multiplicación de los puntos de acceso que los movimientos pueden encontrar para hacer demandas, pero también la posibilidad de encontrar aliados o la apertura en términos de democracia directa. Lo que queremos explicar en general a través de este enfoque es, en particular, la aparición o no de movimientos, y especialmente las formas que adopta la movilización. Se trata de estudios realizados en Europa en los que se han comparado diferentes estructuras de oportunidades y, en función de las características de la estructura de oportunidades, se han hecho predicciones e hipótesis sobre la presencia de movimientos, el radicalismo de las movilizaciones sobre las posibilidades de impacto o éxito de estas movilizaciones. En la literatura, a menudo encontramos esta terminología de apertura y cierre con todo un debate y toda una serie de críticas.

La estabilidad e inestabilidad de los alineamientos políticos es que la estabilidad de los alineamientos políticos ofrece oportunidades de movilización. Es posible encontrar aliados en las arenas institucionales. Así que la tercera dimensión es la presencia y ausencia de aliados dentro de las élites políticas. Se puede hablar de tres dimensiones porque estas dos dimensiones se pueden agrupar, ya que todas ellas se refieren a la configuración del poder dentro de los ámbitos institucionales.

Existe la capacidad y la propensión del Estado a ejercer la represión con la idea de que un Estado represivo es un Estado más cerrado y por lo tanto crea un cierto tipo de movilización y movilizaciones más radicales, pero también el hecho de que hay una fuerte represión siendo como una forma de anticipación por parte de las personas que quieren movilizarse creando desmovilización. En este caso, probablemente habrá menos gente dispuesta a manifestarse que si sabemos que la policía no intervendrá. Esto explica en parte las interacciones si hay movilización, pero en términos de anticipación, puede desempeñar un papel en la movilización.

Para David Mayer, otro elemento importante que debe conceptualizarse como parte de la estructura de las oportunidades políticas es la política pública. Las políticas que son puestas en práctica por el Estado son también una oportunidad o no para movilizarse.

Este se convirtió en el paradigma dominante en los años ochenta y noventa, hasta tal punto que algunos autores hablaron de un paradigma hegemónico. Este tipo de factor explicativo se ha utilizado de dos maneras, de forma estática y comparativa, es decir, hemos comparado sistemas políticos caracterizados por estructuras de oportunidad y tratamos de mostrar cómo estas diferencias en el grado de apertura o cierre de las estructuras de oportunidad pueden explicar y conducir a diferencias en el grado de movilización y las formas de movilización. En particular, los americanos han trabajado de forma dinámica y longitudinal a través del concepto de la ventana de oportunidad. Han tratado de mostrar cómo, por ejemplo, una elección puede tratar de abrir ventanas de oportunidad en las que las movilizaciones puedan encajar y así movilizarse. Esto se hace especialmente en términos de un análisis de un país para tratar de explicar las fluctuaciones que puede tener un movimiento.

Charles Tilly definió las oportunidades políticas como señales coherentes, pero no necesariamente formales o permanentes, a nivel nacional, señales que se dan a los actores sociales o políticos que los alientan o desalientan a utilizar sus recursos internos para formar sus movimientos sociales. Vemos el estrecho vínculo entre la teoría de la organización de los recursos y la teoría del proceso político porque hablamos de los recursos internos como una condición previa para el surgimiento de una movilización o movimiento.

Ha habido varios estudiosos de tradiciones intelectuales y de investigación muy diferentes que han comenzado a criticar estos enfoques por sus sesgos estructurales. Ha habido dos enfoques principales que han tratado de poner la cultura en el centro. Ya había investigadores, incluyendo sociólogos, trabajando en ello. Una de las dimensiones que define un movimiento es la dimensión de la identidad, pero eso se ha olvidado. La cultura define el movimiento, es algo que tiene que estar ahí, pero no nos ocupamos de eso.

Los nuevos movimientos sociales[modifier | modifier le wikicode]

Había dos enfoques, uno europeo y otro americano. La primera es la teoría de los nuevos movimientos, que tratará de explicar por qué en un momento dado hubo un cierto tipo de movimiento en Europa llamado "nuevo movimiento social" que se movilizó sobre todo no en torno a cuestiones de movilización de recursos, sino en torno a un juego cultural con cuestiones relacionadas con la calidad de vida y la autoexpresión. Han tratado de mostrar cómo han surgido nuevos conflictos y nuevas divisiones. Esta teoría pone un fuerte énfasis en el surgimiento de nuevas divisiones y nuevas identidades. Es una teoría que se basa en gran medida en el trabajo de Inglehart sobre el post-materialismo. Con la teoría del postmaterialismo, hubo cambios durante los Treinta Gloriosos, cuando se produjo el surgimiento de los valores postmaterialistas. Así que tratamos de explicar el surgimiento de estos movimientos por esta gran transformación en las orientaciones de los valores en las sociedades europeas. Es en este sentido que el elemento cultural está fuertemente presente en este tipo de explicación.

Se trata de un conjunto de teorías que se ha desarrollado de forma completamente separada de las otras teorías porque las otras teorías que se han desarrollado son las teorías que han tratado de desarrollar los movimientos sociales en general. Es una teoría muy específica que está históricamente contextualizada.

Los marcos para la acción colectiva[modifier | modifier le wikicode]

Los americanos han empezado a reflexionar sobre el encuadre que viene de Goffman y su libro Frame analysis publicado en 1974 donde introdujo el término.[10][11][12] El concepto se utiliza en varios campos, en particular en la teoría de los movimientos sociales.

Algunos autores, como David Snow o William Gamson, han insistido mucho en que los problemas sociales deben convertirse en verdaderos problemas sociales y que ciertas cuestiones deben convertirse en verdaderos problemas sociales y, por lo tanto, en cuestiones políticas, de modo que la gente pueda movilizarse en torno a esas cuestiones y problemas o sobre la base de ellos.

Para la teoría del encuadre, hay alguien que tiene que presentar las cosas de cierta manera y mostrar a las personas potencialmente movilizables que las desigualdades salariales entre hombres y mujeres, por ejemplo, son un problema y que hay que hacer algo para resolverlo.

En la teoría de los movimientos sociales, existe la teoría de los marcos de acción colectiva, que son las formas de presentar culturalmente las cuestiones. Las teorías de agravios del comportamiento colectivo suelen estar vinculadas al encuadre diciendo que es cierto que los agravios son importantes, pero que deben ser considerados como agravios. Para que esta percepción ocurra, alguien tiene que dedicarse a tareas de encuadramiento.

Estos autores distinguen entre marcos de diagnóstico, pronóstico y motivación. Es necesario hacer un diagnóstico del problema, ya sea que alguien diga, por ejemplo, que el trato desigual se debe a que las empresas actúan de manera neoliberal o que el Estado no interviene. Necesitamos un diagnóstico del problema, luego necesitamos un marco de pronóstico que proponga soluciones y hay actividades o tareas marco llamadas tareas de motivación, es decir, necesitamos asegurarnos, a través de una cierta construcción social de un tema, que las personas estén motivadas para involucrarse. Esto es lo que Olson llamó el problema de la acción colectiva. Tal vez una forma de desviar el problema de la acción colectiva sea el hecho de que haya alguien que intente y consiga motivar a la gente a movilizarse incluso sin incentivos selectivos. En otras palabras, un marco de acción colectiva podría ser un incentivo selectivo.

Cuando hablamos de los procesos de elaboración de teorías y marcos de acción colectiva, nos centramos en tres elementos. El enfoque de Snow hace hincapié en que se trata de un proceso discursivo en el que está en juego el papel de los discursos, pero también es un proceso estratégico en esta opción, es decir, las organizaciones de movimientos sociales o los empresarios políticos utilizan estratégicamente ciertas fórmulas. La idea es que existe una dirección política que trata de movilizar a una masa, una población o grupos especialmente mediante el uso correcto de ciertas fórmulas y discursos. También es un proceso impugnado. En la arena pública, siempre hay una lucha entre los ejecutivos que es una competencia. El papel de los medios de comunicación es crucial en este tipo de teoría. El proceso de enmarcado tiene lugar en el dominio público.

Otros hablan de tres tipos de encuadre y de importantes dimensiones culturales para explicar la acción colectiva. Habla del marco de la identidad, que se refiere a la literatura sobre la identidad, por lo que tiene que haber una identidad. Esto puede ser visto como un factor explicativo. Habla del marco de la injusticia, que es que hay que percibir una injusticia y por lo tanto un actor que es la fuente de esa injusticia. Finalmente, se discute el marco de la agencia, que es que los actores deben ser conscientes de su capacidad para cambiar las cosas, que es la percepción que tienen los actores de que sus acciones tienen un efecto. Podríamos establecer un vínculo con la literatura sobre el comportamiento electoral y sobre la atribución de culpas, que es el hecho de atribuir ciertas responsabilidades en determinadas situaciones a los actores y, en particular, a los actores institucionales. Hay un vínculo muy fuerte que no se hace en la literatura. Inicialmente, la literatura sobre el comportamiento electoral y los movimientos sociales no hablaba hasta hace poco.

Modelo de síntesis de la política de protesta[modifier | modifier le wikicode]

De manera un tanto ecuménica, se podría decir que la política de protesta sobre los movimientos sociales es el resultado del cambio social, pero hay que tener en cuenta un cambio social que produce descontento y luego tiene que haber estructuras de movilización, oportunidades políticas y procesos de encuadramiento, y todo esto puede explicar por qué hay movilización.

Comportement politique modèle de synthèse de la politique contestataire 1.png

Factores de la participación individual en los movimientos sociales[modifier | modifier le wikicode]

La literatura está dividida de alguna manera en dos, con una literatura que está de alguna manera a nivel colectivo y agregada con los movimientos sociales como un actor colectivo, pero también hay toda una literatura sobre el compromiso individual en los movimientos sociales. Obviamente, hay similitudes entre estos enfoques, pero se trata de dos familias de trabajo que a veces incluso son distintas.

La obra se centra a menudo en las características socioculturales con la sociología política tradicional aplicada al movimiento. Existen las redes sociales, es decir, que el hecho de estar inserto en movimientos sociales aumenta enormemente las posibilidades de participar en un movimiento social. Esto es lo opuesto a la teoría de Kornhauser que decía que es la pérdida de conexión, el hecho de no estar en redes, el hecho de estar aislado lo que hace que uno participe. Toda una literatura basada en elecciones racionales se centra en la percepción y en la intención de participar o no participar.

Annexos[modifier | modifier le wikicode]

Referencias[modifier | modifier le wikicode]

  1. Marco Giugni - UNIGE
  2. Marco Giugni - Google Scholar
  3. Marco Giugni - Researchgate.net
  4. Marco Giugni - Cairn.info
  5. Marco Giugni - Protest Survey
  6. Marco Giugni - EPFL Press
  7. Marco Giugni - Bibliothèque Nationale de France
  8. Tilly, Charles. The contentious French. Cambridge, Mass: Belknap Press of Harvard University Press, 1986. Print.
  9. Della Porta, Donatella, Social movements : an introduction, Blackwell, 2006
  10. Goffman, Erving. Frame analysis : an essay on the organization of experience. New York: Harper & Row, 1974. Print.
  11. Emily Shaw. Frame analysis. Encyclopædia Britannica, inc. Published:May 31, 2013. URL: https://www.britannica.com/topic/frame-analysis
  12. Jameson, Fredric. “On Goffman's Frame Analysis.” Theory and Society, vol. 3, no. 1, 1976, pp. 119–133. JSTOR, https://www.jstor.org/stable/656942.