« Dynamiques et Impacts de la Mondialisation des Marchés de l'Argent : Le Rôle Central de la Grande-Bretagne et de la France » : différence entre les versions
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Version du 28 novembre 2012 à 17:15
11.1 La Grande-Bretagne et la France, banquiers du monde
La GB et la France permettent la création d’un système financier/ bancaire plus puissant.
Les états sont les principaux emprunteurs. Avec leurs bénéfices les pays investissent dans leur industrialisation, ensuite les industriels place leurs capitaux en banque et les banques vont placer ces capitaux sur les marchés. Grâce à cela vers 1820-1830 : Londres et Paris deviennent les premières places financières. Cette puissance s’amplifie à partir de 1850, les puissances peuvent construire des infrastructures collectives (chemins de fer, ports) ou encore des infrastructures pour la rénovation urbaine, les capitaux issus de l’industrialisation permettent de financer ces infrastructures ce qui améliore la vie des habitants et ces mêmes capitaux permettent peu à peu la mondialisation (capitaux prêtés au reste du monde).
L'exportations de capitaux : le modèle anglais VS le modèle français
La GB investit aux USA et/ou dans ses colonies mais pas en Europe occidental, c’est plutôt la France qui investit en Europe surtout en Russie. Au final c’est la GB qui s’en sort le mieux.
Deux interprétations de ces flux :
crise de la dette (emprunter pour rembourser les emprunts) qui se développe déjà au début du XXème siècle (constat de Lénine)dans les pays du tiers-monde. A la fin du XIXème siècle, il y a un large marché des capitaux à l’échelle mondiale, ces capitaux sont importants et mobiles.
Même aux E-U où les flux humains sont limités, les flux de capitaux sont importants.
L’Afrique reste le seul pays/continent exclus de ces flux et de cette mondialisation, depuis la fin de la traite négrière.